Horreur Web
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 BEYOND

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Arthas_117
Mort Vivant!!!
Arthas_117


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MessageSujet: BEYOND   BEYOND EmptyJeu 3 Mar - 19:59

BEYOND Sans_t15





I.
…Parmi une forêt au paysage infini, à la tempête aussi éternel que ses millions de flocons, un homme faisait sa traverse sur le sentier enneigé de rouge.
Ce qui lui était auparavant sapins et vert foncé se dégradèrent en branches mortes sur les côtés, le gris du ciel plongé dans le nuage hivernal ne lui montrait aucun Soleil, le lointain de la forêt était disparu parmi l’ombre grisâtre de la tempête.
Il continua de marcher parmi toute cette densité de flocons tombants sur son manteau cuir, puisqu’il revit d’un événement qu’il pensait être important alors que ce tournant lui fit faire un passage dans son existence.
En sortant de ce sentier aussi long à marcher qu’à y vivre un siècle en entier, l’homme vit de l’autre côté de la route qui lui faisait face un petit motel aussi décédé que le reste qui était plongé dans un froid mort.
II.
L’homme regarda des deux côtés de la longue route qui finissait des deux extrémités dans le brouillard arctique. Des deux, il prit celui de gauche et disparu avec l’autoroute à l’horizon caché, puis, il termina de longer cette route en revenant sur là où il avait commencé, mais en apparaissant du côté droit, aussi enseveli par la tempête que le côté gauche.
Lâchant un juron qui partit en l’air parmi le vent et ses flocons, l’homme se rendit alors au motel, là où la pancarte lui informa que les places étaient libres. Au même moment où il y entra, accompagnant avec lui le froid d’hiver de l’extérieur parmi la chaleur d’été de l’intérieur.





III.
Le manteau de l’homme fut retiré par ce dernier et accroché après le bras droit de celui qui vit une seule et unique clé sur un comptoir aussi vide que l’absence de secrétaire derrière. Il la prit et alla au numéro de chambre que la clé avait comme identifiant, après avoir monté tous les escaliers du monde qui se trouvait dans la cage d’un bâtiment aussi petit qu’isolé.
L’homme déverrouilla la porte et il entra dans sa chambre, là où seul un lit face à une télé et au mur fait d’une grande fenêtre faisaient tous deux la personnalité de cette pièce.






IV.
Il enleva son manteau quit fut mis sur le lit et ensuite, l’homme s’offrit un whisky miniature de ce frigo chaud. Il alla vers la longue fenêtre, voyant ainsi l’infinité de la forêt dansant au vent rempli d’un froid mort. Puis, il distingua une certaine « chose » au loin parmi l’infinité éternelle des flocons.
Soudainement, ça lui fonça vers lui et ce dernier recula de la vitre lorsque le nouveau-né s’enfargea sur la fenêtre, les mains et les pieds collés de l’autre côté de l’enfer polaire.
Ahgadudou hihihihi…Faisait l’être qui regardait l’humain terrifié de ses yeux aux iris absents et au blanc des yeux présents.





V.
L’homme recula, aussi terrifié que l’éclat de la blancheur des dents d’adultes que le bambin avait. Sa peau grisâtre tournait encore plus sombre puisque le ciel arrière devint rougeâtre sous ses nuages d’un soleil inexistant parmi l’horizon levant.
Il courut vers la porte d’entrée pour y prendre la poignée et ainsi tourner son mécanisme qui le fit entrer d’une réalité à une autre. D’un climat polaire à un simple milieu urbain, l’homme passa. De chambre d’hôtel à chambre de condo, cet homme se réveilla. De destin présent à un autre qui l’est encore plus, cette victime ouvrit les yeux dans un nouveau monde.





VI.
Le vent de l’extérieur était aussi sifflant que bruyant, ce qui fit ouvrir les paupières de l’homme. Le réveillant ainsi.
Il se leva, aussi rassuré que terrifié d’être dans un milieu que l’on peut tous reconnaitre à avoir été, mai qui nous est tous inconnu puisque ça ne nous est aucunement notre domicile.
Nu, l’homme fouilla pour s’habiller, vêtu, l’homme tira les tiroirs pour ne rien trouver, bredouille, l’homme alla a la longue fenêtre pour y voir un paysage fait de plusiuers gratte-ciels sans fenêtres et à la base de rues sans voitures ou de piétons qui normalement, devaient biens être présent,
mais pas Ici.



