Pirates of the Caribbean (Trilogie)

Réalisé par Gore Verbinski
Écrit par Ted Elliott & Terry Rossio
Musique de Hans Zimmer
Avec Johnny Depp, Orlando Bloom, Keira Kneightley, Geoffrey Rush, Bill Nighy, Chow Yun-Fat, Stellan Skarsgard, Jack Davenport



Surpris par le premier, quelque peu déçu par le second, ébloui par le dernier (en date !). Je craignais le pire, j’ai eu le meilleur ! Jusqu’au Bout du Monde clôt cette trilogie de Pirates des Caraïbes avec virtuose. On en prend plein la vue pendant 2h45 sans temps mort ni demi-mesure. Cet ultime volet rattrape les petites faiblesses du deuxième épisode pour venir concurrencer directement la renommée du Pirates des Caraïbes original…




Histoire : 5/5 (GARE AUX SPOILERS, MOUSSAILLONS !)
Ne se contentant pas de mettre un terme aux histoires de ses prédécesseurs, Jusqu’au Bout du Monde s’ouvre à de nouveaux horizons et surprend de bout en bout. Ainsi, Elizabeth Swann, Will Turner, le capitaine Barbossa et tout son équipage, s’en vont délivrer Jack Sparrow du monde de l’Au-Delà. Pendant ce temps, le cœur de Davy Jones est aux mains de la Compagnie des Indes ; l’un voulant se venger de Sparrow, l’autre désirant mettre fin à la piraterie. Sparrow et son équipage doivent rejoindre le 4e rassemblement de la Confrérie des Pirates en vue d’une alliance susceptible de déstabiliser l’adversaire. Voilà pour la trame centrale. À côté de cela, Will doit prendre possession du Black Pearl afin d’affronter Davy Jones, détruire son cœur et, par ce biais, libérer son père du sort qui lui incombe. En somme, Jusqu’au Bout du Monde mène un jeu de chat à la souris intrépide dans lequel trahisons et alliances improbables se rencontrent, ce qui peut tout aussi bien lasser son spectateur que le conquérir ! En tant que 3e et dernier opus, Jusqu’au Bout du Monde se devait de combler nos attentes, le fait est qu’il va au-delà. Notamment grâce à cette dernière demi-heure sidérante, occasion supplémentaire de nous en mettre plein la vue tout en clôturant une saga à la belle renommée. Pour un final titanesque, renversant, tout bonnement sublime.



Réalisation : 4/5
Il manque un petit quelque chose à Gore Verbinski pour nous convaincre pleinement mais la qualité et le talent sont au rendez-vous. Jonglant entre des mouvements de caméra grandioses et des effets spéciaux à vous couper le souffle (un peu à la manière d’un Sam Raimi pour son Spider-Man 3), Verbinski dirige son œuvre d’une main de maître. Travellings culottés, brillant travail de l’image, mise en scène implacable. Le tout saupoudré d’explosions de toute part, de combats au corps à corps, de maquillages spéciaux bluffants, de cascades déglinguées, et j’en passe… Alors, certes, Pirates des Caraïbes jouit d’une réputation de blockbuster mais ce titre lui permet simplement de joindre la qualité à la quantité.




Acteurs : 4/5
Tordant dans La Malédiction du Black Pearl, honorable dans Le Secret du Coffre Maudit, c’est en grande pompe que nous revient Johnny Depp dans la peau du capitaine Jack Sparrow, personnage désormais phare de sa carrière. Encore plus allumé que d’habitude, Depp culmine au sommet de son art à travers cette performance hilarante et juste. Jusqu’au Bout du Monde est aussi l’occasion de retrouver tous les personnages secondaires du premier et du deuxième volets. Des deux pirates crasseux et débiles aux capitaines (Davy Jones, le Commodore, Barbossa, Sao-Feng, Teague, et consorts) en passant par les monstres en tout genre (Calypso, les « hommes » de Davy Jones, Davy Jones lui-même, le Kraken, etc.). Tous tiennent une prestation admirable. Léger bémol en ce qui concerne Orlando Bloom et Keira Knightley ; les deux acteurs faisant montre d’un jeu évidemment convaincant mais parfois surenchéri. Quoiqu’il en soit, nous ne pouvons que saluer la présence de l’intégralité des personnages et l’arrivée de nouveaux (SPOILERS = le père de Jack Sparrow – interprété par Keith Richards lui-même, soit la source d’inspiration de Johnny Depp pour jouer Jack Sparrow –, le nouveau Will Turner et plein d’autres/ SPOILERS).



