Terminator (Trilogie)

Réalisé par James Cameron
Écrit par James Cameron & Gale Anne Hurd

Musique de Bred Fiedel
Avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Michael Biehn, Lance Henriksen, Paul Winfield




Classique de chez Classique, Terminator est le genre de film que j’ai vu une trentaine de fois mais que je ne me lasse jamais de revoir. James Cameron et son acolyte créent ici l’une des figures les plus emblématiques de l’histoire du cinéma. Qui ne connaît pas Terminator ? Ce cyborg venu du futur pour tuer Sarah Connor, allant bientôt mettre au monde celui qui deviendra le chef de la Résistance humaine face aux machines. Une histoire qui peut paraître désuète de nos jours mais dont le fond annule tous les aspects vieillis de ce film. James Cameron dépeint ici un avenir chaotique, dévasté par la guerre, la précarité, la maladie, la famine. Mais pas seulement, Terminator introduit un présent violent où règne l’insécurité. Le tout sous l’égide d’un futur voué à la révolution des Machines et à l’extinction des Hommes. Un peu comme La Planète des Singes, les cyborgs et les ruines remplaçant les singes et leur habitat naturel. Scénariste mais aussi réalisateur de Terminator, James Cameron semble bien en avance sur son temps. Non pas par des mouvements de caméra particuliers ni même par des prises de vue originales, mais bel et bien par une mise en scène implacable et des effets spéciaux méchamment chiadés. Certes, le rendu a pris un sacré coup de vieux (la tête animée du Terminator, son corps mouvant) mais bordel ! le potentiel est là.



N’oublions surtout pas la musique de Bred Fiedel. Si les musiques additionnelles et les thèmes secondaires s’inscrivent définitivement dans le kitsch des années 80, reconnaissons à Fiedel un thème principal ronflant, envoûtant, grandiose, bref indémodable. Sans compter quelques thèmes par-ci par-là incroyablement angoissants (la scène de la boîte de nuit, le final…).




Terminator puise également sa force dans les entrailles de ses acteurs. Si leurs prestations ne risquent pas de marquer le cours de l’Histoire, force est de constater que leur rôle respectif leur va à merveille. Linda Hamilton marque un sans faute. Idem pour Michael Biehn et Lance Henriksen. Quant à Arnold Schwarzenegger, il a beau être devenu un Gouverneur californien con comme ses pieds, il n’en est pas moins Le Terminator. Terminator n’est riens sans Schwarzenegger et je serais tenté de dire que Schwarzenegger n’est rien sans Terminator. Ce personnage charismatique et bourrin lui va comme un gant. Soyez-en certains, Terminator signe la meilleure performance d’Arnold Schwarzenegger, tous volets confondus.



En somme, la forme a quelque peu vieilli, non le fond. Terminator s’impose comme l’un des meilleurs métrages de sieur Cameron, après Terminator 2, bien entendu. Ce film d’action/SF restera à jamais gravé dans l’histoire du Cinéma, avec sa suite. Le personnage de Terminator est culte, au même titre que Jason Voorhees, Michael Myers, Robocop, ou encore Freddy Kruegger. Plus qu’un film, une légende du cinéma !




Réalisation : 4/5
Histoire : 5/5
Musique : 3.5/5
Acteurs : 3.5/5

Note : 16/20

J'ai bien aimé les 3 terminateurs surtout le 2 , mais maudit que le troisieme avec la voix yves corbeil m enerve.

Réalisé par James Cameron
Écrit par James Cameron & William Wisher
Musique de Brad Fiedel
Avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Edward Furlong, Robert Patrick, Joe Morton, Earl Boen

Synopsis :

En 2029, après son échec pour éliminer Sarah Connor, Skynet programme un nouveau Terminator, le T-1000, pour retourner dans le passé et éliminer son fils, John Connor. Futur leader de la résistance humaine, ce dernier programme un autre cyborg, le T-800, et l’envoie également en 1994. Pour le protéger, une seule question déterminera le sort de l’humanité : laquelle des deux machines trouvera John la première ?