VII.
Lâchant un juron de ne pas s’en être sortir, l’homme prit la porte de la chambre et il se déplaça au salon, là ou milles livres et un téléviseur y sévissaient. Tous les ouvrages lui étaient étrangers, autant des titres que des langues humaines mortes dont le contenus des œuvres ont étés écrites avec.
Il alla vers la porte principale, à côté d’un placard ouvert et qui reflétait son manteau d’abord déposé dans la chambre du motel. L’homme s’habilla avec, tout aussi craintif du déplacement de son seul véritable domicile que les questions qu’il avait envers soi-même.
La porte s‘ouvrit et l’homme exclama la plus longue continuité de jurons lorsqu’il vit le vide tomber en bas et monter vers rien en haut tout en allant Nulle Part aux côtés.




VIII.
Ainsi, ne sachant pas quoi faire, l’homme fit semblant de comprendre les lignes aux écritures plus anciennes que notre civilisation moderne. La télé, lorsqu’elle s’allumait correctement, ne diffusait que des petits bonhommes d’animés japonais pour les enfants le samedi matin.
Puis, pendant le tournant entier face à un soleil existant, ce monde décida de réveiller l’homme.
Ce dernier entendit les notes de musique jouer dans l’appartement d’à côté. Reconnaissant les sons pures du piano qui se faisait jouer « La Campanella » par les doigts d’un pianiste expérimenté, l’homme décida de sortir la batte de baseball du placard et il commença a frapper le mur qui séparait son domicile à celui du musicien.



IX.
Le mur aussi faible qu’il laissait la musique passer, se fit défoncer de plusieurs coups par l’homme qui la traversa par après.
Seul un immense piano aussi brun que les troncs d’une forêt et aussi plat qu’une voiture décapotable faisait le mobilier dans la grande pièce sans cuisine. Là où l’îlot a été arraché d’un sol aux bras de fil électrique encore suspendus vers le plafond.
Puisqu’au travers des tuiles du haut, le bout d’une voiture de luxe pendait, prisonnier des autres étages d’appartements au-dessus de l’homme qui ressentit une vague de nostalgie en voyant le modèle.
Lorsqu’il descendit le regard, il vit un être vêtu d’un simple gilet avec le capuchon jouait. L’homme s’en approchait et vit à sa grande horreur tout ce rouge.



X.
L’être leva son visage vers celui de l’homme qui s’y reconnu, le regardant de ses deux yeux manquants et râlant encore plus d’une gorge qui se montra à avoir été tranché. De nombreuses chaines coulèrent sur les joues depuis le fond des deux abimes oculaires de ce qui jouait encore au piano sans pourtant y toucher.
Puisque ses jambes à moitié coupés étaient assises et ses bras inexistants faisaient en sorte que les manches étaient toutes lousses.
Essayant de lui parler, l’être n’émit que des râlements de sa bouche à la langue tranchée et au rebord cousue. L’homme le contourna et vit ainsi sur le côté l’immense membre de l’être qui était en érection, d’un rouge sanglant qui tachait le tout et qui avait du jaune coulant en une éruption aussi lente qu’une agonie.




XI.
L’homme recula autant que les touches du clavier se jouèrent par eux-mêmes. Il se tourna pour courir vers la porte de la chambre et il l’ouvrit pour ne voir comme spectacle un lit, d’un blanc d’origine qui a survécu à un splash de rouge qui recouvre presque tout.
Rouge comme celui qui coule depuis l’intimité de la femme aux membres enchainés au lit, le visage rougi par une douleur encore en continu parmi son cerveau qui saignait aussi des oreilles.
Ne pouvant pas savoir si elle avait les yeux manquants comme l’être qui se les ait faits enlevés par la rage de celui qui les lui a retirés, l’homme recula face a la femme portant des lunettes de soleils et qui chantait;


                                                                   

♫Are my screams just a whisper? ♫
                                                                             Busy people going nowhere
                                                                                 See me soak in the rain
                                                                      No compassion, nothing matters
                                                                                My resistance is waning
                                  ♫ Like a flower in the basement waiting for a lonely death ♫




XII.
D’un hurlement contenant toutes les réactions possibles qu’un humain peut voir. L’homme couru vers l’entrée principal de cet appartement en prononçant toute la terreur qu’il pouvait ressentir.
En ouvrant la porte, ce fut le vide, en hauteur, en bas et sur les côtés. Puisque toute porte mène à une immense surface d’inexistence.
Reculant, il alla retourner à « son » appartement et lorsqu’il le fit. Un mur de béton armé en forme de plusieurs grosses racines montèrent pour bloquer le passage que l’homme a fait envers ce gratte-ciel qui se guérissait lui-même.






