Alors me revoilà avec une autre petite histoire.
Dans une forêt ensoleillée, des tarentules étaient en train d’envelopper une proie pour leur reine. Ses araignées se trouvaient dans une cabane. De l’extérieur la cabane s’emble être inoffensive mais à l’intérieur il y avait des toiles partout dont elles emprisonnaient les corps fécondés.
La proie aurait aimé se débattre mais la morsure d’une des arachnides l’avait paralysé chaque nerf de son corps. Elle voyait la toile contenant les corps fécondés. Le petit oisillon était en train de se débâtir sans espoir. Puis son ventre enflé explosa et des dizaines de bébés tarentules en sortirent. Les tarentules étaient en train de tisser leurs toiles sur le corps de la golden retriever. Le petit chiot était en plein milieu de la lumière qui passait par la fenêtre. Une ombre d’un corps avec huit longues pattes poilues passa sur le chien. Mais se n’était qu’une tarentule qui passait sur la vitre avec ses pattes longues de 6 centimètres. Puis toutes les tarentules quittèrent le corps de l’innocent animal. La golden voyait une forme sortir d’un trou recouvert de toiles d’araignées. Une tarentule haute de sa taille sortit de l’ombre et ses glandes piquèrent le ventre du chiot. Puis la reine insecte l’emmena dans sa tanière qui s’avéra à être le frigo brisé.
Dans une rivière, quelques canots remontèrent le courant et Jacob commençait à avoir les bras morts.
-Aller continue vieux on est arrivé.
Le canot toucha le sable et l’équipage quitta leur moyen de transport. Un autre canot toucha le sol de la plage et puis les 3 autres canots débarquèrent sur l’île.
Une tarentule qui descendait d’un arbre par son fil vu les scouts prendre le sentier rocailleux. Le scout qui parlait à son ami imaginaire écrasa un des enfants de la reine sans faire attention. Chaque scout portait un sac à dos énorme. Ils marchèrent dans les bois pendant une demi-heure.
Ils établirent leur campement dans une clairière.
Un groupe alla chercher du bois pour le feu.
Rachel, Fiona et Jeanne regardèrent autour d’eux. L’une d’eux en trouva un bon bout de bois, sec, long et facile à briser. Elle se pencha et le prit. Quand elle se releva, Fiona cria en voyant l’énorme tarentule sur le dos de Rachel. Ses longues pattes et son corps poilus recouvrait entièrement le dos de Rachel. La tarentule grimpa le dos de Rachel jusqu’à l’épaule droit.
Rachel jeta un œil à son épaule et cria en se débattant. La tarentule tomba à terre tandis qu’une autre cachée dans une branche d’arbre sauta sur le visage de Fiona. Elle la mord au nez et par la suite, la piqua au menton. Puis des dizaines d’arachnides sautèrent des branches sur Rachel et Fiona. Parmi ses araignées, il y en avait qui était qu’au stade enfant. Elles étaient assez petites pour que l’unes d’elles entrent dans la bouche de Rachel et descend dans les profondeurs de sa gorge.
Jeanne impuissante retourna au camp en courant et en appelant à l’aide.
11 :08
Gérald aidait sa sœur qui montait la tente. Le soleil brûlait leurs yeux. Dolores mit les pieux dans le sol et la tente fut finie. Ensuite celle des filles fut terminé et puis celle des animateurs. Gérald alla vers un buisson, il s’arrêta et vu qu’une tarentule velue montait le long de sa jambe.
Il l’enleva sans avoir peur. La belle tarentule rampa sur l’herbe et disparu dans les hautes herbes.
Un peu plus loin du camp, des oiseaux mouches se firent attraper dans une gigantesque toile et furent amener à la reine.
12 :34
Ils commencèrent à faire le diner. Jeanne venait d’arriver et personne ne croyait à son histoire.
Elle ne savait pas qu’une tarentule l’avait suivi et que cette race mutante pouvait comprendre en regardant dans les yeux de l’adolescente.
L’insecte retourna à sa ruche avertir ses semblables.
Jeanne retourna dans la tente des filles, désespérée elle se coucha sur son sac de couchage. Elle remarqua qu’une photo de Taylor Lautner était accrochée à la toile de la tente, proche du coin de Sylvie.
Elle entendit quelqu’un disant que le diner était prêt. Elle y alla et vu que il y en avait qu’ils remarquèrent que Rachel et Fiona était absentes.
La pizza était excellente, sauf qu’il y en avait un dont il n’avait pas remarquée qu’un bébé tarentule s’est retrouvé dans la pizza et que la personne l’avait mangée sans le savoir.
On se demanda toujours ou étaient passées les deux filles.
Plus tard alors qu’on commençait à organiser une expédition pour les retrouver, Fiona arriva au camp.
Elle avait les vêtements un peu arrachés. Des boutons mauves gros comme des raisins sur les joues et la gorge. Elle parvenait à respirer difficilement mais pas à parler.
Gérald pensa qu’elle avait tombé dans des herbes à poux. Bien sur il y en avait partout sur cette île.
Le soir quand tout le monde dormait Sylvie fut réveillée par des hurlements étouffés. Elle alluma sa lampe de poche et éclaira le sac de couchage de Fiona. La survivante ce débâtait dans sa prison de matelas. Jeanne se réveilla aussi et elle ouvrit le sac de couchage. Fiona avait des boutons aussi gros que des kiwis sur elle. Un des boutons péta et une araignée orange-brune sortit alors de son ancien cocon. Jeanne elle, contrairement à Sylvie, ne cria pas. Elle alla chercher des secours dans la tente des moniteurs. Pendant ce temps, Fiona eu la gorge qui s’ouvrit et des nouveau-nés venaient au monde. Il y avait tellement d’œufs dans le corps de l’adolescente de 13 ans que son ventre éclata. Les insectes sortirent par la faille et envahissait la tente. Sylvie cria lorsqu’elle sentit les pattes des tarentules lui monter au dos. Il y en avait partout, au sol au mur et au plafond.
