Quel est le dernier film que vous avez vu?

MOH Saison 2
The Screwfly Solution de Joe Dante 17/20
Le meilleur masters pour le moment.

Le topic est prêt.

Ginger e Fred (Federico Fellini) - Même avec un budget visiblement limité ainsi que des plans et des éclairages pas toujours top, Fellini parvient à nous émerveiller incessamment durant ces deux heures et des poussières d'humour vaudevillesque, de tendre amertume et d'émotion authentique. Le tout s'assortit d'une habile satire de la télévision et de la célébrité, mais doit également beaucoup aux magnifiques prestations de ses deux acteurs principaux, Giulietta Massina et Marcello Mastroianni. Un grand moment de cinéma. 19/20.

Night of the Living Dead (George A. Romero) - Je dois avouer avoir sous-estimé cette oeuvre. Elle représente l'un des archétypes-clés de l'épouvante qui fonctionne malgré les trois bouts de ficelle qui lui servirent de budget. Néanmoins, Zombie et Le Jour des Morts-Vivants me paraîtront toujours plus captivants. J'en reparlerai davantage d'ici quelques jours. 13/20.

Die Hard (John McTiernan) - Incontestablement une date dans le cinéma d'action américain. Aujourd'hui, l'impact spectaculaire du film s'est un poil estompé, mais celui-ci n'en demeure pas moins divertissant, bien fichu et essentiel dans son genre. Avec un Bruce Willis en pleine forme, qui nous gratifie de plusieurs répliques franchement savoureuses. 15/20.

Big Fish (Tim Burton) - Un film frais, drôle et émouvant, que l'on peut assimiler à une fort belle ode à la fantaisie. Une grande réussite de la part de Tim Burton, qui impose un contraste face à la plupart de ses dernières réalisations, tout de même relativement décevantes. Difficile de ne pas verser une petite larme durant les dernières minutes de l'oeuvre, sincèrement touchantes. Sublime. 17/20.

Infernal Affairs de Andrew Lau et Alan mak

Tout simplement l'un des meilleurs polars depuis plusieurs années !!
Prestations tout simplement génial (surtout Andy Lau qui marque le plus dans sa prestation de la taupe chez la police )
Malgré une réalisation très technique sa reste dans l'ensemble bien réaliser ...
Autre petit bémol par moment la musique ne semble pas bien s'infiltrer dans les images et semble innaproprié.
Mais le film contient sont lot de scènes mémorables dont une final magnifique .
Bref un polar dans toute sa splendeur ! 4.5/5

Maintenant il me reste juste à prendre mon courage à deux mains et me diriger malheureusement vers le remake et voir ce qu'il en donne

ash a écrit:

Infernal Affairs de Andrew Lau et Alan mak

Tout simplement l'un des meilleurs polars depuis plusieurs années !!
Prestations tout simplement génial (surtout Andy Lau qui marque le plus dans sa prestation de la taupe chez la police )
Malgré une réalisation très technique sa reste dans l'ensemble bien réaliser ...
Autre petit bémol par moment la musique ne semble pas bien s'infiltrer dans les images et semble innaproprié.
Mais le film contient sont lot de scènes mémorables dont une final magnifique .
Bref un polar dans toute sa splendeur ! 4.5/5

Maintenant il me reste juste à prendre mon courage à deux mains et me diriger malheureusement vers le remake et voir ce qu'il en donne

J'attends ton avis sur, non pas le remake made in USA dont je ne suis vraiment pas un fan, mais sur INFERNAL AFFAIRS 2 (si tu le vois ) que j'ai trouvé encore plus passionnant que le premier !

celticxoan a écrit:

ash a écrit:

Infernal Affairs de Andrew Lau et Alan mak

Tout simplement l'un des meilleurs polars depuis plusieurs années !!
Prestations tout simplement génial (surtout Andy Lau qui marque le plus dans sa prestation de la taupe chez la police )
Malgré une réalisation très technique sa reste dans l'ensemble bien réaliser ...
Autre petit bémol par moment la musique ne semble pas bien s'infiltrer dans les images et semble innaproprié.
Mais le film contient sont lot de scènes mémorables dont une final magnifique .
Bref un polar dans toute sa splendeur ! 4.5/5

Maintenant il me reste juste à prendre mon courage à deux mains et me diriger malheureusement vers le remake et voir ce qu'il en donne

J'attends ton avis sur, non pas le remake made in USA dont je ne suis vraiment pas un fan, mais sur INFERNAL AFFAIRS 2 (si tu le vois ) que j'ai trouvé encore plus passionnant que le premier !

