Das Experiment / The Experiment (2001, Oliver Hirschbiegel)

Synosis : Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.

Ma critique : http://freddyforever.wordpress.com/das-experiment-2001-oliver-hirschbiegel/

Bande-Annonce : https://www.youtube.com/watch?v=vGzvRJ9mWaQ

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Exellente critique d'un tres bon film marc, j'espere q'un jour tu fera la critique de mon film preferer

Yep top comme critique je l'ai revu dernièrement j'ai totalement adhéré au concept qui montre bien comment fonctionnent les êtres humains lambda dès qu'on leur confie un peu d'autorité. Film très intéressant, à voir pour un enrichissement culturel certain !

Citation :

j'ai totalement adhéré au concept qui montre bien comment fonctionnent les êtres humains lambda dès qu'on leur confie un peu d'autorité

Même si le concept de Das Experiment se sépare en bien des parties, je ne pense pas que le film veut montré le refus d'autorités de l'humain. Mais bien sa misère à vaincre son côté prémitif qui l'emporte toujours sur lui dans des situations inconfortables. On a beau être des humains hyper pacifiques, patients, avec un tempérament très doux... ça reste que notre côté agressif et dangeureux, proche de celui de l'animal, va resortir en final de parcours.

Également, entres-nous, nous ne pouvons être toujours ensemble. Il faut qu'à un moment ou un autre, nous pouvions avoir notre intimité, notre petit coin tranquille, notre moment de détente. Ce qui défend mon point ? Les patients dans le long-métrage sont toujours ensembles (à part les gardiens), 24 heures sur 24, ce qui fait en sorte de détruire cette structure ''confortable'' que nous avons autant beoins. À partir du moment que les agressions commencent de plus belles, la tension et la violent émergent du ''cocoon'' douillet qu'avait crée les ''détenus'' et les ''gardiens''. À partie de là, le cerveau a débloqué vers un refus de pensé des principes de nos personnages et leur mentalité.

À mon sens, le film démontre simplement que la violence peut resortir de n'importe qui, n'importe quand, et que l'humain ne peut pas vivre continuellement avec les mêmes personnes tous le temps. Également, on nous montres de façon générale (que le remake reprendra de façon peu subtile...) que l'humain, tout comme les animaux, devient dangeureux et change de comportement quand il est en présence de races divergentes de lui-même.

Le remake avec Brody vaut il le coup de le voir lui ? J'ai vu l'original j'ai bien aimé.

def leppard a écrit:

Le remake avec Brody vaut il le coup de le voir lui ? J'ai vu l'original j'ai bien aimé.

Un fanatique de l'original doit voir absolument le remake, pour les autres... Tenez-vous loin de là.

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Citation :

Même si le concept de Das Experiment se sépare en bien des parties, je ne pense pas que le film veut montré le refus d'autorités de l'humain. Mais bien sa misère à vaincre son côté prémitif qui l'emporte toujours sur lui dans des situations inconfortables. On a beau être des humains hyper pacifiques, patients, avec un tempérament très doux... ça reste que notre côté agressif et dangeureux, proche de celui de l'animal, va resortir en final de parcours.

C'est le mal des cachots

Sinon je pense que tu as mal lu ma phrase, je ne me suis pas placé du côté des prisonniers mais des gardiens, certains gardent la mesure avec leurs responsabilités et ont du remords mais pour d'autres c'est un peu : une pierre trois coups.

Ca montre bien qu'on ne peut pas confier une telle autorité à n'importe qui.