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 Slenderman à Central Park

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Arthas_117
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Arthas_117


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MessageSujet: Slenderman à Central Park   slenderman - Slenderman à Central Park EmptyJeu 21 Nov - 22:13

P'tit texte que j,ai écrit pour passer le temps. En hommage à l'un de mes "personnages" préférés.


1

Au crépuscule de ce vendredi le 5ème, il y avait une petite fille qui jouait avec ses poupées dans sa chambre.
Elle et ses amies buvaient ce qui était supposé être du thé dans ce qui était leurs dispendieux jouets roses.
Là-haut dans sa chambre, qui était relié à l’ensemble de l’appartement qui avait devant l’ensemble du parc qui s’étendait.
Elle jouait et parlait avec ses meilleurs amis, jusqu'à ce que les forces de la fatigue viennent la mettre au lit.



2

Alors que la lune éclairait la Grosse Pomme depuis le ciel qui alla bientôt être conquis par de sombres nuages.
La petite fille dormait profondément dans ses rêves de paysages d’orées et de ses fées qui lui tournait après.
Qui eux, lui disaient que le Grand Homme avait pris ses amies pour prendre le thé au cœur de la foret.
Elle se réveilla, regardant à sa table rose qui était face à la fenêtre ouverte qui éclairait depuis la Lune les chaises vides.



3

Dans la cage d’escalier, il y avait une gamine habillé de son propre imperméable rouge qui descendait.
Elle courait tout en continuant d’entendre les voix des fées qui lui disaient de se dépêcher pour ne rien rater.
La lumière de sa lampe de poche gigotait partout alors que l’enfant continuait de le laisser allumer.
Et à l’entrée principale du complexe, elle mit son capuchon sur ses cheveux roux et elle sortit de sa demeure.



4

Étant séparée par la rue qui s’appelait la 5ème Avenue, la petite fille vit de l’autre côté l’immense porte.
Il n’y avait point de voitures sur l’Avenue qui d’habitude, était toujours recouverte d’engins qui y roulaient.
Elle marcha donc sur la surface noire qui commença à être bombardé de gouttes de pluies.
Et elle arriva devant la porte qui lui fut légèrement ouverte, et elle entra dans le parc alors que la fée lui dit bravo.


5

Le vent faisait tomber les premières feuilles d’automnes alors que la pluie froide pleurait sur la Cité des Pêchés.
L’enfant marchait sur le chemin de béton, éclairant devant elle ce qui était l’un des chemins de son parc préféré en ville.
Tandis que la voix de la fée se faisait de moins en moins forte à entendre dans sa tête.
Puis, lorsqu’elle ne l’entendit plus, une vive douleur lui prit l’intérieur de la tête qui lui sonnait terriblement.



6

C’était sur un arbre mort devant elle et le croisement du chemin que ce trouvaient ses amies.
Sur la majorité des branches elles étaient toutes empalées, recouverte de boues et de l’eau des nuages.
Horrifiée, la petite fille prit quelques pas en arrière alors que la voix de la fée commença à rire.
Et la  grande silhouette de quelque chose qui portait un veston noir, la regardait au loin sur le chemin.



7

Ce fut avec un visage sans signe de nez, de bouche ou de yeux qui pourtant, regardait la petite fille.
Elle ne voyait point de cheveux sur ce qui semblait être une tête à la chose qui était anormalement grand.
La chose restait là, immobile avec sa cravate rouge qui flottait parmi la noirceur de la nuit.
Alors que la petite fille hurla de terreur et se retourna pour y prendre la fuite vers la porte.



8

À sa grande terreur la porte était fermée, elle poussa ce qui était recouvert de racines grimpantes.
Qui eux, semblables aux racines des arbres, venaient du sol juste en dessous de la porte.
La pluie descendait le long de ses racines, alors que les nuages noirs commencèrent à cracher de leurs éclairs.
Dans son désespoir, l’enfant tournait à sa droite et commença à courir sur la terrasse du parc anormalement vide.



