Je suis inscrit sur un site sur les OVNI et il nous donne plusieur chose comme sa:
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Il y a un livre « OVNI ou est la Vérité ? » de Bruno Bousquet paru aux editions Lacour (www.editions-lacour.com) en mai 2005, dans lequel un chapitre entier est consacré aux mutilations « Mutilations et Cie » pages 267 à 299, et je commence seulement à le lire et le recommande. (Ce n'est pas de la Pub )
Pour faire un résumé de ce chapitre, on apprend par exemple que l’Espagne à connu une vague de mutilations en Espagne (La source du livre indique la revue anglaise Flying Sauver Review du 6 février 1999, l’article a été traduit de l’espagnol à l’anglais, et de l’anglais au francais). L’histoire est la suivante, dans la nuit du 8 au 9 octobre 1998, un parc à moutons de 900 bêtes dans la région d’Estella fut envahi par un animal mystérieux qui laissa les cadavres de 23 brebis tuées dans des circonstances bizarres. Dans la panique les animaux ont cassé la porte de l’enclos et se sont échappés. Lors de leurs fuites, 12 d’entres eux ont trouvé la mort, leurs cadavres ont été retrouvé à 800 mètres plus loin. Des enquêteurs du groupe MIZAR à trouvé des caractéristiques bizarres qui lient ce cas à d’autres faits identiques qui se sont déroulé dans la région au milieu des années 1990.
L’empreinte du tueur était de taille inabituelle et anormalement grande par rapport a celle du chien ou du loup (16 cm de long et 11 cm de large pour 4 cm de profondeur) On a retrouvé de telles traces sur un rayon de 600 mètres.
Le plus étonnant un la méthode d’attaque du prédateur : il ne s’attaqua qu’aux brebis à l’interrieur de l’enclos entouré d’un mur de pierre. Quelques brebis blessées succombèrent par la suite à leurs blessures.
Toutes les brebis avaient des blessures similaires du même côté du cou (deux exactement), mais pas d’autres marques ou de griffures sur le reste du corps. Ces deux blessures sont large de 2cm sur quatre de long, très près l’une de l’autre et surtout trops proche pour provenir des dents d’un chien ou d’un loup. Il y a une absence totale de déchirement de la peau.
Le prédateur n’a pas dévoré un seul morceau de chair, il n’y avait plus une seule goutte de sang nulle part, même pas autour des blessures.
La version officielle du gouvernement provincial de Navarre fut que cette attaque était l’œuvre de « chiens devenus sauvages ». Les éleveurs rejettent cette hypothèse, préférant celle du loup (Une espèce protégée qui donne droit à une compensation financière versée par l’état)
Ensuite est traité page 276 l’affaire de la Javie à la mi Août 1995 dans les Alpes de Haute-Provence avec la mort de 250 brebis dans un ravin. Les bêtes furent retrouvées éparpillées sur plus de 400 mètres et elles furent vidées de leurs sang, une petite incision leur avaient été pratiqué sous l’estomac et leurs laines aurait eu une couleur anormale, les yeux manquaient sur certains cadavres…(la version officielle parle d’un orage qui a effrayé le troupeau)
Une autre histoire datant du 15 septembre 1993 sur le plateau du Canjuers de deux yeux jaunes dans l’obscurité d’une bergerie, et le carnage de 30 moutons découverts le matin même par le propriétaire. Avec une histoire de « Bête » dans la région par la suite…
Le 7 Février 1994, à 25 Km de Trigance, un éleveur constate la mort de 111 de ses animaux, moutons et brebis écrasés et étouffés par la panique et cherchant à fuir une menace…
Le 12 Mai 1994 à Riom, la mutilation d’une jument avec prélévement d’un œil, des parties rectale et sexuels. Blessures nettes, ventre intact et pas de morsures.
D’après le magazine « Mystères » (No 5 du novembre 1993) près d’un millier de moutons auraient disparu en deux ans et demi dans la région du Verdon.
__________________________[Mutilation d'Humain]________________________________
Mutilations d'êtres humains.
Jean Sider.
J'ai obtenu une copie de document émanant d'un organisme de police du Texas, dont j'ai publié le contenu dans mon premier livre. Il y est question de sept cas d'hommes mutilés découverts, dont trois dans la région de Minneapolis, Minnesota, sans autres précisions. Plusieurs auteurs signalent d'autres incidents impliquant des mutilations d'êtres humains, mais aucun détail n'est donné, et l'identité des éventuelles victimes n'est pas révélée. Bill Fawcett, dans "Contact", en cite deux cas. N. Pacheco et T. Blamm en évoquent plusieurs dans "Unmasking the Enemy".
Enfin, un cas brésilien datant de 1986 concerne le corps d'un homme portant des dommages physiques similaires à ceux commis sur des animaux. Il avait été trouvé sur le bord du lac réservoir de Guarapiranga.
Plusieurs autres cas de mutilations sur des êtres humains concernent le Brésil également.
Le cas de Sgt. Jonathan P. Louette.
Il y a quelques incidents qui se sont produits sur quelques années et qui portent le fait que les mutilations ne soient pas seulement réservées aux animaux.
Le premier cas qui est venu aux oreilles du public a impliqué un Sergent de l'armée de l'air américain appelé Jonathan P.Louette qui servait aux White Sands Proving Groupe au Nouveau Mexique, une base éloignée et vaste où la technologie américaine la plus récente est testée. Il y a beaucoup d'histoires qui lient White Sands à des contacts étranges.
Les Faits.
Le Sergent et un officier supérieur ont été détaché avec un véhicule pour retrouver tous les débris d’un essai de missile. A un endroit, ils ont laissé leur véhicule et sont partis en reconnaissance dans le désert. Ils se sont séparés pour couvrir plus rapidement une large région plus de dunes de sable.
Soudainement l'officier à entendu crie dans la région des dunes où le sergent cherchait. Il a accouru vers le bruit et il pense qu'un serpent à sonnettes a mordu le sergent. Arrivé au sommet de la dune, il voit un disque en suspension juste en contrebas et une longue tentacule très habile qui provient du dessous du disque. Celle-ci est enveloppée autour du sergent hurlant, puis elle le traîne sur une grande distance.
L'officier est revenu à la base dans un état de choc. Quand il a rapporté ce qui s'était passé il n'a pas été cru et a été arrêté pour meurtre. Une recherche immédiate dans toute la région n’a pas permis de retrouver un signe de vie du sergent, qui à complétement disparu.
Trois jours plus tard, le corps mutilé de Sergent Louette a été retrouvé. Les mutilations étaient cliniques, précises et compliquées avec le prélèvement des organes génitaux, du rectum et des yeux. Typiquement il n'y avait aucune trace de sang sur le corps, les organes cardio-vasculaires étaient encore présents. L'officier a été libéré sans charge. Bien qu’il y ait eu une fuite de l'histoire par des personnes impliqués dans l'incident, l'armée à refusé de confirmer ou de nier que cet incident n’a jamais eu lieu.
Le cas du Sgt. Le cas de Jonathan P. Louette met à nu une ressemblance frappante avec le cas de Guarapiranga, par la précision des actes chirurgicaux (les yeux excisés d’une manière tout à fait semblable aux incisions faites sur notre victime Guarapiranga)
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