Sometimes They Come Back (1991, Tom McLoughlin)

http://www.horreur-web.com/sometimestheycomeback.html

Qui a vu cette adaptation d'un film de Stephen King ????

Le film a aussi 2 suites:

J'avais bien aimé la courte histoire de Stephen king....Pour les films, le premier est très bon (j'avais même un poster dans ma chambre) mais le deuxième est moyen.

Moi aussi je lavais vu etant enfant et il mavait tout aussi fait peur a un certain point, le 2e je suis pas sur de lavoir vu, le 3e est moyen

Le premier est quand meme bon,pas la meilleur adaptation de stephen king mais pas son pire non plus.Le deuxième c'est vraiment du n'importe quoi,rien en lien avec le premier on reprend juste les ingrédients.

TheMaskedShape a écrit:

le 3e est moyen

Sans être en désaccord avec ta critique, ma note est complètement différente. Le début est excellent et la fin moyen, mais elle ne viens pas gacher le film. Pour moi sa été une découverte spendide de Stephen King. J'ai aussi vu la suite est j'ai trouver mauvais.

Pour le troisième moi j'en avait jamais entendu parler.

Sleuth a écrit:

TheMaskedShape a écrit:

le 3e est moyen

...

Scarecrow a écrit:

Pour le troisième moi j'en avait jamais entendu parler.

....Pareil pour moi.

Adapté d’une histoire de Stephen King, Vengeance Diabolique est un film assez décevant dans son ensemble. Le Professeur Jim Norman, accompagné de sa femme et de son fils, revient sur les terres du Maine, à Bangor, afin d’intégrer un nouveau poste. Voilà 27 ans qu’il n’y a pas mis les pieds. La raison : alors que lui et son frère, Wayne, se rendaient à la bibliothèque en coupant à travers un tunnel, quatre loubards leur barraient le passage avec leur voiture ; résultat de la course : Wayne se faisait poignarder, et trois des quatre loubards périssaient après qu’un train ait percuté leur bagnole stationnée en plein milieu de la voie (quelle idée aussi ?). En revenant dans le Maine, Jim compte bien exorciser ses démons mais il est perpétuellement rongé par le remords et la souffrance. D’autant plus que, peu à peu, les élèves de sa classe disparaissent et que d’autres prennent leur place, et leurs remplaçants ne sont autres que les trois loubards à avoir péri dans l’incident du tunnel 27 ans plus tôt…

Une histoire faiblarde mais à laquelle – sans savoir pourquoi – on s’attache facilement. Les personnages sont… comment dire ? Trop kingiens ! En effet, peut-être est-ce à force de lire du Stephen King ou de regarder les films adaptés de ses œuvres, mais force est de constater que les personnages qu’il met en scène sont souvent les mêmes. Une raison à cela : ben oui, Stephen King a tendance à se mettre lui-même en scène : dans Vengeance Diabolique, on retrouve l’image du petit garçon sans défense (Cœurs Perdus en Atlantide, Le Policier de la Bibliothèque, Ça…), du prof de lettres (Sac d’Os, Dead Zone…), et les références à Dieu (vous avez un carnet ?). Si ce n’est qu’anecdotique, le fait est qu’il est parfois énervant de retrouver quasiment les mêmes personnages dans des histoires qui varient peu : au bout du compte, c’est toujours une histoire de victimes qui se vengent. Vengeance Diabolique n’échappe pas à cette règle même si ça peut paraître détourné. Jim Norman finit par se venger de la mort de son grand-frère en tuant ceux qu’il avait déjà tués dans le passé (c’est bon, vous me suivez ??).

La réalisation est pas mal bien que l’image soit sacrément dégueulasse (VHSRip oblige !). La musique colle bien aux images mais se révèle beaucoup trop gnangnan et limite cucul-la-praline pour entrer dans mes cordes. Les acteurs ne sont pas sensationnels, mais il faut avouer qu’ils savent tenir un rôle et que leur prestation à l’écran n’est pas catastrophique.

En somme, Vengeance Diabolique est plutôt décevant. Et paradoxalement, l’histoire est aussi bidon qu’attachante.

Réalisation : 3/5
Histoire : 1.5/5
Musique : 2.5/5
Acteurs/Personnages : 2.5/5

Note : 9.5/20

7 ans après un premier volet pas génial, Vengeance Diabolique remet le couvert avec Le Diable des Glaces et une histoire qui, pour le coup, n’a strictement rien à voir avec celle de Stephen King.