7 ans après le cultissime Terminator, James Cameron remet le couvert via cette suite percutante, supplantant son prédécesseur à bien des égards. Avec Le Jugement Dernier, Cameron nous prouve une fois de plus qu’une séquelle peut être essentielle à une saga naissante.







Réalisation : 4/5
Admettons-le, certains aspects de l’opus ont vieilli. Qu’il s’agisse des effets spéciaux (les lasers violets du futur), des décors (les fonds d’écran servant à représenter la Guerre du Jugement Dernier, ou pour simuler les trajets en voiture), des trucages (des maquettes miniatures en guise de décors urbains), ou de l’apparition trop flagrante des doublures de Schwarzenegger et Furlong. Ceci étant, James Cameron ne manque pas de nous rappeler quel réalisateur talentueux il est. Ce, en signant une mise en scène maîtrisée à la perfection, où aucun plan n’est laissé au hasard, où chaque séquence est une nouvelle occasion pour nous en mettre plein la vue via des mouvements fluides et grandioses, des scènes d’action fracassantes à base de gunfights musclés, de combats à mains nues ou aériens titanesques. De quoi divertir copieusement le spectateur et ravir les fans de Cameron comme ceux du premier Terminator.







Histoire : 4.5/5
Il n’est jamais facile de faire suite à une œuvre culte telle que Terminator sans commettre de réchauffé. Même si la raison de la réintégration de Schwarzenegger était trouvée d’avance (en renvoyant un Terminator dans le passé), il semblait plus complexe de faire progresser l’histoire de Sarah et John Connor. Et c’est justement là où Cameron et Wisher surprennent. En dépit d’une représentation très caricaturale du milieu psychiatrique (les camisoles chimiques, les psychiatres pervers, les surveillants tyranniques – particulièrement dans le Director’s Cut), les deux scénaristes font montre d’un scénario infaillible, composé d’une première et d’une dernière parties sans temps mort, au suspense haletant ; ainsi que d’une seconde partie moins explosive, plus longue il est vrai, mais surtout plus réflexive et nous dévoilant avec brio une vision pessimiste de l’avenir doublée d’une satire sociale quant à la tendance de l’Homme à s’autodétruire. En bref, Cameron et son acolyte ont su reprendre les rênes d’une mythologie déjà haute en couleurs en prenant soin d’aller plus loin et de parfaire le travail entrepris 7 ans plus tôt.







Acteurs/Personnages : 4/5
Si les deux cyborgs perdent de leur apparence angoissante et crasseuse (par rapport au Terminator de 1984), ils gagnent indubitablement en charisme et en puissance visuelle. Schwarzy apparaît plus bourrin que jamais – via des affrontements physiques et armés sans précédent (le mitraillage du T-1000 dans la cabine du camion, le combat dans le centre commercial, les échanges de coups de feu entre les deux robots…). Et Robert Patrick s’imprègne de l’essence même de son personnage pour lui donner toute la froideur, toute l’intelligence mais aussi tout le charme nécessaires. Par ailleurs, force est de constater que les personnalités de Sarah et John Connor suivent une logique implacable. John est un gamin perturbé, un vandale en marge de la société, mais aussi un pirate informatique doué et un amateur de jeux vidéo de guerre. Quant à Sarah, son expérience antérieure l’a rendue plus forte, l’a poussée à éduquer son fils selon une tradition militaire, mais l’a également conduite à l’hôpital psychiatrique à force de proférer ses récits de Jugement Dernier et de machines venues du futur. Et chaque personnage n’aura de cesse d’évoluer, avec cohérence, tout au long de l’épisode.
Petite anecdote : les acteurs Robert Patrick (T-1000) et Joe Morton (Miles Dyson) se retrouveront dans l’épisode Combattre le Passé (8x06 – Redrum) de la série X-Files.