Musique : 4.5/5
Hans Zimmer continue son bonhomme de chemin. Après avoir repris et perfectionné les partitions de Klaus Badelt pour sa Malédiction du Black Pearl, Zimmer fait preuve d’un génie artistique le menant tout droit au sommet de sa gloire. Même si le score se révèle imparfait en raison de morceaux légèrement gnangnan, la bande-son de Jusqu’au Bout du Monde captive jusqu’à filer des frissons. Des thèmes retravaillés de Jack Sparrow au Main Title entraînant, sans oublier les compositions de l’affrontement final, dédoublant la puissance du visuel de Gore Verbinski. En conclusion, Pirates des Caraïbes - Jusqu’au Bout du Monde nous offre du grand et bon spectacle tout du long sans jamais perdre de sa saveur. Espérons seulement que les producteurs ne cherchent pas la surenchère avec un 4e volet…



Note : 17.5/20

Le troisième m'a décu, comme je l'ai déja dit, Il est long et complexe. Ya des bouts qui aurait pu être coupé et d,autres qui m'ont perdu carrément. Les scènes d'action sont bonnes mais moins marquantes que les 2 premiers.

2.5/5

al(ex)_GORE! a écrit:

Le troisième m'a décu, comme je l'ai déja dit, Il est long et complexe. Ya des bouts qui aurait pu être coupé et d,autres qui m'ont perdu carrément. Les scènes d'action sont bonnes mais moins marquantes que les 2 premiers.

2.5/5

Tiens, c'est marrant, je pense exactement la même chose du second volet ! Complexe et un peu long...

Tien moi c'est le premier que je considère un peu long, mais j'ai pas encore vu les 2 derniers.

Réalisé par Gore Verbinski
Écrit par Ted Elliott & Terry Rossio

D’après une histoire de Ted Elliott, Terry Rossio, Stuart Beattie & Jay Wolpert
Musique de Klaus Badelt
Avec Johnny Depp, Orlando Bloom, Keira Knightley, Geoffrey Rush, Jonathan Pryce, Jack Davenport, Kevin R. McNally



Réalisation : 4/5
Une histoire de pirates en 2003 ? Un pari risqué pour Jerry Bruckheimer, le producteur du film, mais qui trouve sa réussite en la personne de Gore Verbinski. Derrière une réalisation banale de prime abord, Verbinski expose une mise en scène implacable – où chaque plan et chaque mouvement sont minutieusement étudiés et calculés –, alliée à des effets spéciaux aussi magnifiques que bluffants. Tout ce potentiel et ce savoir-faire amenant à des combats grandioses, primant sur la créativité et le divertissement pur plutôt que sur l’aspect conventionnel d’une telle entreprise. En bref, Gore Verbinski parvient à ranimer un genre tombé aux oubliettes tout en le transcendant.





Histoire : 4/5
J’ai été longtemps réticent à l’idée de voir La Malédiction du Black Pearl, n’étant fan ni des histoires de pirates ni des films à grand spectacle ou de capes et d’épée. Mais là où Pirates des Caraïbes frappe fort, c’est dans son mélange savoureux entre comédie, science-fiction, horreur et aventure. Ainsi, Ted Elliott et Terry Rossio donnent vie à un scénario sublime, dynamique, neuf mais rendant brillamment hommage aux légendes sous-marines de Jules Verne et consorts. Ceci étant, La Malédiction du Black Pearl fait parfois preuve de facilités trop criardes et d’incohérences gênantes pour conserver son semblant de crédibilité, et présente une première partie sans doute trop axée sur les combats. Mais la galerie de personnages hilarants et les retournements surprenants qui parsèment l’histoire nous font passer outre ces quelques menus défauts.





Acteurs : 4.5/5
Comment aborder Pirates des Caraïbes sans évoquer la prestation détonante de Johnny Depp ? En venant à porter l’intégralité du métrage sur ses épaules, Depp ne se contente pas d’incarner avec maestria le personnage de Jack Sparrow, il se l’approprie littéralement jusqu’à en faire une part de lui-même. S’inspirant largement de Keith Richards – qui fera d’ailleurs son apparition dans le troisième volet de la saga –, l’acteur fétiche de Tim Burton recueille tous ses talents pour faire de Jack Sparrow ce capitaine déglingué et délirant que l’on connaît. Mais, dans cette aventure, Depp ne fait pas le voyage seul puisqu’il est accompagné du très bon Geoffrey Rush et de deux jeunes nouveaux dont La Malédiction du Black Pearl constituera le tremplin vers la gloire, à savoir Orlando Bloom et Keira Knightley, pour une performance respective fort convaincante. Sans oublier les interprétations de Giles New et Angus Barnett en compères délurés.