XIII.
Assis sur le fauteuil, il y avait un cadeau d’emballé pour l’homme.
Ce dernier le prit et il le déballa avec autant de vitesse que d’horreur qu’il vivait comme émotion. Lorsqu’il arracha tout le carton, il y trouva une console de jeu pareil a ceux qu’il jouait avec étant adolescent. Un exemplaire venait avec et il portait le titre de;
Bal des Finissants 1999

Regardant l’arrière du boitier, l’homme pouvait se voir parmi les images. Celle de lui-même alors qu’il nageait parmi le confort de ses 17 ans…






XIV.
La console vidéolutique fut branchée et installée. Ressentant une vague de nostalgie lui monter jusqu’à son cœur, l’homme démarra la machine et mit le disque du jeu dans le lecteur. Prenant ainsi la manette qui vibra autant que l’intérieur de l’écran, l’homme entendit une tornade de sons insonores qui l’entoura de haut-parleurs pourtant inexistants.
Appuyant sur Start de son pouce, il commença son unique partie et








XV.
Parmi un blizzard à l’âge infini et une forêt de sapins enneigés dansant au vent nordique, un homme se réveilla, couché sur la surface enneigé de l’autoroute.
Il se leva, regardant des deux côtés pour revoir derrière lui qu’un autre chemin menait à un horizon monotone et que devant, il y avait une route qui menait à un simple établissement scolaire parmi une large éclaircie.
Là où l’homme se mit à nouveau en marche vers son ancien lieu d’apprentissage.







XVI.
La porte d’entrée s’ouvrit par les mains de l’homme et la force de ses bras.
Entrant avec le vent nordique dans ce cercueil vivant de son électricité toujours présente et des bruits de bavardage au loin, provenant de gens pourtant inexistants.
Il alla directement là où il avait eu sa promotion scolaire. En prenant les escaliers qui le l’amena à un gymnase à la musique d’ambiance des hits de son époque. Avec ses tables, ses chaises et ses milliards de confettis. Là ou une seule place était possible de l’unique chaise parmi ce lieu et qui fut occupé par un soi-même aussi jeune que soûl.





XVII.
Le jeune fut là, tête couché sur la table, bave coulante sur le rebord et main droite toujours après sa bouteille de gin.
Il fut réveilla avec de nombreux secouements de la part de l’homme qui se vit sur son visage voilà une bonne trentaine d’année alors que le jeune reconnu un sens familier en voyant celui de l’adulte.
L’homme lui expliqua qu’ils leurs devaient quitter ces lieux et le jeune lui répondu avoir une voiture parmi le stationnement, toujours effrayé en se rendant compte d’être parmi ces lieux vides de vie et d’une froideur digne de la mort.
L’homme et lui sortirent et allèrent au stationnement ou y régnait une seule voiture. Lorsqu’il embarqua, le plus vieux des deux ressentit encore cette vague de nostalgie naître de son cœur et le recouvrir tel une pluie sur une terre longuement asséché.


XVIII.
Le véhicule roulait droit devant, n’entendant que des chansons populaires de l’époque du jeune et du bon vieux temps de l’adulte tout en étant enseveli par de musiques parasites qui furent des notes de piano.
Les deux hommes se gardèrent le silence envers soi-même. L’homme était toujours aussi terrifié de l’endroit où il était et qui ne pouvait concevoir l’idée. D’ailleurs, il ne comprit pas comment il pouvait avoir abouti ici. Pareil pour le jeune dont les derniers souvenirs sont son fameux bal.







XIX.
Puis, parmi les flocons qui tombèrent depuis le ciel au gris éternel, une masse fonça vers la voiture roulante. Celui qui la conduisait ne vit pas voir le bambin aussi grisâtre que l’horizon s’écraser sur un pare-brise qui devint une surface de craquements.
Regardant les deux mâles hurler en voyant ce qui se mit à vomir du jaune dégoulinant de sa petite bouche aux dents d’adultes. Ça partit a rire face au duo qui ne purent rien voir devant, incluant le tournant que cette autoroute éternelle offrit au conducteur qui fit foncer son véhicule au travers de la clôture de bois pour continuer d’aller en pleine forêt.
Là où le sol rendait les flocons d’un rouge vif partout où ils allèrent se déposer.






