Prochaines Sorties Cinéma

Il n'y a peut-être pas beaucoup de personne que la critique de ce film intéresse ou, tout simplement le film en tant que tel. Mais moi, je crois que ça va certainement être moins pire que les remakes d'horreur (The Fog, When a Stranger Calls) réalisé depuis un an.

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Critique de Fast and Furious : Tokyo Drift

La franchise Fast and Furious s'est imposée en deux films comme la référence ultime des amateurs de courses de voitures testostéronées sur grand écran. Fast and Furious premier du nom ne faisait pas dans la dentelle mais parvenait à entretenir un certain fun grâce à des courses mises en scène de manière spectaculaire et novatrice, ainsi qu'à la présence assez charismatique de Vin Diesel dont le personnage était d'ailleurs le seul à tirer son épingle du jeu. En revanche, malgré un prologue très sympathique (disponible sur les DVD des deux films) et une scène d'ouverture franchement réussie au cours de laquelle Paul Walker rétamait tous ses adversaires au volant d'une superbe Nissan Skyline, 2 Fast 2 Furious mettait à rude épreuve la résistance psychologique du spectateur de par sa nullité abyssale, et ce en dépit d'un budget plus confortable. L'enthousiasme pour un troisième opus de la saga s'était donc méchamment refroidi, même parmi les adeptes du genre. Pourtant, si Fast and Furious : Tokyo Drift présente les mêmes inévitables défauts que ses prédécesseurs (une certaine grossièreté maison), le film de Justin Lin crée la surprise en s'imposant, et de loin, comme le plus réussi des trois. A tous les niveaux.

Lorsque l'on entame la projection d'un épisode de Fast and Furious, il faut s'attendre à ce que certains codes soient respectés à la lettre, le maître mot de la saga n'étant de toute évidence pas le raffinement. Ainsi, il semble que l'on ne puisse éviter un sexisme rampant que l'on cherche à nous faire passer comme inhérent à la décharge d'adrénaline qui va suivre, comme si la virilité des pilotes ne pouvait s'exprimer que corrélativement à la dégradation du sexe opposé. Le pire exemple en demeure ces virées régulières auxquelles se livrent les protagonistes dans des boîtes de strip-tease et autres soirées "spéciales" remplies de nymphettes, ou encore le fait que certains personnages ne puissent se déplacer au quotidien sans au moins deux ou trois filles accrochées à leurs bras telles des animaux de compagnie. Rien de surprenant quand on connaît l'esprit des films, même si cette tendance primaire s'était vue fortement renforcer avec 2 Fast 2 Furious, véritable concentré de vulgarité à lui tout seul. Fast and Furious : Tokyo Drift n'échappe pas à la règle, chose incompréhensible d'un point de vue marketing puisque ce parti-pris contribuerait plutôt à réduire le public potentiel du film qu'à l'ouvrir à ceux (et surtout celles) qui seraient par ailleurs en mesure d'en apprécier les indéniables qualités.

L'autre objet d'agacement (moins ennuyeux, certes) concerne la musique. Les deux premiers Fast and Furious disposaient déjà de bande-sons parmi les plus intolérables qui soient, à grand renfort de gansta rap immonde et autres joyeusetés. Là encore, mis à part un titre plutôt correct en ouverture, les oreilles en prennent un sacré coup et cela est d'autant plus regrettable qu'il y a moyen de faire monter la pression avec une musique rythmée sans agresser systématiquement le spectateur. Tout ceci, donc, ne dépaysera pas les fans et contribuera à tenir éloignés les détracteurs. Heureusement, Fast and Furious : Tokyo Drift ne se résume pas à ces tics prévisibles et a le bon goût d'avancer de bons points là où on ne les attendait pas forcément.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, la qualité la plus inattendue de Fast and Furious : Tokyo Drift réside dans son casting. Paul Walker était bien gentil mais manquait cruellement de présence et s'avérait incapable de porter le deuxième film sur ses épaules (ne parlons même pas de sa co-star affligeante), après que Vin Diesel eut déserté l'aventure. Lucas Black reprend le flambeau dans le rôle du nouveau venu Sean Boswell et, par miracle, s'acquitte bigrement bien de cette lourde tâche. Énergique, naturel et charismatique, ce jeune acteur de vingt-quatre ans (vu dans Jarhead) suscite une sympathie immédiate qui contribue grandement à la bonne tenue de cet opus, en particulier lorsqu'il doit jouer le dépaysement devant les mœurs tokyoïtes (le côté Lost in Translation du film, tout brièvement esquissé qu'il soit, est un pur régal).