Musique : 4/5
Bien que le score de Hans Zimmer du second Pirates des Caraïbes supplante celui de La Malédiction du Black Pearl, Klaus Badelt introduit l’un des thèmes principaux les plus enivrants et les plus beaux des films d’aventure. Mais les autres morceaux ne sont pas en reste puisque Badelt nous convie à des accompagnements musicaux magistraux, soulignant toute la beauté et toute la poésie du métrage – notamment via le titre Underwater Men. Seul petit bémol, la bande originale est souvent mise à mal par un visuel trop prégnant – ce qui est tout à fait logique, soit dit en passant – et nécessite d’être écoutée (en boucle) en dehors du film pour en apprécier toutes les qualités.



En somme, Pirates des Caraïbes – La Malédiction du Black Pearl est plus qu’une jolie surprise, il est une belle réussite. Menés de bout en bout par un jeu d’acteurs irréprochable et une histoire captivante, on ressort conquis de ces 2h15. Découvrir et re-découvrir une telle perle se fait toujours avec autant de plaisir !




Scène cachée (après le générique de fin !) :


Note : 16.5/20

Dès le premier film, j’étais vendu à cette incroyable saga! Il y avait tout pour me conquérir! Un réalisateur (Gore Verbinski) qui m’a envoûté avec son remake de The Ring et un trio d’acteurs (Johnny Depp, Orlando Bloom, Keira Knightley) qui m’avaient déjà conquis dans d’autres excellents films. Mais, c’est surtout Johnny Depp, un de mes acteurs favoris, qui m’a inspiré confiance pour ce film de pirates et il ne m'a aucunement déçu. Il a été formidable, tout comme dans ces autres films! Orland Bloom et Keira Knightley ont aussi été très bons, dans leur rôle respectif. Il ne faudrait pas que j’oublie, tous les autres acteurs (Geoffrey Rush, Jack Davenport, Bill Nighy, Jonathan Pryce, Mackenzie Crook, Lee Arenberg, Kevin McNally, Stellan Skarsgard, Tom Hollander, Chow Yun-Fat) qui ont participés à cette saga et qui ont incarnés des personnages très originaux. Ces derniers ont offerts de très bonne performance.

Les trois histoires, qui ont été écrites par Ted Elliott et Terry Rossio, sont tout simplement fabuleuses! Pour chacun des trois films, on a eu droit à des aventures vraiment extraordinaires et originales. Ce qui m’a aussi beaucoup plus, c’est l’humour que l’on retrouve dans chacun des trois films. Je me suis beaucoup marré, en regardant chacun de trois Pirates of the Caribbean. Une autre force de cette saga, ce sont les nombreuses scènes de combats (combats à l’épée ou à coups de canons), qui étaient tous aussi géniales, les unes les autres. Les paysages et les décors ont été un autre gros point, à la réussite de cette majestueuse saga. Dans chaque film, j’étais impressionné de voir le très gros travail, qu’avaient été fait pour que nous puissions voir de magnifiques paysages et décors, que ce soit réel ou par effets spéciaux. Bref, pour moi, les trois Pirates of the Caribbean font partie de mes films favoris et le resteront pour longtemps! Vivement un quatrième film, avec l’excellent duo Johnny Depp/Geoffrey Rush!

Réalisé par Gore Verbinski
Écrit par Ted Elliott & Terry Rossio
D’après l’œuvre de Walt Disney
Musique d’Hans Zimmer
Avec Johnny Depp, Keira Knightley, Orlando Bloom, Bill Nighy, Kevin R. McNally, Stellan Skarsgård, Lee Arenberg, Mackenzie Crook, Jack Davenport, Jonathan Pryce, Naomie Harris, Tom Hollander



Synopsis :
Débarrassé de la malédiction du Black Pearl, le capitaine Jack Sparrow est subitement confronté à son passé. Treize ans auparavant, Jack signait un pacte avec Davy Jones, le maître des sept mers. En échange de son âme, ce dernier lui promettait le commandement du mythique Black Pearl. Aujourd’hui, Davy Jones vient récupérer son dû…