Musique : 4/5
Brad Fiedel continue sur sa lancée en éditant avec maestria le thème ronflant du Terminator de 1984. La bande-son se veut tantôt pesante et oppressante, tantôt détonante et explosive. Bien que le score se montre parfois trop discret – et peut-être trop basique – Brad Fiedel vient combler une suite déjà luxueuse par ses partitions uniques et sublimes.





Note : 16.5/20


ANALYSE DU DIRECTOR’S CUT DE TERMINATOR 2 – LE JUGEMENT DERNIER :
Malgré le fait que les scènes inédites, ici ajoutées au produit final, plombent un peu le rythme de la seconde partie du métrage, le Director’s Cut constitue un bijou cinématographique que tout fan se doit de posséder. Vous trouverez ci-dessous une revue des scènes coupées au montage, du moins celles que j’ai pu repérer ou qui me semblaient cruciales à présenter.


Cette séquence fait suite à la présentation de Sarah Connor, par le psychiatre de l’établissement, auprès des étudiants. Elle nous expose les méthodes barbares employées par les surveillants pour faire ingérer les médicaments aux patients.


Une scène surprenante et bien plaisante dans laquelle l’acteur Michael Biehn ré-endosse le rôle de Kyle, le soldat envoyé dans le passé dans le premier Terminator. En pleine confusion psychique, Sarah Connor reçoit la visite de son défunt amant qui lui rappelle que leur fils coure un grave danger. À NE SURTOUT PAS MANQUER !


Ce court passage fait directement suite au coup de fil passé par John à sa belle-mère, qui est en fait une réplique du T-1000, où il lui demande si « Wolfy » va bien dans le but de la tester (sachant que le chien en question s’appelle Max). Le T-1000 reprend alors sa forme initiale, va au fond du jardin, tue le chien et retire son collier pour en vérifier le nom.


Dans cette séquence (située au moment où les Connor et le Terminator se dirigent vers le Nouveau Mexique), le T-800 autorise Sarah à extraire son microprocesseur. Une fois fait, le Terminator est déconnecté, et Sarah veut en profiter pour détruire la puce, se méfiant de toute machine. Mais John intervient et l’empêche de commettre un tel geste en affirmant sa position de soldat en chef.


Voici l’une des scènes les plus drôles de tout le métrage. Où John essaie d’apprendre au T-800 comment sourire. Ce qui donne un faciès particulièrement con au cyborg.


Ces deux différentes scènes coupées (l’une se situe au moment où Sarah désire tout savoir sur Miles Dyson, l’autre lorsque tout le groupe met en branle les bureaux de Skynet) permettent de nous immiscer dans le quotidien de Miles Dyson, futur responsable du soulèvement des machines. Dans la première, sa femme vient le perturber alors qu’il bosse un dimanche après-midi sur le microprocesseur du Terminator. Dans la seconde, Dyson emprunte une hache au T-800 pour détruire la maquette de ladite puce électronique.


Ces séquences ont pour but de nous montrer que la régénération du T-1000 (après avoir été congelé puis explosé) l’a rendu plus fort et qu’il peut désormais s’allier avec tous les composants qu’il touche. Une barre de sécurité, un sol métallisé…

(EN)FIN.

Moi j'adore les Terminator, juste pour l'action brute ou on réfléchi pas...
Vive les bourrins^^
le 2 est mon préféré

Mario595 a écrit:

Moi j'adore les Terminator, juste pour l'action brute ou on réfléchi pas...
Vive les bourrins^^
le 2 est mon préféré

Mouais, c'est pas Jason non-plus. Les deux premiers Terminator amènent tout de même à une certaine réflexion et jouissent d'un fond de SF en béton armé. Le 3 un peu moins, je te l'accorde.