Le rajeunissement du héros confère d'ailleurs au film un parfum plus "authentique" – si tant est que l'on puisse employer ce mot – puisque l'on avait jusqu'ici peine à imaginer des hommes de trente-cinq voire quarante ans persistant à jouer les rebelles chaque nuit lors de courses underground, tels les jeunes des gangs de La Fureur de Vivre. Au contraire, cette pratique prend tout son sens avec des protagonistes en âge d'aller au lycée et amenés à se mesurer éventuellement à des "vétérans" de trente ans. Parmi les autres membres du casting dont la prestation se montre tout à fait satisfaisante, on décernera une mention à Sung Kang dans le rôle de Han, le wannabe caïd qui prend Sean sous son aile. Le méchant de service alias D.K., incarné par Brian Tee (la plupart des Japonais sont joués par des Chinois, d'où parfois une certaine maladresse lorsque les personnages s'expriment dans leur langue natale), se montre nettement plus monolithique dans son jeu mais s'en sort néanmoins honorablement. Enfin, seule à incarner une femme pensante, Nathalie Kelley alias Neela fait de son mieux avec les limites que son rôle fonctionnel lui impose, son personnage étant bien entendu l'objet d'une lutte de pouvoir entre le bad guy qui la retient prisonnière et le héros qui cherche à la délivrer. Les personnages tiennent donc la route, mais ne nous voilons pas la face, la principale attraction de Fast and Furious : Tokyo Drift réside évidemment dans ses hallucinantes scènes de courses.

Quand on pense "drift", on pense forcément à la série qui a popularisé la discipline à la fin des années 90, à savoir Initial D, inspirée du manga de Shûichi Shigeno. Le titre est devenu d'autant plus incontournable qu'Andrew Lau et Alan Mak s'en sont emparés l'année dernière pour une adaptation live hongkongaise, d'une qualité malheureusement nettement moins convaincante que celle dont fait preuve le matériau de base. Pour rappel, le drift consiste à négocier un parcours, soit sur route fermée soit sur circuit, en dérapage intense mais contrôlé, avec le plus beau style possible, la plus haute vitesse, la plus pure trajectoire et l’angle de dérapage le plus fort. Le vrai Drift King, Keiichi Tsuchiya, avait officié en tant que conseiller sur la série et l'on n'est pas étonné de voir de nouveau apparaître son nom dans les crédits de Fast and Furious : Tokyo Drift, tant le film de Justin Lin rend – enfin – pleinement hommage à la beauté de la discipline. On pourra arguer que Sean Boswell se forme bien vite aux techniques ultra-sophistiquées du drift (quand cela prenait cinq ans à Takumi Fujiwara, le héros surdoué d'Initial D) mais peu importe, le plaisir est là et bien là. C'est bien simple, la moindre scène de course de Fast and Furious : Tokyo Drift enterre toutes celles des deux précédents opus réunis : le spectacle est total.

Très inspiré lorsqu'il s'agit de faire monter l'adrénaline, le réalisateur table sur des scènes longues qui se fondent sur de véritables cascades, le recours aux effets digitaux étant réduit au strict minimum. Les décors, exploités au mieux, varient d'une scène à l'autre, le film allant jusqu'à proposer une course en drift en plein Tokyo, au beau milieu de la foule des passants. Le vertige de la vitesse alterne avec l'émerveillement provoqué par les chorégraphies – car il s'agit de chorégraphies – des voitures driftant individuellement ou à plusieurs. Une petite once de poésie vient même surnager le temps d'une scène, lorsque tous les véhicules dérivent les uns à la suite des autres sur une musique paisible (une fois n'est pas coutume), le long des cols de montagne japonais. Enfin, on ne pourra pas passer sur la dernière scène de course, la plus phénoménale de toutes. Situé lui-aussi sur les routes de montagnes en pleine nuit, ce duel final repousse les limites du possible en matière de placement de la caméra, les bolides étant tour à tour filmés de face, de biais, en plongée et surtout en contre-plongée, pour un résultat formidablement dynamique et esthétique. Du magnifique travail.