SCÉNARIO : 3.5/5
Il aura fallu 3 années à Pirates des Caraïbes pour accoucher d’un second volet. À la première vision, force est d’admettre que l’histoire apparaît plus complexe, plus tordue, voire tirée par les cheveux. Mais, après moult visionnages, Le Secret du Coffre Maudit s’avère être une suite haute en couleurs et digne de son prédécesseur – bien qu’inférieure à ce dernier. Le scénario de Ted Elliott et Terry Rossio contourne la redite tout en conservant le charme de La Malédiction du Black Pearl, en respectant la psychologie des personnages, et sans avoir peur de s’engager sur des sentiers risqués (la mort de Jack, par exemple). On ne saluera jamais assez l’ingéniosité des deux scénaristes, immisçant autant de clins d’œil subtils à leur script que de rebondissements grandioses : les arrivées du Hollandais Volant, les attaques du Kraken, les combats d’épées à trois, les cages-balançoires, l’introduction de Bill Turner… En bref, le matériau a beau accuser quelques menues longueurs et nécessiter plusieurs regards pour en apprécier toute la beauté, Le Secret du Coffre Maudit ne déçoit que faiblement son auditoire et constitue surtout une somptueuse transition entre le premier et le dernier chapitres de la saga.





RÉALISATION : 4/5
Si la réalisation de Gore Verbinski manque de personnalité, il semble impensable de fermer les yeux sur l’efficacité comme la majesté de sa mise en scène. Que ce soit par ses plans finement étudiés, ses effets spéciaux ébouriffants (l’apparence de Davy Jones et de ses « hommes », le Hollandais Volant, le Kraken, le combat dans la roue de moulin…), ou ses combats novateurs, refusant la gratuité, Le Secret du Coffre Maudit nous rappelle que les blockbusters (et notamment les suites de blockbusters) ne sont pas que des morceaux de pellicule sans âme, juste bons à faire du fric sur le dos d’un public crédule. Ce second segment jouit donc d’une mise en scène redoutable, qui aurait de quoi faire pâlir celle de La Malédiction du Black Pearl. Reste à savoir maintenant ce dont est capable Gore Verbinski lorsqu’il ne réalise pas de grosses productions aux prouesses techniques onéreuses…





ACTEURS : 4/5
Endosser le costume de Jack Sparrow pour la deuxième fois, voilà un propos qui pouvait susciter chez le spectateur autant d’engouement (retrouver l’attitude « bourrée » et les répliques cinglantes du personnage) que de crainte (tomber sur un Jack Sparrow surenchéri ou parodié). Au final, le génie de Johnny Depp et l’implication des scénaristes font du protagoniste l’une des forces de ce second chapitre. Il va sans dire que le reste des comédiens contribue tout autant à la teneur de l’épisode. Orlando Bloom et Keira Knightley ne sont pas des grands acteurs mais leur jeu est loin de faire défaut. Bill Nighy excelle dans la peau écaillée de Davy Jones. Le duo Lee Arenberg/Mackenzie Crook fonctionne du tonnerre. Kevin R. McNally est toujours aussi attachant dans le rôle de Gibbs. Naomie Harris est tantôt effrayante tantôt charmante sous les traits de Tia Dalma. Et, bien que peu présent dans ce deuxième volume, Stellan Skarsgård se fond à merveille dans le personnage de Bill Turner. Chaque acteur extirpe la moindre parcelle de son talent pour donner vie à son personnage ; et le résultat est sans appel…





MUSIQUE : 5/5
Klaus Badelt avait donné le ton avec le thème principal magistral de La Malédiction du Black Pearl. Hans Zimmer ne fait pas moins que supplanter son prédécesseur en perfectionnant les partitions de ce dernier et en composant de nouveaux morceaux à la fois beaux, émouvants et tonitruants. Ainsi, on retiendra les titres Jack Sparrow, The Kraken ou Hello Beastie comme les meilleurs de la trilogie Pirates des Caraïbes mais également comme les meilleures compositions de sieur Hans Zimmer. Par sa puissance et sa magnificence orchestrales, le score de Dead Man’s Chest s’écoute inlassablement et avec toujours le même plaisir. Dommage que le visuel de Verbinski annihile quelque peu la splendeur de la bande-son. Mais bon, il suffit de tendre l’oreille pour s’assurer du génie de Hans Zimmer.



Pour résumer, Le Secret du Coffre Maudit présente un nombre de faiblesses notable mais les points forts de l’œuvre l’emportent sur notre jugement. Il est évident que l’on prend moins de plaisir à visionner ce second chapitre que face à La Malédiction du Black Pearl ou Jusqu’au Bout du Monde. Ceci étant, il en faudrait plus pour faire de Dead Man’s Chest une suite décevante.