9

Après avoir dépassé plusieurs arbres à sa droite, elle hurlait au secours des gans à gauche.
Ceux-ci n’étaient point-là, il n’y avait aucune voiture d’ailleurs, ni aucun bruit de klaxon ou de roulement sur les rues.
Seul ses hurlements, les criquets, la pluie et le tonnerre remplissaient l’univers sonore du parc.
Et alors qu’elle arriva en face d’une clôture qui marquait la fin du côté de ce parc, elle commença à en pleurer.



10

Elle commença à encore avoir mal à la tête, sauf que le poids de son crane semblait peser une immense roche.
Marchant vers la foret qui se dressait devant elle, l’enfant pillait sur l’herbe parfaitement taillée.
Courant ensuite, pour se rendre pied sur un chemin de pierre dont les côtés n’étaient que des longs bancs.
Elle commença donc à marcher vers le lieu où elle se souvenait être le centre du parc.



11

Marchant sur le chemin qui était cette fois ci séparé en trois, elle en fut confuse.
Son mal de tête lui empêchait de penser à toutes ses capacités de mémoires, comme s’ils étaient des murs dans son esprit.
Elle ne se souvenu pas du chemin qui menait au centre de son parc vert dont elle paissait le temps là.
Ne sachant pas quel était le chemin devant elle, elle prit le premier qui lui était à sa gauche.



12

Tandis que la petite fille voyait au loin ce qui ressemblait à une toiture à l’architecture suisse.
Un autre cou de tonnerre fit frapper le ciel noir de ses nuages, ressentant l’atmosphère qui trembla, elle sursauta.
Déjà assez terrifiée d’avoir vu ce qui ne devait pas être vu, elle alla vers l’entrée de la voûte.
Qui la mit à l’abri de la pluie, dont les gouttes tombèrent violemment sur le toit fait de vitre.



13

Elle traversa le dessous de la toiture, ignorant les quelques portes qui menait au bâtiment à sa droite.
Elle sortit de l’abri pour se faire encore arroser par la pluie qui descendit le long de son imperméable.
Commençant à avoir froid, l’enfant commença à courir lorsqu’un autre éclair s’abattit parmi les lumières de la ville.
Descendant le long du chemin, pour ensuite dépasser une magnifique abreuvoir, elle glissa et tomba.



14

Elle se releva, malgré la forte averse qui lui tomba sur son dos recouvert de boue et d’herbe.
Voyant en face d’elle le reste de la foret au loin qui était plongé dans une immense et dense brume grise.
Qui juste en le voyant, se laissait aller vers là où elle allait par la simple force du vent.
Mis à part pour la grande silhouette aux bras multiples et qui était noir parmi le gris du brouillard.



15

La petite fille continua de courir le long du chemin alors que son mal de tête se fit bien plus pire qu’avant.
Voyant devant ce qui semblait être l’entrée d’un profond tunnel qui était en dessous d’un viaduc, elle s’y dirigea.
Traversant le passage au plafond rayé de rouge et de belge qui lui fit rappeler les couleurs du cirque.
Et rendu à mi-chemin, elle y entendit le rire d’un clown imité par la voix de la fée.



16
Sortant du tunnel, elle se fit rattraper par la douche d’eau froide qui commença à la faire éternuer.
Voyant cette fois-ci à sa gauche une longue clôture qui ne semblait jamais se terminer au loin.
Elle s’y approcha, voyant le terrain de baseball vide de joueur et des cris des spectateurs.
Qui était aussi recouvert d’un rideau de pluie qui rendait le terrain complètement noyée.



17

Ce souvenant qu’à la gauche de ce chemin il y avait la grande plaine comme elle l’appelait.
Elle coupa dans le bois pour y traverser la végétation qui mouilla encore plus ses pantalons.
Et après être sortie du raccourci qu’elle s’était faite, elle tomba sur une rue déserte de voiture et de piétons.
Pensant retourner à la maison en suivant la route, elle renonça en voyant la grande silhouette à sa gauche sur la rue.



18

Ce retournant vers l’autre côté, elle y alla en courant alors que la chose derrière disparu en s’évaporant parmi la brume.
Traversant encore une lignée de végétation, elle se retrouva encore sur un chemin de piéton.
Dont elle en traversa en piétinant lors que son mal de tête se calma de ses pulsions douloureuses.
Puis, elle fut reprise par le désespoir lorsqu’elle vit la barrière qu’était la clôture devant elle.



