Spaceballs (1987, Mel Brooks)

Résumé wikipedia: Yop Solo et son acolyte mi-homme mi-chien Beurk, héros de l'espace téméraires et ignorants, sont appelés par le roi Roland de la planète Druidia pour retrouver sa fille, la Princesse Vespa. Celle-ci, qui s'est enfuie en compagnie de Dot Matrix, sa nurse, pour éviter un mariage arrangé avec Vallium (la pilule était dure à avaler), le dernier prince de la Galaxie, est tombée aux mains des Spaceballs.

Méchants et stupides, les Spaceballs ont dilapidé leur atmosphère. Ils espèrent voler celle de Druidia, en se servant de la princesse Vespa comme moyen de pression.

Au cours de leur opération de sauvetage, Yop Solo et Beurk croisent l'énorme et gluant Pizza Rico, l'abominable Lord Casque Noir, ou une petite créature grande en sagesse et marketing nommée Yaourt, qui leur enseigne le pouvoir mystique de "l'achtusse" afin de ramener la paix dans la galaxie.


Quelques scènes classique du film:

Difficile de juger un film qu'on a vu probablement une centaine de fois étant ptit gars, tellement souvent qu'on connait pratiquement toutes les répliques VF par coeur, qu'on apprécie chaque 24 images seconde du long-métrage de la même manière qu'un réalisateur peut aimer sa propre œuvre. J'ai tellement vu souvent Spaceballs que je n'en vois pas les défauts, ni les qualités d'ailleurs. Spaceballs fait partie de moi, tel un membre vital à ma survie.

Spaceballs est une parodie de Star Wars, et passe par Star Trek, Le Magicien d'Oz, Alien, etc. Pour moi, toutes les scènes sont cultes, drôles et incroyablement bien pensé. Je suis sûr que si j'avais découvert se film que bien plus tard dans ma vie, je n'aurais probablement pas autant aimé, et peut-être même trouver ça aussi idiot que les mauvaises parodies d'Aaron Seltzer et Jason Friedberg. Par chance, ce n'est pas ce qui s'est passé.

Ma note irréfléchi: 5/5
Ma possible note réfléchi avec une tentative de recul: 4/5