Je ne me souviens pas avoir vu Jason avec une mitrailleuse lourde dans une main et un lance-roquette dans l'autre

Mario595 a écrit:

Je ne me souviens pas avoir vu Jason avec une mitrailleuse lourde dans une main et un lance-roquette dans l'autre

Connaissant le bonhomme, il s'en servirait comme masse pour défoncer des cranes

Par contre dans ma collection dvd je possède Terminator 1 et 3...
Je ne peux pas regarder le second volet, tant les scènes ou le gosse explique au Terminator que tuer des humains c'est pas bien, m'énerve !
Et cet idiot l'écoute en plus...pour moi ce film est une très mauvaise expérience que je ne suis pas prêt de revivre !

le premier , le second toujours un vrais plaisir a les revoir pour le troisième : c est ce coté qu' enfin de compte on ne peut rien changer .
C est quand meme démoralisant car des hommes sont morts dans les deux autres volets et tout ça pourquoi ?
Pour que rien ne bouge enfin sauf que pour que le pére de Conor vienne voir la mère de Conor si non si c est écrit et bien reste plus qu a .....
Par contre le terminator nana j ai bien aimé et un film d action qui a permi de remplir les poches d Arnold pour sa campagne .

celticxoan a écrit:

Je ne peux pas regarder le second volet, tant les scènes ou le gosse explique au Terminator que tuer des humains c'est pas bien, m'énerve !
Et cet idiot l'écoute en plus...pour moi ce film est une très mauvaise expérience que je ne suis pas prêt de revivre !

Tiens, c'est bien la première fois que j'entends cela...
Je trouve touchant le fait que John tente d'humaniser la machine, et puis cet aspect amène des scènes hilarantes dans le Director's Cut telles que le passage où le T-101 essaie de sourire...
Pour moi, T2 est le meilleur de la saga.

lady vamp a écrit:

lC est quand meme démoralisant car des hommes sont morts dans les deux autres volets et tout ça pourquoi ?

C'est ce qui, je trouve, donne toute sa force à l'épisode. De plus, c'est une manière de rester très fidèle à l'esprit de la saga (quoiqu'il advienne, la Guerre surviendra) tout en la contredisant (ici, il y a bien un destin). Et puis, cela permet de contourner l'happy-ending de rigueur...




Réalisé par Jonathan Mostow
Écrit par John Brancato & Michael Ferris
D’après une histoire de John Brancato, Michael Ferris & Tedi Sarafian
Musique de Marco Beltrami
Avec Arnold Schwarzenegger, Nick Stahl, Claire Danes, Kristanna Loken, David Andrews

Synopsis :

John Connor doit aujourd’hui lutter contre le T-X, la dernière arme de Skynet venue éliminer le futur leader de la Résistance humaine. De l’issue de ce combat dépend l’avenir de l’humanité…







12 ans après Le Jugement Dernier, Terminator 3 voit enfin le jour – une suite que les fans n’espéraient même plus. Si Le Soulèvement des Machines constitue une agréable surprise au premier coup d’œil, il perd vite de sa superbe au second visionnage. La regrettable absence de James Cameron derrière la caméra se fait sentir tout au long du métrage. Sans être mauvaise, la réalisation de Jonathan Mostow ne possède ni les mouvements fluides (optant préférentiellement pour des mouvements vifs moins percutants) ni le génie artistique du metteur en scène des deux premiers épisodes. De surcroît, les effets spéciaux nouvelle génération, censés combler les lacunes des opus de 1984 et 1991 (effets convaincants mais datés), abusent massivement des trucages numériques. À tel point, d’ailleurs, qu’ils font bien plus taches que les effets employés par Cameron une décennie auparavant. Ceci étant, Mostow se révèle bien plus probant lorsqu’il s’agit de mettre en scène de l’action pétaradante, burnée et calculée au millimètre près. Il faut en effet voir cette course-poursuite dantesque entre le T-X et le T-101, conduisant respectivement une grue de chantier et un camion de pompiers, et poursuivant un John Connor en prise avec 4 véhicules télécommandés par le T-X. Ou encore ce combat à mains nues, sans pitié, entre les deux Terminators, se projetant dans les murs et s’envoyant des coups d’une puissance phénoménale.