19
Levant ses mains devant la tige pour ensuite l’agripper et ensuite y déposer le bout d’un pied au bas de la clôture.
Elle se souleva de ses bras pour ensuite donner un élan qui la fit tomber de l’autre côté.
Ayant mal au dos de sa chute maladroite, elle se releva tout en reprenant sa lampe de poche qu’elle avait accroché au poignet droit.
Pour ensuite continuer à avancer d’un pas vite parmi le brouillard noir de la nuit qui suivit le vent de l’est.



20

Traversant une immense plaine d’herbe qui était poignardé par les gouttes de pluie, elle courut.
Faisant remonter l’eau trappée dans l’herbe taillée en pillant dessus de ses souliers dispendieux, elle alla droit devant.
Ne se retournant point, sachant que la silhouette de la chose la suivait caché dans le brouillard.
La petite fille atteignit l’autre coté qui était séparé de la plaine par une longue mais courte clôture.



21

Se retrouvant devant une simple terrasse de restaurent avec ses dizaines de petites tables, l’enfant traversa entre les établis.
Pour ensuite se placer devant l’entrée du restaurent qui se nommait par le nom « Le Pain Quotidien ».
Se souvenant de leur délicieux pains français, elle adorait se retrouver là sur l’une des tables avec ses parents.
Malgré que maintenant, elle était là pour fuir le danger au lieu de déguster l’une des merveilles de la gastronomie.



22

Étant rendue sur un chemin dont les clôtures étaient recouverts de végétation, elle laissa le restaurent derrière.
Voyant les gratte-ciels de la ville s’illuminer au loin avec la brume à leur pied, elle en était frustrée.
Sachant qu’elle ne pourrait point utiliser les portes du parc, elle savait quand même où aller.
Se souvenant de ce que lui avait dit son oncle, elle se le répéta en murmurant parmi le fort vent.



23

Il y avait en dessous du parc et de la ville, un ancien tunnel enfoui et oublié depuis bien longtemps.
Qui avait été fondée pour les méchants brigands y apportent et marchande leur vilaine marchandise.
Qui débouchait sur une petite île recouvert de feuilles pour qu’on ne puisse y voir la sortie.
Et que si elle lui arrivait quoi que se soit dans se parc, elle devra emprunter le passage oubliée.



24

Et tandis qu’elle continua de courir sur le chemin de pierre et de briques, le mal de tête lui reprit.
Sachant que la grande silhouette était proche derrière, l’enfant courut de plus belle.
Avec la voix de la fée qui lui insistait de venir avec elle dans un merveilleux endroit.
La petite fille hurla de plusieurs « non » au travers du vent qui soufflait et des orages qui brisèrent le ciel.



25

Atteignant la rue qu’était Terrace Drive, l’enfant s’arrêta alors que sa migraine fit de même.
Elle n’osait pas regarder en arrière pour y être sûr que la chose était bel et bien dans la brume.
Qui elle, semblait être de moins en moins épaisse alors que le torrent venant des nuages se calma en pluie.
Éclairant le chemin devant-elle, l’enfant monta le chemin alors qu’un coup de tonnerre éclaira la foret.



26

Ce retrouvant devant une grande place recouvert de briques en cercles dominé par une fontaine, l’enfant la traversa.
N’ayant jamais trouvé cet endroit beau ni amusant en raison des fientes d’oiseaux fréquents, elle laissa l’endroit derrière.
Le chemin la mena à une immense plaine qui était droit devant-elle à quelques mètres.
Elle s’y dirigea pour ensuite la traverser, et rendue à mi-chemin, une grande ombre se montra lors d’un coup d’éclair.  



27

Cette fois-ci la curiosité lui prit l’esprit et elle se retourna vers l’origine de l’ombre.
Braquant sa lumière vers la silhouette qui se tenait dans les airs, la tête sans visage qui la fixa droit dans l’âme.
Des dizaines de longues et grosses racines noires qui lui sortaient du dos qui se dirigeait vers le ciel nuageux.
Les racines lui servaient de jambes et de pieds à l’extrémité de ses deux jambes semblables à ceux des humains.



