Alien Trilogy (1996, Acclaim Cheltenham)

Lors d’une simple balade à pied parmi les rues de mon quartier cet été. J’ai trouvé dans une vente de garage un lot de bijoux datant de la fin des années 90/début 2000 qui est ma période préférée dans les médias. Je me trouvai bien des merveilles, incluant un Alien Trilogy que je ne connaissais guère. C’est par curiosité que je mis le CD du jeu dans ma bonne vieille Playstation et que j’entras dans l’univers noire et spatial des films d’Aliens.

L’histoire est moins qu’amateur ; vous incarnez le Lt. Ripley avec le coco rasé qui doit fuir l’installation infestée de xénomorphes. Voilà, c’est ça.

Mon histoire que je me faisais dans la tête ; Vous êtes un militaire haut-gradé qui était en cryogénisation pour attente de l’équipement nécessaire en voyage pour guérir votre cancer en premiers stages. Vous vous réveiller et vous trouvez une radio. Vous appelez à l’aide et on vous dit que vous êtes dans au fin fond d’une installation et qu’une contamination de Xénomorphes ait implosé dans le système. Vous êtes guidé par l’aide de la surface qui sont en orbite et qui envoie un vaisseau de sauvetage. Vous trouvez l’armurerie et avec un pistolet, un fusil à pompe et une veste en kevlar. Vous partez vers votre ascension jusqu’à la surface. En croisant bien des dangers lors du chemin vers la vie.

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Alien Trilogy est un FPS qui possède l’essence noire d’Aliens mais qui possède des défauts au blessures bien trop profondes. Je dis bien cela parce que malgré son atmosphère claustrophobe et sombre. Sa trame sonore plus qu’excellente et ainsi que d’un bon gameplay simple. Le jeu possède une balance qui se fait débalancé à un certain point et d’un manque de ficèle entres certaines de ses missions.

Tout d’abord, je dois dire que la musique d’Alien Trilogy est excellente. Je ne sais pas qui a composé cette symphonie électronique mais aux premières notes entendues. On pense à l’univers mystérieux, sombre et dangereux d’Alien. Les effets de son y sont aussi de bonnes qualités. Le bruit des armes à feu tirés dans des lieux restreints est maîtrisée. Lorsque l’on tire dans un long couloir, ça résonne. Lorsqu’on entend le silence, on peut entendre les monstres dans l’installation être partout. Nous donnant un sentiment de survie et d’inconfort là où nous allons. D’ailleurs, dû à cela, lorsque nous ouvrons une porte. On a le réflexe de reculer quelques pas au cas où. Croyez-moi, cette discipline nous sauve la vie plus qu’une fois.

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Bon, je vais commencer par les défauts et surtout le plus gros. Son imbalance soudaine. Au début du jeu, on possède deux armes, le pistolet pour les hostilités de petites tailles et le fusil à pompe pour les créatures noires de notre taille. Ce qui fonctionne bien, puisqu’en tirant trois coups sur les xénomorphes, elles meurent. Un coup sur un facehugger et splush! Mort.
Rendu au niveau 7, là où il y a comme 50 ennemis et on a presque plus de munitions depuis la difficulté d’un niveau précédent. La vie des ennemis augmente et on reste à faire autant de dommage. Alors que les griffes des monstres deviennent plus rapides et font bien plus de dégâts que les niveaux d’auparavant. Ce n’est pas comme cela que l’on augmente la difficulté d’un jeu. Ce genre d’imbalance fut ÉNORME dans les années 90. C’est pour ça que l’excellent Starcraft eut autant de succès comme jeu de stratégie à l’équilibre parfait. Alien Trilogy avait une excellente balance dans ses mécaniques, mais rendu niveau 7. BOUM !!! On injecte du stéroïde dans les monstres, on double leurs vitalités et on te balance ça au triple du nombre. Quoi ? Tu n’es pas capable de passer le niveau. Réessaye puisque c’est devenu un peu plus dur. Ou sinon, bah voilà les codes de triches pour que le jeu redevienne balancé (si on veut) et que tu continues.
Attends une seconde, de quoi tu parles que tu ne passes pas le niveau et que l’objectif ne s’accomplie jamais ? Ah bah alors tape les codes de tricherie pour sauter le niveau et hop ! Tu continues le jeu hahaha! Ah aller voyons, les critiques dans les magazines vont donner une bonne note. L’internet, c’est dans pas longtemps alors faut faire bonne impression. Le fait qu’ils disent que lorsque les monstres restent au plafond pour ne pas descendre et juste te suivre comme des lolos ? Pffffffffffff ils en seront rien ! Pareil à lorsqu’ils doivent remplir le 16ème niveau, ils doivent trouver des items d’objectifs. Ils en trouvent une après avoir fait quatre fois le tour et ça ne donne que 15% de la mission remplie et ils perdent. Ne t’en fais pas, ils ont les codes pour passer tout cela.

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Je m’amusais très bien au début du jeu, jusqu’à l’imbalance du 7ème niveau. Si le jeu avait été bien balancé dans sa difficulté et que les missions se seraient bien suivis. Ajouté par une intrigue simple d’évasion et de survie. J’aurais facilement donné un 5/5 au jeu. Mais les deux défauts majeurs sont des plaies qui ont trop fait saigner l’expérience que j’ai eu. Même qu’à cela, mon intérêt à jouer tout en étant obligée d’utiliser les codes (ce qui détruit l’amusement des 6 premiers niveaux) s’est vidé à la moitié du jeu. Puisque la combinaison de ses deux défauts dans le même niveau m’a fait dire ;

In Alien Trilogy, no one can hear you cheat!

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Invité

Je l'ai dans ma collection, c'est a mes yeux le meilleur Alien, avec le "Alien 3" de la super Nintendo.

juge-rico a écrit:: Je l'ai dans ma collection, c'est a mes yeux le meilleur Alien, avec le "Alien 3" de la super Nintendo.

J'ai pas encore joué à isolation sur la PS4. Mais ils disent qu'il est excellent.

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