Outre la réalisation, c’est bien du côté du scénario que les fans plaçaient le plus d’appréhension. Les possibilités étaient nombreuses mais toutes n’étaient pas bonnes à prendre. Or, force est de reconnaître que le travail entrepris par John Brancato, Michael Ferris et Tedi Sarafian fait honorablement suite à la saga de James Cameron. Même si les scénaristes privilégient l’action à la SF ou à la réflexion, et même s’ils viennent brouiller un peu plus la confusion des dates – John Connor stipule que le T-101 est venu le secourir lorsqu’il avait 13 ans, soit en 1997, alors que l’action est censée se dérouler en 1994 dans Terminator 2 et que Sarah Connor est décédée en 1997, soit 3 ans après qu’on lui ait diagnostiqué sa leucémie !!! –, l’histoire se veut un hommage sincère aux deux premiers volets et poursuit admirablement la série. Ici, un super virus s’est emparé du système informatique international et la société secrète Skynet semble être la seule à pouvoir résoudre le conflit, ce en libérant une Intelligence Artificielle dans les circuits, ce qui aura pour conséquence le soulèvement des machines. Les références s’amoncèlent sous les yeux du spectateur, notamment via les véhicules utilisés (de la moto de police à l’hélicoptère, en passant par la camionnette) ou l’ultime affrontement entre les deux machines (le T-X privé de ses jambes, devant ramper jusqu’à ses cibles), et permettent même d’ajouter une petite touche d’humour et d’autodérision à l’édifice (le T-101 enfilant des lunettes étoilées après s’être trimballé à poil dans un cabaret pour dames, ou jouant avec ses répliques cultes : « She’ll be back », « I’m back »).





Maintenant, l’on se montrera beaucoup moins enthousiaste concernant le casting du film. Si la présence d’Arnold Schwarzenegger s’accueille à bras ouverts, l’acteur se montre moins convaincant que dans le passé et peut-être trop vieux pour ce rôle-phare qui lui allait pourtant si bien. Ce qui ne l’empêche pas, ceci dit, de rendre correctement la pareille à Kristanna Loken, terrible et glaciale dans la « peau » du T-X. Pour ce qui est de John Connor, le choix de l’acteur reste discutable. Nick Stahl a plus une tête à claques qu’une âme de résistant. Son jeu demeure louable mais se trouve à mille lieues de la performance d’un Michael Biehn ou d’un Robert Patrick. Idem pour David Andrews et Claire Danes, incarnant ici un couple père/fille des plus pathétiques.
Évidemment inférieur à ses aînés, Terminator 3 n’en constitue pas moins une suite digne de ce titre. L’on aurait préféré un projet issu de Cameron lui-même, une bande-son plus fidèle à la saga, ainsi qu’un scénario plus étoffé. Mais il serait dommage de bouder le plaisir que nous procurent ces 100 minutes d’action/SF haletantes et sans temps mort.








Note : 14.5/20



Caméo très sympathique de l’acteur Earl Boen, reprenant son rôle du Dr Silberman, le temps d’une séquence.

Killing Zoé 73 a écrit:

Hallucinant de découvrir que Michael Biehn vient faire un caméo' dedans : James Cameron aurait dû la laisser cette scène, même si elle n'était pas indispensable au déroulement de l'histoire. Ca aurait fait plaisir à tous les fans du premier de le voir réapparaître, ne serait-ce que quelques secondes...
En tous cas, je suis globalement bien d'accord avec ta critique du second opus que je trouve très justifiée.

Tout à fait d'accord avec toi ! Michael Biehn aurait dû apparaître dans la mouture finale. Ceci étant, j'imagine que ça n'était pas pour discréditer ceux qui n'avaient pas vu le premier...