Sans prétention autre que celle d'être un pur divertissement, Fast and Furious : Tokyo Drift honore admirablement son cahier des charges et mieux encore, puisque le film impose rien moins que de nouveaux standards d'excellence en matière de mise en scène de courses de voitures. Efficace et souvent drôle, le film réussit au-delà des attentes l'exploit de restituer à l'écran ce fameux mélange de puissance et de grâce qui caractérise si pleinement le drift en tant que sport. Rien que pour cela, Fast and Furious : Tokyo Drift mérite d'être vu. Pour finir, on mentionnera qu'une petite surprise amusante attend les fans de la saga dans la toute dernière scène du film…

J'ai vu le fim français Banlieu 13 qui est vraiment sympa , bien bourrin , un vrai film de banlieu . Quand à Da Vinci Code il cartonne en France .

Mais bon en France sort Scary Movie 4 ce mois ci dont j'attends beaucoup etant un gros fan des 3premiers .

JackieBoy a écrit:

C'est seulement pour dire, que s'il y a des gens sur ce forum qui vont voir X-Men : The Last Stand, veuillez rester jusqu'à la fin du générique de fin, car il y a une scène assez importante.

J'ai pas pu profiter de cette scène, je suis parti dès le début du générique
ça serait sympa que tu me la raconte vite fait en indiquant le SPOILER pour avertir ceux qui ne voudrait pas qu'on leur casse l'ambiance

SPOILER SPOILER SPOILER

"On voit le gars dans le coma que Xavier avait présenté au début du film. D'un coup, il se réveille et dit bonjour à la femme (avec la voix de Patrick Stewart). La femme se retourne hyper surprise et dit "Xavier?"."


Cette scène de la fin a rapport avec une des scènes du film, lorsqu'il explique aux élèves lors du cours que certains mutants étaient capable de transposer leur esprit dans un corps 'vide', un corps dans un coma, un réceptacle.

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Apparament, il y aurait une ou deux scènes à part celle-là, à la fin du générique, mais je ne sais pas si elles sont vrai dans leur cas.

Il y aurait une scène concernant Jean Grey, ils montreraient sa tombe totalment démolécularisé. On verrait des objets bouger dans tous les sens dans l'école, puis on voit un gros trou a la place de la tombe de Jean.

On voit Mystique sous sa forme humaine qui amène une valise à Magnéto.

JackieBoy a écrit:

Cette scène de la fin a rapport avec une des scènes du film.

Merci pr l'info mon pote

Les prochains films:


Juin 2006


16 • Duo
• Garfield pacha royal v.f. de Garfield's a Tale of Two Kitties
• Keeping up with the Steins
• Lost City, The
• Maison près du lac, La v.f. de Lake House, The
• Nacho Libre
• Rapide et dangereux 3: Tokyo Drift v.f. de Fast and Furious 3: Tokyo Drift
• Takeshis'
• Tellement proches v.f. de Only Human
• Temps qui reste, Le
• Three Rooms of Melancholia, The
• Wah-Wah

23 • Banlieue 13
• Bronzés 3 amis pour la vie, Les
• Click
• Great New Wonderful
• Leonard Cohen: I'm Your Man
• Waist Deep
• Wordplay

28 • Superman Returns

30 • Diable s'habille en Prada, Le v.f. de Devils Wears Prada, The
• Road to Guantanamo, The




Juillet 2006


7 • Cou de la girafe, Le
• Pirates des Carraïbes: Le coffre du mort v.f. de Pirates of the Caribbean 2 : Dead Man's Chest
• Secret de ma mère, Le

14 • Enfants, Les
• Lemming
• Little Man
• Peaceful Warrior, The
• Pulsations v.f. de Pulse
• Scanner Darkly, A
• Toi, moi et Dupree v.f. de You, Me and Dupree

21 • Cinema, Aspirins and Vultures
• Ici Najac
• Lady in the Water
• Monster House
• My Super Ex-Girlfriend
• Once in a Lifetime
• OSS 117

28 • Deux flics à Miami v.f. de Miami Vice
• John Tucker Must Die
• Petit lieutenant, Le




Août 2006


4 • Animal
• Ant Bully, The
• Night Listener, The
• Talladega Nights: The Ballad of Ricky Bobby
• Tideland

11 • Zoom




Septembre 2006


• Pathfinder
• Sans elle




Octobre 2006


24 • Stay Alive




En gras ceux qui m'intéresse, Click pourrait être pas mal! il semble que Shitwood continue dans sa lignées de mauvais remake, je vais me contenter de continuer à encourager le cinéma indépendant!

