Pride and Prejudice and Zombies (2016, Burr Steers)

Que vous ayez lu le roman de Jane Austen ou juste vu l'une de ses adaptations, vous connaissez sans doute l'histoire d'Orgueil et préjugés. Maintenant ajoutez-y une armée de morts-vivants assoiffés de sang, et vous aurez une petite idée de ce à quoi pourrait ressembler Pride and Prejudice and Zombies. Adapté du roman de Seth Grahame-Smith, le film (toujours sans réalisateur) suivra la belle Elizabeth Bennet, partagée entre sa quête du grand amour et sa lutte contre les zombies.
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18590662.html

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Avec Natalie Portman dans le casting, ainsi qu'un roman que j'ai adoré, c'est plus que prometteur!

Natalie

Natalie Portman ne tournera pas dans Pride and Prejudice and Zombies

Après Gravity d' Alfonso Cuaron, on apprend également que Natalie Portman se retire de Pride and Prejudice and Zombies.

Hier, on apprenait que Natalie Portman a refusé le premier rôle de Gravity d' Alfonso Cuaron. On vient d'apprendre également que l'actrice américaine ne jouera pas non plus dans Pride and Prejudice and Zombies, adaptation cinématographique du roman de Seth Grahame-Smith (Abraham Lincoln : Vampire Hunter, Dark Shadows). C'est d'autant plu gênant qu'elle était impliquée dans la production du film. Pride and Prejudice and Zombies est au point mort. Natalie Portman ne serait pas parvenue à aménager son emploi du temps pour pouvoir jouer à temps dans le film de David O. Russell.

Selon Vulture, « Natalie Portman n'a pas été en mesure de respecter la date de début de tournage fixée par David O. Russell. » Voilà donc deux projets de film très attendus qui vont devoir se trouver une autre héroïne « bankable ». Si Sandra Bullock est pressentie dans Gravity, Pride and Prejudice and Zombies se cherche une nouvelle héroïne ! Des nouvelles (rumeurs ?) vous seront communiquées sous peu...

Natalie Portman jouera prochainement dans Black Swan de Darren Aronofsky.

Y a-t-il une chance (aussi infime soit-elle) pour le film
(en attente-development hell) ou il ne reste plus d'espoir !?

Sinon dommage... Le film semblait prometteur.

J'avais lu qu'il s'agissait du réalisateur qui avait abandonné la production...

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Black-Rainbow a écrit:: J'avais lu qu'il s'agissait du réalisateur qui avait abandonné la production...

J'avais aussi pu lire que Nathalie Porman et David O. Russell avait abandonné !

Pourquoi David O. Russell n'a pas voulu réaliser Pride and Prejudice and Zombies

Une question de budget...

Le 5 octobre dernier, Vulture révélait que le réalisateur David O. Russell laissait tomber l'adaptation de Pride and Pejudice and Zombies, le roman de Seth Grahame-Smith (et Jane Austen), faute d'avoir pu trouver un moment pour tourner le film avec Natalie Portman.

En réalité, il s'agissait d'un désaccord avec les studios quant au montant du budget. « Je pensais que 40 à 50 millions de dollars représentaient un prix raisonnable pour tourner un film historique et romantique à la Sherlock Holmes, avec des zombies dedans », explique le réalisateur auprès de Speakeasy. « Le studio pensait que ce serait un simple film de zombies et m'a proposé 25 à 28 millions. Je me suis dit que ce n'était pas réaliste : nous devions tourner de grosses séquences d'action ! C'est un projet très commercial, avec une histoire amour, des zombies et des décors d'une autre époque. Et vous voulez que je fasse ça avec le même budget que pour The Fighter ? Ce n'était pas logique. J'étais frustré... »

C'est finalement Mike White (scénariste de School of Rock et Nacho Libre) qui réalisera l'adaptation cinématographique du roman parodique Pride, Prejudice and Zombies.