Je devrais le voir soit ce soir ou demain je ten donne un avis après

Anatomie 2 de Stefan Ruzowitzky - 3,5/5

Le Prestige de Christopher Nolan - 5/5

small soldiers, sa ma rappeler de bon souvenir dommage que joe dante ne realise pu se genre de film 8.5/10

mick20 a écrit:

small soldiers, sa ma rappeler de bon souvenir dommage que joe dante ne realise pu se genre de film 8.5/10

Oui très dommage
Un excellent divertissement

LE MONSTRE DU TRAIN (Terror Train) 11/20

CAUCHEMAR A DAYTONA BEACH uncut (Nightmare) 17/20

Nekromantik 2 : 3.5/5

Un bon film, des plans originaux, l'histoire est originale et maudit que la finale m'a pertubé. Elle est marquante et Gore en sacrifice.

Mon dernier visionnage est GHOST RIDER. Les effets spéciaux sont plutôt bon, les acteurs convaiquants, mais par contre le scénario est un peu faiblard.

Ma note : 3/5

al(ex)_GORE! a écrit:

Nekromantik 2 : 3.5/5

Un bon film, des plans originaux, l'histoire est originale et maudit que la finale m'a pertubé. Elle est marquante et Gore en sacrifice.

Merci de ne pas l'avoir dévoilé car je n'ai toujours pas vu le deuxième mais bon sens que j'ai hâte !

Citation :

CAUCHEMAR A DAYTONA BEACH uncut (Nightmare) 17/20

Ça c'est un putain de film ! Ça me fais penser qu'il faut absolument que je le visionne en version uncut. J'ai toujours pas eu le temps mais ça devrait venir.

Dirty Harry – Don Siegel

À San- Fransisco, une femme est sauvagement abattu par un tireur embusqué. La police reçoit alors un message d’un certain Scorpio qui menace de tuer une personne par jour si on ne lui livre pas la somme de 100 000$. L'inspecteur Harry Callahan, surnommé Dirty Harry, sera chargé de cette affaire. Dirty Harry est un film policier qui a donné naissance à quatre suite. Don Siegel avait déjà collaboré avec Clint Eastwood avec son excellent western soit Two Mules For Sister Sara. Eastwood dans le rôle de l’inspecteur Harry nous livres une excellente prestation, ce qui n’est pas nouveaux avec cette acteur. Ses répliques sont toujours aussi amusantes et parsemés d’humours noirs. Bref un excellent film policier et j’ai bien hâte de voir les suites.

9/10

celticxoan a écrit:

LE MONSTRE DU TRAIN (Terror Train) 11/20

CAUCHEMAR A DAYTONA BEACH uncut (Nightmare) 17/20

Curieusement,j'aurais presque inverser tes notes pour ces deux fims.Le Train De La Terreur est un de mes slashers classiques(que dire plus?)4/5.Pour ce qui est de Nightmare je ne savais même pas qu'il y avait une version censurée.Car la version que j'ai en vhs(elle devrait l'être) date un peu et laisse moi te dire que çà gicle abondamment.3/5

Citation :

Pour ce qui est de Nightmare je ne savais même pas qu'il y avait une version censurée.Car la version que j'ai en vhs(elle devrait l'être) date un peu et laisse moi te dire que çà gicle abondamment.3/5

Si dans ta version on peut apercevoir le coup de hache en gros plan sur le père (l’action complète), c'est bien la version uncut.

chainsaw a écrit:

celticxoan a écrit:

LE MONSTRE DU TRAIN (Terror Train) 11/20

CAUCHEMAR A DAYTONA BEACH uncut (Nightmare) 17/20

Curieusement,j'aurais presque inverser tes notes pour ces deux fims.Le Train De La Terreur est un de mes slashers classiques(que dire plus?)4/5.Pour ce qui est de Nightmare je ne savais même pas qu'il y avait une version censurée.Car la version que j'ai en vhs(elle devrait l'être) date un peu et laisse moi te dire que çà gicle abondamment.3/5

Ma vhs est uncut contrairement au dvd zone 2 qui est totalement dépourvu de scènes sanglantes... et je ne te parle meme pas du final totalement light.

Je posterais un topic sur ce film qui a chaque fois que je le regarde m'impressionne et pas seulement par ses scènes sanglantes....

BloodSplash a écrit:

Citation :

CAUCHEMAR A DAYTONA BEACH uncut (Nightmare) 17/20

Ça c'est un putain de film ! Ça me fais penser qu'il faut absolument que je le visionne en version uncut. J'ai toujours pas eu le temps mais ça devrait venir.

En effet, un vrai film de malade, un pur chef-d'oeuvre pour ma part. Romano Scavolini a su instaurer une ambiance de fou à ce film et la séquence Gore finale reste à ce jour la plus choquante que je n'ai jamais eu l'occasion de voir. C'est sans compter la musique, à l'image de l'oeuvre: extraordinairement morbide.