28

La créature avait la tête penchée vers la petite fille qui partit à fuir lorsqu’elle vit son visage dans la lumière.
Ayant toujours eue une peur pour les araignées et tout ce qui y ressemblait, elle hurla dans les bois.
Alors que les orages jaillissement du ciel avec leurs puissants éclairs tel une grande finale d’un concert.
La petite fille continua de courir pour se retrouver sur un chemin qui la fit mener à l’entrée du pont de Bow.



29

Traversant le pont tout en regardant les lueurs de la ville au-delà des branches, elle courut vers son but.
Voyant les lumières de la cité qui ne dort jamais, l’enfant pleurait avec la pluie aux gouttes froides.
Alors qu’elle quitta le sol du pont, ses pas commencèrent à résonner sur la terre mouillée.
Tandis qu’elle ressentait des pas résonné sur le long pont de pierre tout près d’elle.



30

Voyant de l’autre côté de la rive une très petite île, l’enfant alla vers là ou son oncle l’avait déjà amené auparavant.
Voyant qu’il y avait de l’eau entre l’île et la rive, l’enfant descendit au bord de la rive et elle y déposa le pied au fond de la petite rivière.
Avec l’eau froide qui lui atteignait les genoux, la petite fille put donc marcher tout en ayant les bottes submergées.
Puis, elle monta la rive de l’île et elle suivit le chemin que son oncle lui avait montré parmi la haute verdure.



31

Voyant la plaque de métal qui était au beau milieu des hautes herbes, l’enfant la prit de la poignée et tira de toutes ses forces.
Sentant la masse lourde de la trappe qui se levait vers elle, l’enfant grinçait des dents d’une douleur de tirer une masse si lourde.
Entendant le bruit des craquements de branches de l’autre côté de la rive, l’enfant donna un coup ultime qui ouvrit complètement la trappe.
Puis, elle éclaira la profondeur du passage qui descendait dans le noir de l’obscurité et l’enfant décida de prendre ce chemin.



32

Déposant l’un de ses pieds sur la première marche, elle entra dans ce chemin qui lui fut si lugubre.
Avec son immense humidité et son froid qui lui collait aux os, elle grelottait tout en descendant.
L’enfant prit la poignée intérieure de la trappe, et elle le tira un peu vers le bas, pour ensuite laisser son poids tomber et fermer le passage.
Et rendue en bas, son pied déjà plongé dans l’eau de ses bottes, commencèrent à marcher dans l’eau sale du passage.



33

Marchant dans une eau qui brûlait ses narines par son odeur répugnante, la petite fille tenue le coupé.
Son corps dont les jambes étaient à moitié plongées dans l’eau crasseuse continua à geler de l’humidité du passage souterrain.
Marchant sous l’un de lac du parc, elle continua quand même de se faire arroser par des gouttes qui virent d’en haut.
Résonnant parmi l’écho de l’étroit chemin, les gouttes lui indiquèrent avec leurs sons que l’extrémité du passage n’était pas loin.



34

Tenant sa lampe de poche de son poignet par la ficelle et par la poignée, la petite fille put voir l’extrémité qu’était une échelle qui montait.
Pouvant entendre depuis le haut de cette sortie le bruit des voitures qui roulèrent et des klaxons qui hurlèrent, elle y courue.
Revivant l’espoir dans le cœur, elle commença à courir tout en souriant et en pleurant de joie face à l’opinion de vivre qui s’offrait devant-elle.
Puis, un bruit de déchirement de métal se fit résonner tout le long du chemin souterrain à l’écho qui revenait souvent sur lui-même.



35

Allant vers l’échelle tout en ressentant une force pression au cœur, l’enfant hurla et courut de panique.
Prenant la première marche par le pied et le troisième par la main, elle se hissa pour commencer à grimper.
Montant l’échelle alors que plusieurs vagues se firent sur l’eau vers elle, la fillette hurla vers la grille de fer au-dessus d’elle.
Voyant les lumières de la ville qui entraient dans ce lieu si ténébreux, elle monta jusqu'à ce que les rayons urbains caressent son visage.



36

Lorsqu’elle fut arrivée en haut, elle commença à pousser ce qui lui était très lourd à soulever.
Puis, le plafond se fit soulever par la force de l’enfant qui donna un autre élan tout en grinçant des dents.
Pour ensuite prendre le coté de la plaque et tirer devant pour la faire glisser et enlever tout obstacle devant son chemin.
Prenant le bord de l’extérieur par les deux mains, elle se poussa hors du passage et elle en sortit.