Quoi qu'il en soit, je te recommande chaudement ce Director's Cut ! Ça fait toujours plaisir de découvrir une version intégrale d'un film que tu connais par coeur !

def leppard a écrit:

J'ai bien aimé les 3 terminateurs surtout le 2 , mais maudit que le troisieme avec la voix yves corbeil m enerve.

ecoute en vo

judgement day est dns mon top 10 des films

VRaiment parfait

J'aurais une question X-Files, est-ce que tu as vu la final alternative du deuxième. Lorsque la mère raconte que le jugement dernier est jamais arrivé. Elle est rendu vieille et son fils est rendu président des État- unis.

j'adore le 1 et le 2 pour des raisons différentes, je dois avouer que j'ai léger faible en plus pour le 2 tant il dégage une atmosphère qui me touche particulièrement. les réfléxions sont intéressantes dans ces films en plus, ca n'est pas juste un spectacle d'effets spéciaux.

par contre le 3, une vraie bouse pour moi,totalement dénué de charme

mark a écrit:

J'aurais une question X-Files, est-ce que tu as vu la final alternative du deuxième. Lorsque la mère raconte que le jugement dernier est jamais arrivé. Elle est rendu vieille et son fils est rendu président des État- unis.

Oui, j'ai vu cette fin alternative. Elle ne figure pas directement dans le Director's Cut mais elle est disponible dans les bonus de l'édition Ultimate. Par contre, je ne me souvenais pas que John Connor finissait président des USA, tu en es certain ?

je me rappelle pas ca aussi, peut etre que sarah connor l'évoque je sais pas

X-Files_Arpanet a écrit:

mark a écrit:

J'aurais une question X-Files, est-ce que tu as vu la final alternative du deuxième. Lorsque la mère raconte que le jugement dernier est jamais arrivé. Elle est rendu vieille et son fils est rendu président des État- unis.

Oui, j'ai vu cette fin alternative. Elle ne figure pas directement dans le Director's Cut mais elle est disponible dans les bonus de l'édition Ultimate. Par contre, je ne me souvenais pas que John Connor finissait président des USA, tu en es certain ?

M'essemble en tout cas, mais de toute façon cette final est minable.

La voici: https://www.youtube.com/watch?v=Cig1x3ZOxAU

Non, je ne la trouve pas minable. C'est une fin optimiste qui conclut correctement le diptyque Terminator. Mais James Cameron préférait une fin ouverte, c'est pourquoi elle ne figure pas dans le Director's Cut.

X-Files_Arpanet a écrit:

Non, je ne la trouve pas minable. C'est une fin optimiste qui conclut correctement le diptyque Terminator. Mais James Cameron préférait une fin ouverte, c'est pourquoi elle ne figure pas dans le Director's Cut.

Moi je trouve qu'elle donne mal à la tête. Tout est bien qui fini bien, John à eu un enfant et sa mère est avec Kyle Reese. Biensûr qu'elle est pas minable, mais trop facile.

Terminator : Salvation

Il aura fallu six bonnes années avant de voir surgir, un nouveau volet de la saga Terminator et je dois dire que j'étais impatient de le voir. Mais, en même temps, je trouvais qu'on avait fait le tour avec Termnator 3 : Rise of the Machines, qui était vraiment très faible comparativement à ses deux premiers volets. Eh bien, avec ce quatrième film, la saga aura atteint un niveau de médiocrité absolue (Merci énormément McG). Pourtant, je suis un fan de la première heure et j’adore la saga !!! Mais, je ne peux accepter l'incroyable changement entre ce quatrième volet et les trois autres. Pourtant, le film avait une bonne façon de contourner la redondance de la saga, mais, à la place il a décidé de se mettre dans celle-ci.

En 2018, la race humaine est complètement anéantie et il ne reste que peu de survivants. Le commandant John Connor et sa femme Kate Brewster, vont essayer d'arrêter la guerre avec une nouvelle invention. Pendant ce temps, Kyle Reese (le futur père de John) est enlevé par les machines et pourrait mourir, mais, un Terminator ''humain'' du nom de Marcus va aider Connor. Connor va-t-il réussir sa mission et pouvoir permettre sa naissance ? Bien des aventures les attendent, en tout cas.