Dans mon cas, ceux qui m'intéresse sont...

-Fast and Furious 3: Tokyo Drift
-Banlieue 13
-Waist Deep
-Superman Returns
-Pirates of the Caribbean 2 : Dead Man's Chest
-Pulse
-Scanner Darkly, A
-Lady in the Water
-Miami Vice
-Animal
-Tideland

Voici les principaux films Non-Horreur qui sortiront, au cours de l'ÉTÉ.


Pirates of the Caribbean: Dead Man's Chest
Date de Sortie: 7 Juillet 2006
Réalisation: Gore Verbinski
Scénario: Ted Elliott et Terry Rossio
Genre: Aventure
Avec: Johnny Depp, Orlando Bloom, Keira Knightley, Naomie Harris, Bill Nighy, Geoffrey Rush, Stellan Skarsgård

Ce film est la suite du très bon Pirates of the Caribbean: The Curse of thr Black Pearl.

Synopsis : Le capitaine Jack Sparrow vient chercher de l'aide auprès de ses amis Will Turner et Elizabeth Swann, perturbant ainsi leur mariage. Tous ensemble ils repartent pour de nouvelles aventures en mer afin de protéger la vie de Jack, menacée par un pirate, Davey Jones, doté de pouvoirs surnaturels.

Bande-Annonce : http://adisney.go.com/disneypictures/pirates/index.html

Excito-Mètre : 5/5






A Scanner Darkly
Date de Sortie: 7 Juillet 2006
Réalisation: Richard Linklater
Scénario: Richard Linklater
Genre: Animation
Avec: Keanu Reeves, Robert Downey Jr., Woody Harrelson, Winona Ryder et Mitch Baker

Synopsis : Dans une Californie futuriste où tout le monde surveille tout le monde au nom de la lutte contre la drogue, Fred (Keanu Reeves), un agent des stups dont nul ne connaît l'apparence, dissimulée grâce à un « complet brouillé », cherche à remonter la trace d'une bande de dealers. De son côté, Bob se shoote à la substance D, la drogue qui vous crame le cerveau, en compagnie de ses amis zonards. En réalité, Fred et Bob ne font qu'un. Et lorsque le supérieur de Fred lui enjoint de surveiller Bob, soupçonné d'être le principal dealer de substance D, la situation devient franchement intenable...

Bande-Annonce : http://wip.warnerbros.com/ascannerdarkly/

Excito-Mètre : 5/5






Clerks II
Date de Sortie: 21 Juillet 2006
Réalisation: Kevin Smith
Scénario: Kevin Smith
Genre: Comédie
Avec: Brian O'Halloran, Jeff Anderson, Rosario Dawson, Jason Mewes, Kevin Smith et Trevor Fehrman

Une comédie qui ne devrait pas être mauvaise, surtout que l'on retrouvera le célèbre duo...Jay and Silent Bob.

Synopsis : Hante Dicks et Randal Graves ont tout ce que deux très bons amis de 33 ans qui travaillent dans un petit magasin du New Jersey peuvent vouloir : ils sont payés pour travailler ensemble et perdre leur temps à longueur de journée. Mais quand le Quick Stop, leur repaire depuis toujours, endure une catastrophe, Dante et Randal doivent se résoudre à l'impensable : trouver un nouveau boulot à salaire minimum.

Bande-Annonce : http://www.clerks2.com/

Excito-Mètre : 3,5/5






Miami Vice
Date de Sortie: 28 Juillet 2006
Réalisation: Michael Mann
Scénario: Michael Mann
Genre: Action
Avec: Colin Farrell, Jamie Foxx, Li Gong, Luis Tosar, Naomie Harris, John Ortiz et Ilan Krigsfeld

Un des films les plus attendus, cet été. Michael Mann ne devrait pas nous décevoir avec ce film. Il nous a toujours offert d'excellent film, tel que Heat, Ali, The Insider, Collateral, The Last of the Mohicans et Manhunter. Il a été aussi le producteur de la célèbre série télévisiée Miami Vice avec Don Johnson et Philip Michael Thomas.

Synopsis : Les détectives James "Sonny" Crockett et Ricardo Tubbs, deux flics officiant à Miami, mènent une guerre sans merci contre les trafiquants de drogue et autres criminels de la Floride.