37

Ne voyant que  les lumières artificiels de différentes couleurs lui aveugler les yeux, l’enfant se releva avec difficulté.
Regardant derrière elle la plaque ouverte avec les yeux pliées, elle se retourna ensuite pour recommencer à fuir.
Voyant les dizaines de voitures qui roulèrent et klaxonnèrent sur la rue à sa gauche, l’enfant les regarda tous et ne vit aucune aide possible.
N’ayant aucun argent sur elle, l’enfant sut qu’elle ne put prendre de taxis qui se firent tous présents.



38

Redescendant la 5ème Avenue, la petite fille courut alors que l’orage en haut terminait de cracher ses derniers éclairs.
Courant sous la pluie qui devint de plus en plus fine jusqu'à ne plus rien sentir de son froid.
Sachant qu’elle était dans un endroit plus sécuritaire que les bois hantée par la chose inimaginable, elle vit la lumière de son domicile.
Qui était parmi les hauts appartements du gratte-ciel avec sa vue sur le parc joyeux le jour et dangereux la nuit venue.



39

Voyant la double-porte qui menait à l’intérieur de l’autre côté de la rue, l’enfant attendit que la lumière tourne au piéton.
Regardant derrière elle, ne voyant aucune forme humanoïde sans visage, elle se senti plus rassurée.
Puis, la lumière lui offrit carte blanche pour la traversé et elle travers la rue pour ensuite toucher à la double-porte.
Ouvrant cette dernière avec bien moins de force que lorsqu’elle sortit, la petite fille put finalement entrer.



40

Accueillit par la chaleur de l’établissement, elle enleva son capuchon tout en voyant l’escalier du bâtiment.
Courant vers ce qu’elle monta par ses jambes qui étaient épuisés d’énergies musculaire, la petite fille souriait quand même.
Contente d’être rendue à domicile, elle monta les marches jusqu'à reconnaitre son étage qu’était la dernière.
Puis, toutes les sources de lumière du bâtiment commencèrent à s’instiller pour ensuite toutes fermer brusquement.



41

Sentant l’espoir la quitter pour faire place à la panique qui lui prit tout l’esprit, elle recommença à hurler.
Allant vers la porte la plus proche qu’était l’entrée de sa demeure, elle y frappa la surface à coup de poings.
Tandis que la lumière de sa lampe de poche toujours ouverte se fit de moins en moins lumineuse.
Pour finalement comme sa vision, fondre dans le néant de la noirceur de l’inconnu.



42

Ouvrant ses yeux, elle vit devant elle une petite table rose d’enfant avec des chaises du même style.
Dont il y avait dessus des poupées qu’elle pouvait très bien reconnaître sans être sales ni empalés.
D’ailleurs, elle remarqua en passant sa main dans ses cheveux qu’elle n’était plus sale du tout.
Se levant sans rien comprendre, la gamine alla vers sa porte pour l’ouvrir et sortir de sa chambre.



43

Voyant que le salon était vide, l’enfant alla voir la chambre de papa et maman.
Qui eux, dormaient paisiblement dans leur lit sans avoir l’air d’avoir été dérangés durant leur sommeil.
Allant vers le garde-robe à l’entrée, elle ouvrit la porte et vit que ses bottes et son imperméable étaient tous les deux propres et biens rangés.
Refermant la porte sans faire de bruit, elle alla au salon pour ensuite allumer la télévision qui jouait son émission préféré du samedi matin.



44

Tombant sur les nouvelles que seuls ses parents regardaient, elle y vit à l’écran le sous-titre de «  Bulletin Spécial ».
Voyant plusieurs longs sacs noirs en gros plan, pour ensuite reculer et montrer une ambulance proche de l’entrée du parc.
S’ensuit une journaliste qui disait aux spectateurs qu’ils s’agissaient de la plus nombreuse trouvaille de cadavres dans le parc.
Puisqu’ils furent tous tués dans la nuit pour ensuite être retrouvés, empalés au sommet des arbres du parc...

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