Pride and Prejudice and Zombies de Seth Grahame-Smith, c’est la rencontre délirante entre le roman culte de Jane Austen et… des milliers de morts-vivants. Le résultat : un livre qui pour les trois quarts est du pur Jane Austen, le récit des intrigues matrimoniales qui animent le petit village anglais de Meryton, et notamment la famille Bennet, laquelle a cinq filles à marier ; le quart restant, ce sont les zombies, qui attaquent inlassablement les habitants de ce paisible village. Car, dans cette version azimutée de Pride and Prejudice, une terrible calamité s’est abattue sur l’Angleterre : les morts se sont réveillés et en veulent terriblement aux vivants. Non contentes de trouver un mari, les demoiselles Bennet doivent se défendre contre les zombies, autrement dit les « innommables » ; entre deux tasses de thé chez le châtelain voisin, elles sortent leurs dagues et massacrent allègrement les suppôts de Satan.

Un beau bordel tout ça!

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Un nouveau réalisateur pour Pride and Prejudice and Zombies.

Craig Gillespie (Fright Night, Mr. Woodcock) serait en bonne place pour réaliser l’adaptation cinématographique de Pride and Prejudice and Zombies.

Craig Gillespie (The United States of Tara, Lars and the Real Girl) pourrait remplacer Mike White occupé par la série Enlightment. White avait lui-même pris la succession de David O. Russell qui a préféré s’occuper de l’adaptation du jeu vidéo Uncharted : Drake’s Fortune.

Selon le site Vulture, Gillespie serait en négociations avec Lionsgate pour reprendre le poste, mais pour le moment, aucun contrat n’a encore été signé.

Et maintenant Emma Stone dans le rôle titre de Pride and Prejudice and Zombies ?

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Elizabeth Bennet va pouvoir affronter des morts-vivants en toute tranquillité, si elle trouve une interprète.

Le projet d'adaptation du roman Pride and Prejudice and Zombies n'en finit pas de connaître des rebondissements. Après la valse des réalisateurs pressentis, qui s'est terminée sur l'arrivée de Craig Gillespie derrière la caméra, le film enchaine les rumeurs sur l'interprète de son personnage principal : Elizabeth Bennet.

L'héroïne créée par Jane Austen pourrait bien être incarnée par Emma Stone si l'on en croit Heat Vision. Après l'annonce de l'arrivée sur le projet de Natalie Portman puis des rumeurs annonçant Anne Hattaway dans ce rôle, voilà un nouveau nom à ajouter à cette liste prestigieuse.

Lily Collins (Mirror Mirror, The Mortal Instruments : City of Bones) sera la vedette de Pride and Prejudice and Zombies, que dirigera Burr Steers (17 Again). Panorama Média, Darko Divertissement, Handsomecharlie Films et la productrice Allison Shearmur se sont associés pour porter à l'écran l'adaptation signée Burr Steers du best-seller de Seth Grahame-Smith.

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J'attends se film avec impatience

Modérateur Nombre de messages : 6949 Date d'inscription : 29/09/2008

Matt Smith (Doctor Who) va rejoindre le casting de ce film, dont le tournage devrait commencer à la fin de mois-ci.

C'est pour de bon cette fois? Car on assiste ici à un beau cas de

DEVELOPMENT HELL

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Une bande-annonce pour Pride and Prejudice and Zombies!

http://bloody-disgusting.com/videos/3365001/pride-and-prejudice-and-zombies-trailer-slays/

Pas encore mort Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 04/12/2015

Y'en a eu quelques nouvelles depuis :

http://www.myzombieculture.com/2015/10/23/pride-and-prejudice-and-zombies-une-bande-annonce-survoltee-de-2min30/
http://www.myzombieculture.com/2015/12/01/pride-and-prejudice-and-zombies-le-nouveau-teaser-bourre-daction/

Ça pourrait être bien comme bien naze, là dur de juger avec les BAs.