McG aura rendu une saga dramatique et sombre, en véritable film d'action sans consistance à aucun moment. L'histoire est exactement comme dite dans le résumé, il n’y a aucun revirement, aucune révélation inattendue ou même quelques choses qui soient non devinable. Le scénario est complètement inexistant et l'ennui pogne au bout de seulement 20 minutes, ce qui est le pire, c'est que l'idée était bonne et aurait pu apporter quelques choses de nouveau. Mais, à la place on nous sert du réchauffer sans arrêt (le Terminator humain est le pire) et des facilitées trop rapidement lassantes. Je n'aime pas, ce qu'est devenu John Connor, c’est un antipathique qui semble être égoïste, enragé et complètement sans expression. La sympathie qu'on avait pour Edward Furlong et Nick Stahl, n'est plus et le remplacent Christian Bale joue comme un pied (on est bien loin de ses rôles hyper bons dans Dark Knight ou American Psycho) et ne semble pas convaincu des répliques et de ses actions, qu'il doit faire. Mais, vraiment, les répliques sont vraiment à la limite de la connerie, chaque protagoniste semble craché des répliques qui ont été entendu dans d'autres films ! Encore pire sont les scènes d'actions qui n'arrivent même pas à faire monté le divertissement, le réalisateur semble vouloir juste avoir du contenu (inexistant quand même) en ne pouvant pas s'empêcher de mettre une explosion à chaque moment.

La musique originale écrite par Brad Fiedel pour le premier film, est tellement recyclé et modifier, qu'elle en perd toute crédibilité. Encore pire, est d'avoir voulu utiliser le thème principal dans ce film, car même si il possède le même nom celui-ci n'a (presque) strictement aucun rapport avec la saga antérieure. Mais quand même, il faut avouer que le film est beau à regarder, le directeur artistique donne une teinte colorée et ultra surréaliste au film. En tout cas, de ce côté c'est déjà mieux. Il y a aussi la présence d'acteur comme Michael Ironside, Helena Bonham Carter, Linda Hamilton (sa voix) et Bryce Dallas Howard qui sont vraiment la bienvenue. Sinon, le reste des qualités sont assez limitées et on les oublies vite, malgré de très bonne intention. La fin est vraiment trop identique aux trois premiers et montre, que la saga n'évolue pas et reste trop dans le même contexte que précédemment. Ce que le Terminator ''humain'' fait pour John Connor est trop prévisible et facile à mon goût (ça manque trop de subtilité).

Véritable déception, Terminator : Salvation ne mérite pas l'attention du public et s'oublie vite ; McG a manqué son coup et devrais pas être réalisateur. Même si on le compare pas à ses grands frères, on le trouve ordinaire, voire médiocre. Alors, est-ce que ce nouveau volet mérite un visionnement ? Absolument pas et vous devriez passer votre chemin ! Une grosse perte d'argent et de temps ! Dire que deux autres volets sont en préparation ! @#$%?

NOTE: 1,5/5

Personnellement, je trouve que le premier film est excellent. Pour le 2 et le 3, ils sont bon, mais sans plus. Je n'ai pas encore osez regarder le 4. Ça semble être pas mal pourris comme film. Je n'ai pas vraiment accroché à la série tv donc je n'ai vu qu'un épisode.

Le 2ième est le meilleur!!!!!!!!

Je trouve que tu est trop dure envers le film, Mark.

Le film vaut le coup d'être vu au moins une fois dans sa vie pour pouvoir faire sa propre idée.

C'est vrai que le film est moins bon côté scénario mais je l'ai quand même apprécié.

Trilogie signifie trois volets, Mark !

Il existe un autre topic consacré à Terminator Salvation : https://horreur-web.forumactif.com/cinema-en-general-f19/terminator-salvation-2009-t3819.htm