Tout d’abord, Le Diable des Glaces est bien mieux et plus intéressant que le premier Vengeance Diabolique. L’histoire commence assez bien : deux militaires s’infiltrent dans une base polaire pour y récupérer les survivants ayant subi l’assaut d’un mystérieux tueur. Peu à peu, les deux militaires se rendent compte que les deux survivants qu’ils ont trouvés disent vrai : la base est assaillie par des individus pour le moins étranges, capables de survivre dans un climat à moins 30° Celsius et de ramener les morts à la vie. Bientôt, la tempête se lève, forçant les résidents à demeurer dans la base, et sans possibilité de contact avec l’extérieur. Et c’est à leur tour de disparaître un à un pour devenir des zombies…
De prime abord, l’histoire est intrigante et saisissante. Mais elle s’essouffle gravement au bout d’1h, quitte à tourner à l’eau de boudin. Les zombies sont en fait contrôlés par un envoyé du Diable qui se révèle être le demi-frère du perso principal, le militaire. Néanmoins, Le Diable des Glaces se regarde sans trop de difficultés et on est porté par l’histoire jusqu’à son terme, pour le pire et le meilleur.

La réalisation – sans être extraordinaire – vaut son paquet de cacahuètes et n’entrave à aucun moment le fil de l’histoire. Bien entendu, des effets sanglants en plus n’auraient pas été de trop, de même que de voir les zombies un peu plus aurait été judicieux. Malgré ses défauts, Le Diable des Glaces est relativement bien foutu, soutenu par une musique qui tient la route et ne pète pas plus haut que son cul.
Les personnages sont crédibles (ça change !), agissent de manière cohérente. On pourra tout de même reprocher au personnage principal de ne pas avoir un comportement tout le temps logique, et à sa coéquipière de paraître aussi peu militaire que je ne le suis ; mais dans l’ensemble la pilule passe bien. D’autant plus que les acteurs ne se démerdent pas trop mal, jouent juste, sans fausse note.

Dans l’ensemble, Le Diable des Glaces se débrouille mieux que son grand frère de la famille Vengeance Diabolique. Sans doute parce que l’histoire n’a absolument rien à voir et qu’elle se veut beaucoup plus intéressante.

Réalisation : 3/5
Histoire : 3.5/5
Musique : 3.5/5
Acteurs/Personnages : 3.5/5

Note : 13.5/20

Pour ma part, ce film me rend totalement indifférent. On apprend rien de nouveau et on peut voir franchement mieux dans d'autres adaptations de Stephen King. On reconnait la touche de King dans le thème du passé et de l'enfance. Comme dans beaucoup d'histoires de King, les antagonistes sont des fantômes soif de vengeance. Le jeux d'acteurs laisse à désirer. Un des seuls points positifs dans l'histoire, c'est que les fantômes tuent les élèves de Jimmy pour prendre leurs place dans la classe afin de déstabiliser le professeur. La base de l'histoire promettait mieux mais le tout est mal dévelloppé et d'une façon banale.

Je l'ai vu et je m'en fout.

Dommage. J'aime bien les adaptations de Stephen King d'habitude.

1/5

moi je l'avais vu étant jeune et je l'avais complètement adoré! La chevrolet 1955 dans le film avec les flammes vers l'arrière ma toujours rappeler de bon vieux souvenir qui mont donner la frousse!

Ghosty a écrit:

moi je l'avais vu étant jeune et je l'avais complètement adoré! La chevrolet 1955 dans le film avec les flammes vers l'arrière ma toujours rappeler de bon vieux souvenir qui mont donner la frousse!

Je n'ai pas eu la chance de le voir étant jeune, je me suis vachement ennuyé devant ce film. Mais je comprend ta nostalgie. Je suis sur que si tu le revoit aujourd'hui, tu changerais d'avis.

freddyforever a écrit:

Ghosty a écrit:

moi je l'avais vu étant jeune et je l'avais complètement adoré! La chevrolet 1955 dans le film avec les flammes vers l'arrière ma toujours rappeler de bon vieux souvenir qui mont donner la frousse!

Je n'ai pas eu la chance de le voir étant jeune, je me suis vachement ennuyé devant ce film. Mais je comprend ta nostalgie. Je suis sur que si tu le revoit aujourd'hui, tu changerais d'avis.

bah pour être franc je suis un gars qui rarement peut détester un film. Je suis spécial lol

Comme n'importe quel fan de films d'horreur, j'ai grandi avec beaucoup de films qui ont marqués mon enfance au fer rouge. J'ai surtout en tête Halloween 3 : Season of The Witch, The Gate II: Return to the Nightmare, Dr. Giggles, The Frighteners, Hellraiser 3 : Hell of Earth ou, encore, Sometimes They Come Back! Pour parler de ce dernier, le long-métrage de Tom McLoughlin (Friday The 13th Part VI : Jaon Lives) est un Tv Movie adapté de la nouvelle du même nom dans le recueil Night Shift. Cette adaptation à pris une ampleur sans pareil lors de sa diffusion sur CBS, sortant même sur VHS et Dvd! Sa popularité s'explique grâce à la notoriété de Stephen King lui-même. Il restait à voir si ma nostalgie pour cette oeuvre demeurait ou disparaîtrait assez vite!