Citation :

Dirty Harry – Don Siegel

Excellent !!!!!!
J'ai bien aimé "l'inspecteur Harry est la dernière cible" en prime y'a une petite apparition des Guns n' Roses et ....Welcome to the Jungle en intro

The Silence of the Lambs de Jonathan Demme - 4,5/5

Baptiste Müller a écrit:

BloodSplash a écrit:

Citation :

CAUCHEMAR A DAYTONA BEACH uncut (Nightmare) 17/20

Ça c'est un putain de film ! Ça me fais penser qu'il faut absolument que je le visionne en version uncut. J'ai toujours pas eu le temps mais ça devrait venir.

En effet, un vrai film de malade, un pur chef-d'oeuvre pour ma part. Romano Scavolini a su instaurer une ambiance de fou à ce film et la séquence Gore finale reste à ce jour la plus choquante que je n'ai jamais eu l'occasion de voir. C'est sans compter la musique, à l'image de l'oeuvre: extraordinairement morbide.

Oui la musique est excellente. Le final est ultra malsain en effet, du jamais égalé dans le genre. (Quoique le final de The Burning Moon...)

Citation :

Je posterais un topic sur ce film qui a chaque fois que je le regarde m'impressionne et pas seulement par ses scènes sanglantes....

J'avais déjà pris moi même l'initiative d'en créé un ici :

https://horreur-web.forumactif.com/CINEMA-c2/Critiques-des-visiteurs-f6/Nightmare-in-a-damaged-Brain-1981-t952.htm

Citation :

Excellent !!!!!!
J'ai bien aimé "l'inspecteur Harry est la dernière cible" en prime y'a une petite apparition des Guns n' Roses et ....Welcome to the Jungle en intro

Le titre en V.O c'est quoi ? J’ai un peu de mal avec les titres Français.

E.T. the Extra-Terrestrial - Steven Spielberg (1982)



Icône ultime du film familial, péché mignon des chaumières et l'un des plus grands succès commerciaux de Steven Spielberg, E.T. the Extra-Terrestrial, sous ses dehors un tantinet trop mièvres et enfantins, réserve une belle histoire d'amitié fictionnelle (ou science-fictionnelle, pourrait-on plutôt dire), mâtinée d'aventure, de sentimentalité et d'humour avant tout adressés à un public pré-adolescent mais également aptes à séduire quiconque ayant gardé en lui une petite âme de chérubin. On est en effet quelque peu surpris de constater qu'après toutes ces années, l'œuvre conserve une certaine magie, voire même une naïveté rassurante. Si Spielberg ne fait ici guère montre de sa facette de réalisateur mature et intelligent (Duel, The Color Purple, Empire of the Sun, Schindler's List), il revêt en revanche le statut du faiseur de blockbusters qu'on lui connaît encore plus, et force est de reconnaître qu'il y a aujourd'hui encore de beaux restes dans la soupe populaire. E.T. the Extra-Terrestrial en demeure d'ailleurs l'un des plus honorables exemples. Avec le recul, la recette n'a rien de bien subtil, complexe ou révolutionnaire. Ce film fut ébauché, conçu et finalisé dans le seul et unique but de plaire aux sept à soixante-dix-sept ans, de préférence aux plus jeunes, pour être tout à fait exact. Mais Spielberg y a mis à profit ses talents de metteur en scène et de conteur, ce qui change considérablement la donne.



Tout d'abord, la réalisation est si soignée, fluide et dynamique (marque de fabrique du cinéaste) que l'on peut difficilement lui trouver le moindre défaut. Même réussite concernant les trucages: ils n'ont pas pris une ride et le design d'E.T. en particulier reste toujours aussi bluffant de perfection. En second lieu, le propos de l'œuvre a beau sembler naïf et puéril, il bénéficie malgré tout d'un traitement narratif très abouti, évitant au spectateur l'ennui qu'il appréhendait depuis le début, à quelques exceptions près, bien évidemment. Eh oui, E.T. the Extra-Terrestrial exerce un judicieux pouvoir de divertissement, et même ceux sur lesquels les mauvais préjugés avaient la mainmise risquent d'en être la cible ! Enfin, il s'avère indéniable que le film possède énormément de charme, et ce charme en question réside parfois même dans ce que l'on pourrait plus sérieusement qualifier de lourdeurs, de défauts: le portrait tendrement caricatural de la bourgade yankee et de la petite famille américaine aisée made by Spielberg. En un certain sens, cette image stéréotypée des personnages et de l'environnement qui les entoure apparaît plus réconfortante que réellement irritante. Il y a bien sûr la présence des sempiternels gags ou situations relativement indigestes (on soulignera notamment cette manie benête d'utiliser la malbouffe dans le but d'amorcer un effet comique ou catastrophe - glissade sur une pizza, coca-cola et lait renversés à terre ou sur un téléphone -) qui nous font doucement grincer des dents, le genre de petits détails qui suscitent un brin d'amertume par leur bêtise et leur inutilité évidentes. Il ne fait donc aucun doute qu'E.T. the Extra-Terrestrial demeure largement plus convaincant dans la forme que dans le fond. Mais en dépit de ses nombreuses fautes de goût, l'ensemble réserve quelques beaux instants d'émotion, excepté certaines scènes pathos illustrant la relation entre E.T. et Elliott. Gageons les plus endurcis de ne guère ressentir le moindre petit attendrissement devant la complicité qui unit ces deux êtres de même que ce final sincèrement touchant, dans lequel un hommage aux productions de science-fiction d'antan se dissimule derrière un happy end bien pondéré et moins rébarbatif que prévu.