Bande-Annonce : http://www.apple.com/trailers/universal/miamivice/

Excito-Mètre : 5/5






Edmond
Date de Sortie: 28 Juillet 2006
Réalisation: Stuart Gordon
Scénario: David Mamet
Genre: Thriller
Avec: William H. Macy, Julia Stiles, Joe Mantegna, Rebecca Pidgeon, Denise Richards et Mena Suvari

Synopsis : La voyante l'avait prévenu : "Vous n'êtes pas à votre place." Cette simple phrase résonne dans l'esprit d'Edmond, quadragénaire sans histoire, comme une terrible prise de conscience : et si c'était vrai ? et si une vie nouvelle l'attendait loin de son cofort bourgeois ? C'est décidé : Edmond fait le grand saut et quitte sa femme en lui déclarant froidement qu'il ne l'aime plus. Se sentant enfin libre, il plonge dans l'inconnu : il erre dans les quartiers mal famés de la ville et découvre le marché du sexe...Mais il n'a pas compris qu'il s'aventurait dans un monde dont il ignore les règles - un monde brutal dont on ressort pas indemne. Edmond n'a toujours pas trouvé sa place - si ce n'est une place en enfer...

Bande-Annonce : http://www.edmondthefilm.com/

Excito-Mètre : 3,5/5






Bon Cop, Bad Cop
Date de Sortie: 4 Août 2006
Réalisation: Eric Canuel
Scénario: Leila Basen et Alex Epstein
Genre: Comédie d'Action
Avec: Patrick Huard, Lucie Laurier, Patrice Bélanger, Sylvain Marcel, Hugolin Chevrette-Landesque et Pierre Lebeau

Synopsis : David Bouchard (Patrick Huard) et Martin Ward (Colm Feore) ne pourraient être plus différents : l’un parle français et est originaire de Montréal, l’autre est un anglophone de Toronto. L’un obéit à la loi, l’autre fait la sienne. Lorsqu’ils seront forcés à travailler ensemble sur une enquête dont la juridiction géographique est aussi nébuleuse que les motivations de l’auteur du crime, leurs différences vont à la fois mettre en péril l’enquête et les aider à élucider le mystère.

Excito-Mètre : 4/5






Fearless
Date de Sortie: 4 Août 2006
Réalisation: Ronny Yu
Scénario:
Genre: Action
Avec: Jet Li, Collin Chou, Michelle Yeoh, Jon T. Benn, Bobby White et Anthony De Longis

Synopsis : L'histoire de Huo Yuan Jia, maître d'arts martiaux et fondateur de l'école Jingwu.

Excito-Mètre : 4/5

Bande-Annonce : http://www.apple.com/trailers/rogue_pictures/jetlisfearless/






World Trade Center
Date de Sortie: 11 Août 2006
Réalisation: Oliver Stone
Scénario: Andrea Berloff et John McLoughlin
Genre: Drame
Avec: Nicolas Cage, Michael Pena, Jay Hernandez, Armando Riesco, Jon Bernthal et Maria Bello

Synopsis : L'histoire vraie de deux policiers piégés dans les décombres du Wold Trade Center le jour des attentats du 11 septembre 2001.

Excito-Mètre : 5/5

Bande-Annonce : http://www.apple.com/trailers/paramount/wtc/hd/






DOA: Dead or Alive
Date de Sortie: 25 Août 2006
Réalisation: Corey Yuen
Scénario: J.F. Lawton et Adam Gross
Genre: Action
Avec: Devon Aoki, Derek Boyer, Sarah Carter, Steve Howey, Kane Kosugi et Natassia Malthe

Synopsis : L'adaptation cinématographique du célèbre jeu vidéo de combat. Haute maîtrise des arts martiaux et lutteuses sexy sont au programme !

Excito-Mètre : 0/5

Je mettrais l'excito-mètre de Clerks 2 à 5/5 dans mon cas, j'ai vraiment hâte de voir ce film-là, surtout s'il est comme le premier.

A scanner darkly a l'air vraiment bien, je suis curieux de voir le résultat malgré que je ne suis pas un fan de Keanu Reaves.

Clerks II est en noir et blanc j'espère?

Miami Vice a l'air pourri, tout l'effet de nostalgie n'y est pas. Ou sont les bonnes blagues one-line de Johnson? Colin Farrell... beurk!