Lorsqu'il était jeune, Jim Norman fut témoins de la mort de son frère, Wayne, tuer par quatre voyous morts également écraser par un train! 27 ans plus tard, même si s’étant éloigner depuis la mort de son frère, Jimmy retourne dans sa ville natale avec sa femme, Sally, et leur fils, Scott. Leur vie va très bien, Jimmy reprend son travail d'enseignant à plein temps. Bien entendu, tout ne sera pas rose longtemps alors que certains des élèves de Jimmy disparaissent... et que d'autres prennent leur place! Il s'avère que les remplaçants ressemblent traits pour traits aux voyous qui ont tuer son jeune frère. Bien rapidement, les voyous demanderont vengeance envers Jimmy...

Je concède dès le début quelques qualités à Sometimes They Come Back. Certaines scènes comme la poursuite d'un cycliste par les voyous contient un suspense fort, avec un bon montage et une finalité satisfaisante! Je dirais aussi que la séquence où les voyous se montrent sous leur vrai jour (brûler au 100è degré) avant de couper un adolescent en morceaux est assez cru! La séquence de flashback me donne encore des frissons et présente une chimie entre deux frères très émouvante et réussit! Pour finir, la voiture des voyous, une 55 Chevy, est aussi marquante que la Plymouth Fury 1958 de Christine.

Bien que la nostalgie soit parfois très payante et qu'on se retrouve avec un film aussi bon ou meilleur qu'avant, parfois le contraire survient aussi! Il est clair que Sometimes They Come Back contient des qualités et revoir certaines scènes gravées dans ma mémoire fut intéressant, mais la nostalgie ne rend pas un film de qualité! On le réalise assez vite alors que la réalisation de Tom McLoughlin est catastrophique, que le scénario est pâle-mêle et que le visuel du film est digne d'un soap opera de l'époque! J'ai beaucoup de misère à croire que mon enfance fut marquer par Sometimes They Come Back puisque l'oeuvre de McLoughlin est très banale, avare en scènes d'horreur et diablement sans convictions dans son produit fini!

Le pâle-mêle se ressent surtout dans ces sous-intrigues interminables où Lawrence Konner et Mark Rosenthal tentent par tous les moyens de rallonger une histoire tirée d'une nouvelle! Leur intérêt n'est pas négligeable, mais sont inutiles et on se croirait rapidement dans cinq films à la fois compacté en 1h30! C'est définitivement le cas quand Jimmy se retrouve à faire le médium à la Dead Zone pour retrouver le cadavre d'un de ces élèves! C'est aussi assez confus sur certains points, la limite entre le surnaturel et le réel n'est jamais clair et les voyous peuvent intervenir dans la réalité comme bon leur semble!

D'un autre côté, le côté technique est assez médiocre en soit présentent un Tv Movie bien banal! Ça se ressent beaucoup dans le montage de Charles Bornstein qui ne se gène pas pour offrir sans cesse le même flashback de l'enfance de Jimmy ou offrent des traditionnelles bandes-noires médiocres! Bryan England n'offre rien de plus concret avec sa direction photo très laide et banale! Même si certaines de ces partitions offrent des mélodramatiques mal placées et mauvaises, Terry Plumeri donne une trame sonore potable!

Pour autant, je trouve qu'à un certain point, Sometimes They Come offrait une histoire originale et un traitement pas si con... jusqu'aux 20 dernières minutes qui offrent du bon comme du mauvais! Tout d'abord, les voyous, qui était mystérieux et effrayants au départ, deviennent vite agressants et digne d'ados de 13 ans! C'est aussi pénible de suivre le même schéma que le flashback montrent la mort de Wayne dans la finale! Par exemple, il faut avouer que l'apparition de Wayne et son départ rehaussant le déroulement de l'histoire!

La distribution est quand même intéressante! Tim Matheson donne une performance très bonne et soutenue! Les scènes où il pète des coches sont mémorables. Brooke Adams (Dead Zone) est très investie et émouvante. Mais c'est surtout Robert Rusler et Nicholas Sadler qui surprenant le plus avec leur comportement passif-agressif!

Sometimes They Come Back contient ironiquement le mot "time" dans son titre et le temps n'aura pas été clément avec lui! Bien que contenant plusieurs scènes encore marquantes, des maquillages mémorables et des meurtres puissants, cette adaptation d'un roman de Stephen King rate la cible et touche parfois le fond tout comme il est intéressant! J'aurais au moins offert la critique d'un film qui me tenait à cœur auparavant. Par contre, je ne déconseille à personne le visionnement, il mérite d'être découvert au moins une fois rien que pour la scène de découpage ou la 55 chevy noire qui a de la gueule!

Note : 2/5