Dans le canon du cinéma familial américain des années quatre-vingt, entre le très fun Gremlins et le fantasmagorique Die Unendliche Geschichte par exemple, E.T. the Extra-Terrestrial reste assurément l'un des « maillons faibles » du lot, la faute en revenant à son caractère parfois trop niais et ses quelques digressions psychologiques plutôt grossières, donc par conséquent ratées. Mais la virtuosité filmique de Spielberg, l'émotion et la magie envoûtantes se dégageant de plusieurs scènes ainsi que ces stupéfiants effets spéciaux dûs à une flopée de talentueux techniciens lui assurent un intérêt estimable et le tout se révèle à l'heure actuelle encore digne d'émerveiller les plus jeunes. Une œuvre moyenne à l'échelle du génie de son auteur, mais un cinéma populaire de bonne qualité.

12/20

Magnum Force - Ted Post

Un groupe de policier de San-Fransisco décident de faire leur propre justice. Ils assassinent sans pitié toute la vermine de la ville : vendeur de drogue, criminel et etc. Magnum Force est la suite de l'excellent film de Don Siegel soit Dirty Harry. Ted Post avait également travaillé avec Clint Eastwood avec son très moyen western Hang 'Em High. Il s'agissait ici du premier western Américain de Clint Eastwood. Cette suite est quand même très bonne bien quelle ne soit pas meilleur que l'original. Il y a beaucoup de temps mort et les répliques d'Harry sont moins bonnes mais le film est très bien dans l'ensemble. À voir si vous avez aimé le premier.

8/10

Rocky - John G. Avildsen (1976)



Après un début de carrière peu glorieux en tant qu'acteur principal au service d'un film pornographique bas de gamme, Sylvester Stallone décide de s'orienter vers de meilleurs lendemains. Il écrit le scénario d'un jeune loubard pas mauvais bougre, boxeur raté à ses heures, auquel l'on accorde un beau jour le privilège de se mesurer à un roi du ring dans un combat tout ce qu'il y a de plus solennel. Son cœur balance entre un rêve de passionné qu'il souhaite mener à bien et une jeune femme timide et modeste qu'il est parvenu à conquérir. Derrière une glorification un tantinet naïve mais jamais prétentieuse du rêve américain, il y a dans cette histoire la réussite d'un portrait réaliste et sincère des petites gens, transposé avec la même authenticité à l'écran. John G. Avildsen signe une œuvre à la mise en scène brute, sans fioritures, dont l'émotion passe avant tout par le jeu « humain » et fort crédible des comédiens principaux (Stallone lui-même dans le rôle-titre, Talia Shire et Burt Young) ainsi que - plus accessoirement - par la superbe musique de Bill Conti, qui oscille entre tonalités soul et mélodramatiques. Peu d'action, peu de rebondissements, une prédilection pour les scènes illustrant des instants de la vie quotidienne, Rocky a tout d'une production indépendante et personnelle à quelques encablures d'un véritable film d'auteur, ce qui ne l'empêcha guère de remporter un succès commercial pharaonique, outre le fait qu'il propulsa Stallone au rang de star. Le public n'est pas resté indifférent face à ce récit touchant, cette réalisation à la fois humble et marquante et ce dépouillement narratif qui nous renvoie par moments à une esthétique quasi documentaire, secrets d'une recette gagnante d’ailleurs recouvrés dans Rocky Balboa, ce magnifique retour aux sources mis en scène et interprété trente ans plus tard par un Stallone à l'apogée de son talent. Visuellement et idéologiquement ancré dans son époque - ce qui en un sens lui confère un charme supplémentaire -, Rocky, brillante évocation de l'Amérique des paumés, a néanmoins par son fond l'étoffe d'une œuvre intemporelle. Un grand film.

17/20

Meet the parent avec robert deniro