NOTE : 16.5/20




Bonus de fin...

moi on dirait quand c est des grands films comme harry potter,pirates caraibes,seigneur des anneaux,king kong,narnia et cie,j ai de la misere avec ses films la,je ne sais pas si c est moi qui a trop veillit ou c est trop enfantin,pourtant quand j etais jeune pis il y a avait des gros blockbuster comme ET,jurassic park ect.. j embarquait mais plus maintenant,sauf transformers j ai bien aimé meme si c est un blockbuster.

peut-etre aussi que transformers c etait des jouets dans ma jeunesse alors que les voirs au grand écran c etait impressionnant,je suis sur mais que j aille voir G.I. Joe ca va me faire la meme éffets que transformers,un bon blockbuster.

oui mets en une vrai beautée cette séquence vive le deux qui sortent au plus vite.

def leppard a écrit:

moi on dirait quand c est des grands films comme harry potter,pirates caraibes,seigneur des anneaux,king kong,narnia et cie,j ai de la misere avec ses films la,je ne sais pas si c est moi qui a trop veillit ou c est trop enfantin,pourtant quand j etais jeune pis il y a avait des gros blockbuster comme ET,jurassic park ect.. j embarquait mais plus maintenant,sauf transformers j ai bien aimé meme si c est un blockbuster.

Mais as-tu vu Pirates des Caraïbes ? Car, personnellement, je considère Le Seigneur des Anneaux et certains Harry Potter comme de l'argent jeté par les fenêtres ou de la merde pour gamins attardés !

Killing Zoé 73 a écrit:

Pour la trilogie des "Pirates des Caraïbes", j'n'ai vu que la fin du premier, et ça m'a suffit, même si je peux tout à fait concevoir que ce genre de spectacle plaise à un grand nombre de gens... "Pirates des Caraïbes", ou les seuls films que Johnny Depp a tourné uniquement pour de l'argent...

Comment peux-tu juger un film sur la seule fin du premier opus ?? Personnellement, je déteste les films de pirates et j'avais beaucoup de réticence à l'égard du film. Mais, une fois visionné, je suis tout de suite devenu fan de la trilogie !!
Ah et qu'est-ce qui te fait dire que Depp a accepté le rôle uniquement pour de l'argent ?? Si c'était le cas, son investissement dans le personnage n'aurait pas été aussi grandiose...

X-Files_Arpanet a écrit:

def leppard a écrit:

moi on dirait quand c est des grands films comme harry potter,pirates caraibes,seigneur des anneaux,king kong,narnia et cie,j ai de la misere avec ses films la,je ne sais pas si c est moi qui a trop veillit ou c est trop enfantin,pourtant quand j etais jeune pis il y a avait des gros blockbuster comme ET,jurassic park ect.. j embarquait mais plus maintenant,sauf transformers j ai bien aimé meme si c est un blockbuster.

Mais as-tu vu Pirates des Caraïbes ? Car, personnellement, je considère Le Seigneur des Anneaux et certains Harry Potter comme de l'argent jeté par les fenêtres ou de la merde pour gamins attardés !

Oui j ai vu le premier et me suis endormie sur le deuxieme,et vraiment c est pas mon style de film les gouts et les couleurs ca se discute pas.

ce qui est bien avec POC c'est que c'est mauvais du 1 au 3

Scalp a écrit:

ce qui est bien avec POC c'est que c'est mauvais du 1 au 3

Scalp a écrit:

ce qui est bien avec POC c'est que c'est mauvais du 1 au 3

Je me sens moin seul maintenant

Scalp a écrit:

ce qui est bien avec POC c'est que c'est mauvais du 1 au 3

En même temps, il faut soit être maso pour se taper une trilogie de films que l'on n'apprécie pas et dont chaque opus avoisinne les 2h30, soit y trouver un certain plaisir inavouable... Tu ne trouves pas ?

Personnellement, je sais que je n'apprécie pas Le Seigneur des Anneaux mais j'ai trouvé quelques bons points à certains épisodes...

c est une serie platte point a la ligne ...

X-Files_Arpanet a écrit:

Scalp a écrit:

ce qui est bien avec POC c'est que c'est mauvais du 1 au 3

En même temps, il faut soit être maso pour se taper une trilogie de films que l'on n'apprécie pas et dont chaque opus avoisinne les 2h30, soit y trouver un certain plaisir inavouable... Tu ne trouves pas ?

Personnellement, je sais que je n'apprécie pas Le Seigneur des Anneaux mais j'ai trouvé quelques bons points à certains épisodes...

je suis maso justement

def leppard a écrit:

c est une serie platte point a la ligne ...

Excellent argument!

def leppard a écrit:

c est une serie platte point a la ligne ...

Il faudra me donner ta définition de plat dans ce cas-là...

plat = une assiette avec de la nourriture

platte = très mauvais

Et pour JackieBoy mon argument je l ai dit dams une page avant.