Run! Bitch Run! (2009, Joseph Guzman)

Run! Bitch Run! tu devrais plutôt t'appeler "Hide you fucking Cunt! Tu me décois tellement"

Un titre, un trailer et une histoire pareille pour finalement n'être qu'une pierre de plus dans cette montagne de films oubliable!

http://www.horreur-web.com/runbitchrun.html

Il est étonnant que ce film n'ait pas fait plus de bruit car il serait à ranger aux cotés de la filmographie de Rob Zombie tant il partage cet esprit crade et malsain propre au réalisateur mais pourrait également plaire à ceux qui ont aimé Machete ou Pervert.

Run! Bitch Run! est un rape and revenge au scénario assez conventionnel mais délivre tous les ingrédients pour séduire un grand nombre d'amateurs. Le gore est présent, tout autant que l'humour avec des dialogues savoureux ou encore une mise à mort finale très originale, sans oublier le sexe, chaque actrice n'oubliant pas de dévoiler ses charmes. Le seul bémol, mais de taille, serait cette musique assez vite insupportable mais pourtant présente tout au long du métrage.

3/5.

J'adore le premier paragraphe de ta critique Scary!
Par contre, cher amoureux de la mamelle, j'ai été déçu par ton "trop c'est comme pas assez".
Ça m'a fait pensé à la réplique de ces éternels insatisfaits "ce qui déborde de la main, ça ne sert à rien" . Mais je te rejoins, ça m'a bien plus paru être un sacré bon porno avec une histoire qui dévie de la secrétaire-infirmière-mécano-étudiante.

Ce qui m'a dérangé c'est d'avoir mêler l'excitation à une scène aussi violente que

Spoiler:

c'est malsain et ça m'a choqué. Tout autant que sa répétition à la fin

Spoiler:

J'y ai trouvé le porno trop exploité, trop explicite et je ne parle pas des seins.



Un Tarantino qui regarde sous la jupe de Zombie en fait

Bien merci pour ce beau compliment!

Cependant, je crois que l'expression "trop c'est comme pas assez" est valable dans certains cas.

De la violence gratuite, par exemple, trop c'est comme pas assez. Plus il y en a, plus cela diminue l'effet de chaque scène. Si le film en est bourré, ca revient au même que de ne pas en mettre! La violence devient alors banale et ne choque plus, ne divertie plus.

Même chose pour la nourriture par exemple. J'ai beau aimer la poutine, mais si j'en mange trop à en être malade, un moment donnée, je ne la goûte plus. C'est bien meilleur une fois par mois qu'à toute les jours.

Il n'y a justement que les seins que trop, c'est jamais assez! haha

J'ai probablement été aveuglé par ce carnaval de glandes mammaires Scary puisque le "Trop c'est comme pas assez" dans l'avant dernier paragraphe de ta critique m'a paru être à l'attention des seins !
Ça va finir par te sortir par les trous de nez mon pauvre vieux


Sinon je te rejoins tout à fait pour ce qui est de la violence gratuite.