Neon Maniacs a écrit:

Clerks II est en noir et blanc j'espère?

non en couleurs si je me fis à la bande-annonce.

Edmond m'intéresse et Bon Cop, Bad Cop et Pirate of the Caribbean 2 pourraient m'intéresser. World Trade Center et Dead or Alive, non merci.

Pour ma part, tout les films m'intéresse, sauf DOA: Dead or Alive qui me semble vraiment mauvais.

Pourtant, tu donnes 2,5/5 ce qui est pourtant assez loin d'être de la merde.[/b]

WiLLyBoy a écrit:

Pourtant, tu donnes 2,5/5 ce qui est pourtant assez loin d'être de la merde.[/b]

Tiens tu es content?

Oh il on pas l'intelligence...il sorte omen 666 le 6 juin 2006 et il ne sont pa capble de mettre le wall streat center le 11 septembre sérieu il y a un manque d'organisation et puis on sais a quoi s'attendre sa fini que les deux tour tombe et tout le monde meur

Mad Max a écrit:

Oh il on pas l'intelligence...il sorte omen 666 le 6 juin 2006 et il ne sont pa capble de mettre le wall streat center le 11 septembre sérieu il y a un manque d'organisation et puis on sais a quoi s'attendre sa fini que les deux tour tombe et tout le monde meur

World Trade Center...

Mad Max a écrit:

Oh il on pas l'intelligence...il sorte omen 666 le 6 juin 2006 et il ne sont pa capble de mettre le wall streat center le 11 septembre sérieu il y a un manque d'organisation et puis on sais a quoi s'attendre sa fini que les deux tour tombe et tout le monde meur

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JackieBoy a écrit:

Mad Max a écrit:

Oh il on pas l'intelligence...il sorte omen 666 le 6 juin 2006 et il ne sont pa capble de mettre le wall streat center le 11 septembre sérieu il y a un manque d'organisation et puis on sais a quoi s'attendre sa fini que les deux tour tombe et tout le monde meur

Aucune Commentaire!

JackieBoy a écrit:

Mad Max a écrit:

Oh il on pas l'intelligence...il sorte omen 666 le 6 juin 2006 et il ne sont pa capble de mettre le wall streat center le 11 septembre sérieu il y a un manque d'organisation et puis on sais a quoi s'attendre sa fini que les deux tour tombe et tout le monde meur

Aucune Commentaire!

Mad Max a écrit:

Oh il on pas l'intelligence...il sorte omen 666 le 6 juin 2006 et il ne sont pa capble de mettre le wall streat center le 11 septembre sérieu il y a un manque d'organisation

Il y a également un manque d'organisation dans ton texte.

Wall Streat Center

Mad Max a écrit:

et puis on sais a quoi s'attendre sa fini que les deux tour tombe et tout le monde meur

Ça me fait penser à un certain commentaire que Scarecrow avait dit sur le remake de King Kong. Pas très pertinent non plus...

Ouh la, c'est la guerre ouverte ?

Ferdinand a écrit:

Ouh la, c'est la guerre ouverte ?

C'est juste que ce n'est pas logique son explication. C'est comme si je disais que les films sur la 2e Guerre Mondiale sont nul, car on sait déjà que les Allemands ont perdus la guerre.

Moi je suis écoeuré des films de Guerre, y'en a eu des bons pas besoin d'en refaire pour essayer de les topper, c'est une guerre d'égo du cinéma!

Ceux que j'aime le plus maintenant sont ceux qui se déroule dans les années 70, ou encore mieux comme Jarhead se déroulant en 1989, rare ont été les films qui ont exploités ces guerres.

Neon Maniacs a écrit:

Moi je suis écoeuré des films de Guerre, y'en a eu des bons pas besoin d'en refaire pour essayer de les topper, c'est une guerre d'égo du cinéma!

Ceux que j'aime le plus maintenant sont ceux qui se déroule dans les années 70, ou encore mieux comme Jarhead se déroulant en 1989, rare ont été les films qui ont exploités ces guerres.

Il y a eu Three Kings avec George Clooney, qui exploite la guerre du Golfe.

J'avoue qu'il y a beaucoup trop de film de guerre. Les bons films que j'ai pu voir sont Saving Private Ryan, Apocalypse Now, Jarhead, Full Metal jacket, Enemy at the Gates, We Were Soldiers, Platoon, Band of Brothers et Empire of the Sun.