Invité

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Pride and Prejudice and Zombies est l’œuvre ultime de Jane Austen ré-écrit dans un environnement avec des morts-vivants intelligents. Ce n’est pas un Sucker Punch avec les cinq personnages principaux qui combattent les morts vivants tels que promis. C’est un soap victorien romantique mais avec des zombies intelligents.

Dans une Angleterre ravagé par la guerre contre les morts-vivants qui continue de sévir. Cinq filles célibataires se doivent quand même de faire ce qu’une fille doit faire lors de cet âge, se marier. Les Bennets se rendent alors à des festivités qui les feront connaitre des hommes pour tomber amoureux avec. Aux mêmes moments, les morts-vivants arrivent pour briser la fête. Ce mode de vie sans fin arrête pour Elizabeth (la plus âgé des demoiselles) lorsqu’elle se fait amener par le militaire Collins dans un sanctuaire de mort-vivants. Là où ses derniers y vont seulement que pour manger des cerveaux de porcs, ce qui ne les rend pas aveuglements furieux contre chaque être vivants. La confiance d’Elizabeth est alors mise en doute entre des morts-vivants à la conscience revenu ou une Angleterre aux aristocrates hautains.

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Pride and Prejudice and Zombies est l’adaptation de la nouvelle parodique/horrifique écrite par Seth Grahame-Smith. Le même auteur qui nous a offert la source littéraire d’Abraham Lincoln contre les Vampires. Je n’ai pas lu le livre original de Smith mais je connais bien celle de madame Austen. Si vous n’avez point lu le livre original ou vu une adaptation, je vous le recommande. Mais si vous ne l’avez pas fait et vous aller voir ce film, vous allez découvrir une œuvre classique mais dans un autre angle.

Parce que oui, Pride and Prejudice and Zombies est un divertissement mais à l’énergie basse. On voit un drame victorien mais dans un environnement de mort-vivants. C’est cela qu’est ce film, non un film de zombie déjanté avec plein d’actions comme la bande-annonce nous le promet. Imaginez comme Roméo & Juliette & Superman. Ce serrait l’histoire de Shakespeare mais dans la cité de Métropolis et de son superhéro. Le film avec les jeunes filles Bennets dans un monde de zombie est dans ce même concept.

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Bon, assez de bitchage, si le film gagne un point en termes d’art cinématographique, c’est son visuel. On ne voit qu’un monde de l’Angleterre survivant dans une guerre contre les morts-vivants. Les bordures des frontières sont remplies de barbelés avec des zombies prisonniers tout en râlant. C’est sale, plein de morts, de gris, de désespérance. Tout le long du film, je me sentais devant une fenêtre de cette période classique de l’histoire anglaise. Pareil à comme Barry Lyndon de Staley Kubrick, les costumes militaires rouges, les demoiselles dans leurs magnifiques robes et l’architecture européenne mélangé avec la désolation d’une guerre perdue d’avance. Sur grand écran, c’est vraiment un beau film à regarder et je lève mon chapeau à l’équipe des décors, de la cinématographie et des costumes.

Malheureusement, mon appréciation pour Pride and Prejudice and Zombies s’arrête là. Le divertissement qu’il m’a procuré (pour un tel concept qu’est ce film) aurait pu être TELLEMENT meilleur. C’est un bon film de divertissement popcorn, mais comme son idée d’origine était un bijou, l’équipe qui a fait ce film ont tout simplement oublié de bien le polir.

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Pride and Prejudice and Zombies de Burr Steers - 1,5/5

Voilà un film qui ne me semblait pas très emballant, même au vu de la bande-annonce. Et, le début du film, que j’ai trouvé interminable, est venu confirmer ma pensée. Le film se résume à une dizaine de zombies pour attirer les friands du genre, quelques petites scènes d’action assez ordinaire, beaucoup de romance et de dialogues plutôt ennuyeux, peu d’humour et des acteurs corrects. Au moins, il y a de bonnes idées concernant les zombies, les décors sont jolis et les effets visuels sont pas mal.