XX.
Le jeune homme se réveilla, migraine au crâne qui le saisit autant que la vue de l’homme à ses côtés, avec ses multiples branches le transperçant de l’arbre qu’ils ont percutés.
Il sortit du véhicule à l’avant aussi fumant que détruit et le bambin ne fut pas trouvé, ni même les craquements ou le jaune tellement que le nombre de flocons tombés étaient larges sur tout surface.
Lâchant un juron, le jeune regarda la route qui tournait vers ce qui continuait encore et toujours parmi à l’horizon lointain. Puis, il alla vers là où la forêt commençait, avec sa neige rouge qui envahissait le dessus de ses sapins et ainsi que le reste de sa voiture.
Pensant peut-être trouver quelqu’un ou quelque chose parmi le petit sentier qui commence parmi toute cette couleur vivante, le jeune commença sa longue traversée…
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MessageSujet: Re: BEYOND   BEYOND EmptyVen 4 Mar - 16:49

Voilà un récit qui engendre la peur...
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MessageSujet: Re: BEYOND   BEYOND EmptyVen 4 Mar - 17:56

Gregg a écrit:
Voilà un récit qui engendre la peur...

Peut tu dire le pourquoi?
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MessageSujet: Re: BEYOND   BEYOND EmptyVen 4 Mar - 18:12

Arthas_117 a écrit:
Gregg a écrit:
Voilà un récit qui engendre la peur...

Peut tu dire le pourquoi?


Je te sens soupçonneux! Mr.Red

N'es-tu donc pas convaincu du potentiel horrifique de ton oeuvre?
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MessageSujet: Re: BEYOND   BEYOND EmptyVen 4 Mar - 18:33

Gregg a écrit:
Arthas_117 a écrit:
Gregg a écrit:
Voilà un récit qui engendre la peur...

Peut tu dire le pourquoi?


Je te sens soupçonneux! Mr.Red

N'es-tu donc pas convaincu du potentiel horrifique de ton oeuvre?

J'ai tendance a me sous-estimer. Quoi? Me dis tu que c'est qualité Prix Nobel de la Littérature 2016 lol!

Non sérieux, si tu peux me critiquer va y.
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MessageSujet: Re: BEYOND   BEYOND EmptySam 5 Mar - 15:21

Arthas_117 a écrit:
Gregg a écrit:
Arthas_117 a écrit:
Gregg a écrit:
Voilà un récit qui engendre la peur...

Peut tu dire le pourquoi?


Je te sens soupçonneux! Mr.Red

N'es-tu donc pas convaincu du potentiel horrifique de ton oeuvre?

J'ai tendance a me sous-estimer. Quoi? Me dis tu que c'est qualité Prix Nobel de la Littérature 2016 lol!

Non sérieux, si tu peux me critiquer va y.



Le problème c'est que tes qualités sont aussi tes défauts!

Tu as de l'imagination et est créatif, ça c'est très bien. On sent également que tu as la capacité de raconter une histoire intéressante, ce qui est un aspect positif supplémentaire. Par contre, comme problème principal, on peut noter que tu alourdis considérablement ton récit en te répandant dans un développement mal maîtrisé. Aussi, l'emploi des temps ou de certains termes ne me semblent pas très appropriés et la forme se veut trop complexe inutilement, ce qui, au lieu d'élever le texte à un niveau supérieur d'écriture, l'affaiblit grandement.
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MessageSujet: Re: BEYOND   BEYOND EmptyMar 10 Mai - 13:59

Gregg a écrit:
Arthas_117 a écrit:
Gregg a écrit:
Arthas_117 a écrit:
Gregg a écrit:
Voilà un récit qui engendre la peur...

Peut tu dire le pourquoi?


Je te sens soupçonneux! Mr.Red

N'es-tu donc pas convaincu du potentiel horrifique de ton oeuvre?

J'ai tendance a me sous-estimer. Quoi? Me dis tu que c'est qualité Prix Nobel de la Littérature 2016 lol!

Non sérieux, si tu peux me critiquer va y.



Le problème c'est que tes qualités sont aussi tes défauts!

Tu as de l'imagination et est créatif, ça c'est très bien. On sent également que tu as la capacité de raconter une histoire intéressante, ce qui est un aspect positif supplémentaire. Par contre, comme problème principal, on peut noter que tu alourdis considérablement ton récit en te répandant dans un développement mal maîtrisé. Aussi, l'emploi des temps ou de certains termes ne me semblent pas très appropriés et la forme se veut trop complexe inutilement, ce qui, au lieu d'élever le texte à un niveau supérieur d'écriture, l'affaiblit grandement.

Thanks, je vais améliorer mon prochain et faisant attention à ces défauts (j'ai fini la correction).
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