Je préfère également Bad Dreams à son influence, à savoir le troisième volet de A Nightmare On Elm Street. Le film est malheureusement resté dans l'ombre pourtant je n'hésiterai pas à le considérer comme une oeuvre majeure du cinéma d'horreur des années 80. Si sa "construction" apparaît sans surprise, le revirement final est vraiment bien pensé, tout autant que l'alternance entre réalité et rêves. Les trucages sont bons pour l'époque et les acteurs font le métier et comme si cela ne suffisait pas, Bad Dreams nous sort sa botte secrète lors du générique, pour finir de nous convaincre avec le Sweet Child O' Mine des Guns.
4/5.