Burr Steers aura mené avec Pride And Prejudice And Zombie un projet aussi intelligent que trompeur!

Alors que la vision de Jane Austen n'a rien de surannée au vingt-et-unième siècle, une très grande majorité de représentantes du sexe faible ne pensant qu'à se faire entretenir par un mari aisé et pondre des gosses, cette relecture de Pride And Prejudice ne peut être déplaisante avec ses héroïnes cherchant à s'assumer et s'affranchir de ce qui est "l'aboutissement d'une vie" pour certaines!

Ainsi, Burr Steers, qui revisite là le roman de Seth Grahame-Smith, instaure un bon point de départ avec son scénario intéressant, même s'il est évident d'en deviner la conclusion. Le cinéaste américain développe donc une histoire prenante, cherchant même à donner l'illusion (la force des images aidant, plus encore que dans les écrits originels) que son personnage principal se complaît parfaitement dans sa condition de jeune femme libre et bien éloignée des considérations de chacun, au point que nul ne pourra l'en détourner.
Il est vrai cependant que Pride And Prejudice And Zombies possède une intrigue assez classique pour tout amateur de comédies romantiques, mais pour ceux qui ne sont pas familiers avec le genre, le film pourra justifier d'une certaine originalité.

Mais s'il est question d'originalité, c'est bien par rapport à son horreur diffuse, ou plutôt son utilisation peu commune du mort-vivant, que Pride And Prejudice And Zombies se démarque véritablement. Alors, certes, Burr Steers ne semble pas très à l'aise pour filmer des scènes d'action, pas plus qu'il n'apparaît capable de se répandre dans le genre horreur, démontrant ainsi que ce cinéma peut être méprisé par beaucoup, il n'est assurément pas ouvert à tous! Cependant, faisant fi de ses lacunes, le réalisateur, au delà de la sympathie qu'il saura s'adjuger avec le massacre en règle de quelques morts-vivants dans la première moitié de son métrage, livre une vision différente du mal, pour un résultant des plus réussis, alors que le "zombie" n'est pas le centre d'intérêt mais se voit plutôt être utilisé comme une toile de fond, d'où l'aspect quelque peu trompeur du métrage, ce qui pourrait hélas déplaire au plus grand nombre.

Et pour cause, si nul n'est en mesure de dire ce qu'aurait donné un scénario de Burr Steers de l'adaptation du roman Abraham Lincoln, Vampire Hunter du même Seth Grahame-Smith, le rendu de Pride And Prejudice And Zombies évite nombre de pièges et offre un film sobre et rafraîchissant, à mille lieu de l'ignoble purge engendrée par Timur Bekmanbetov, voilà quatre ans maintenant. Ainsi, les morts-vivants de Steers restent humains, le tout étant développé comme une véritable maladie pour ce qui est d'une première approche, mais aussi, à plus grande échelle, et puisque ceux-ci cherchent à s'emparer de Londres, comme d'un conflit armé, guerre civile ou invasion d'un ennemi ayant déjà investi l'île britannique important finalement peu, l'essentiel étant le traitement original porté à la chose. Et c'est bien là que Pride And Prejudice And Zombie puise sa force, bien plus encore que dans l'interprétation très juste de personnages rendus intéressants par leurs interprètes, que les superbes décors de la campagne anglaise ou la froideur de châteaux peu hospitaliers, que le travail sur les costumes, que la reconstitution historique ou encore, l'inspiration de ses auteurs quant à sa trame sonore.

Représentant pour le coup un film "d'horreur alternatif" comme nous en avons finalement peu, Pride And Prejudice And Zombies, s'il ne restera pas dans les mémoires pour, comme un paradoxe, les mêmes raisons, est une œuvre à l'identité propre au milieu d'un genre zombiesque saturé d’œuvres ressemblant toutes les unes aux autres!

3,5/5.