Les autres filles venaient tout juste de se réveiller. Elles paniquaient eux aussi.
Un des animateurs ouvrit la porte de la tente et toutes les tarentules sortirent en même temps.
Louise paniqua en voyant les tarentules allées vers elle. Certaines montèrent ses bras puisqu’elle était accroupie à l’entrée de la tente.
Elle se leva en un rien de temps, les tarentules étaient déjà sur ses épaules.
Elle sortit dehors en se secouant et en se débâtant. Pendant ce temps des araignées adultes étaient venues à la rescousse des petits. Ils les escortèrent jusqu’en lieu sûr. Les autres garçons scouts arrivèrent avec des bâtons de bois comme arme. Les filles tellement terrorisées et stressées, n’oublièrent pas cette soirée.
Le lendemain, tous pleurèrent la mort de Fiona. Ils la brulèrent dans le feu. Quelques araignées nouveau-nées qui étaient resté dans son corps brulèrent. Il y en avait un dont il a pu remonter jusqu’a la tête et à pu sortir par la bouche, comme un mille-pattes.
Les scouts essayèrent de s’enfuir de l’île mais les tarentules avaient déjà mis leur toile sur les canaux.
Deux jours plus tard les scouts dûrent faire de la survie en attendant les secours.
Un garçon vu des feuilles mortes accroché a un arbre avec une toile dessus. Il prit une branche et l’ouvrit, des centaines de tarentules en sortirent. Il ne savait pas qu’il venait d’ouvrir le cocon d’un cadavre d’un écureuil roux. Il s’enfuit en retournant au camp.
Jeanne était envoyée pour aller chercher des branches de bois secs pour les faire bruler et ensuite mettre le feu aux toiles des tarentules. Elle marchait en compagnie d’Hector Caron. Elle disait qu’ils étaient deux mais lui disait qu’ils étaient trois avec son petit frère. L’autre jour il n’avait rien à faire alors il a parlé avec un arbre, un bon sujet de conversation le sport disait-il.
Ils virent une cabane au fond du bois, entouré d’herbe à poux et de chardons.
Ils purent y arriver en empilant les plantes et aussi à l’aide de bâtons de bois mouillés. La porte de la cabane était barrée. Caron était la folie incarné, il n’hésita pas à défoncer la porte en lui sautant dessus.
Quand ils entrèrent, Jeanne vu qu’Hector s’était coupé la joue gauche. Il saignait beaucoup mais Hector disait que ça va s’arranger tout Seul. Il frotta sa main sur le visage et vu que sa paume était recouverte de sang. Il riait et ce mit à licher sa main du coté ensanglanté. Il en donna un peu à son petit frère Gabriel.
La pièce dont ils se trouvaient était plongé dans le noir. Mais ils purent distinguer un fauteuil rongé par la moisissure dans l’air.
Ils continuèrent d’avancer et elle ouvrit le store d’une des fenêtres. La lumière envahit la pièce, il y avait une armoire avec des livres de biologie sur les arachnides. Une table en bois avec des instruments de science. La lumière passait à travers les vitres des outils de vitre de différentes couleurs créant un mélange de couleur sur le sol. Ils virent aussi une lampe de poche sur le plancher. Elle le prit et l’alluma, la lumière éclaira tout de suite le cadavre de la mère des petits chiots morts dans une autre pièce.
Elle recula en criant, imité par Hector et Gabriel. Une tarentule qui était cachée pendant tout ce temps sur le rebord du haut de la porte sauta sur la nuque d’Hector et le piqua. D’autres araignées montèrent l’adolescent et le piqua. Il tomba raide paralysé par leur venin.
Jeanne couru vers la sortie et un cadavre d’une jeunne fille dans un cocon attaché au dos par le plafond tomba au devant de l’entré.
Elle vu que son amie Rachel avait la poitrine ouverte comme si on aurait sorti de l’intérieur. Une énorme masse vint sauter sur son dos et elle sentit une aiguille grosse comme un crayon s’enfoncer sauvagement dans sa colonne vertébrale. La reine retira son dard d’elle et Jeanne prit la poudre d’escampette en laissant le corps d’Hector.
Quand elle arriva au camp, tout le monde était couché au sol. Personne ne parlait, personne ne bougeait, personne ne respirait. Elle vu que Sylvie avait le visage sur le sol. Elle le retourna et vu une dizaine de marques de morsures de tarentules sur le visage. Aussitôt le ventre de Sylvie explosa par la pression des araignées en elle. Jeanne recula, prit une branche en feu au bord du feu de camp et la balança sur le cadavre de Sylvie. Elle devina que les autres cadavres scouts étaient fécondés. Elle prit du papier et des branches et les mit sur les corps. Elle mit le feu aux abris des futurs-nés. L’un d’entre eux était encore vivant au moment ou elle lui mit le feu mais il était paralysé de la tête au pied.
Jeanne alla à la plage ou il y avait les canots. Elle avait rapporté une torche et mit le feu aux toiles. Elle prit un canot et partit de cet enfer.
L’adolescente frappa la porte de sa maison deux jours de marche plus tard. Elle avait terriblement mal au dos, sa mère lui ouvrit la porte et son ventre explosa et la nouvelle-née reine sortit et fuya dans notre société.
Accueil 
Dernières images 
