The Hole (2003, Wash Wesh)

Lors de l’immense succès de The Ring au box-office et de son originalité artistique (depuis l’auteur Koji Suzuki qui a fait de même au Yapon). Bien des parodies furent faites en Amérique du Nord (Scary Movie 3 et bien d’autres vidéos sur le vieux Internet). Maintenant que j’ai passé cette étape qui a marqué mon enfance par la peur. Je pus la revivre par le plaisir de la chair dans ma vie d’adulte avec une parodie pornographique au nom de « The Hole ».

Lors d’une simple soirée entres potes qui regardent le football. Josh et Pete se parlent du fait qu’il existe une vidéo qui rend ceux qui l’on vu « totalement gai ». Josh dit l’avoir visionné et un appel se fait à son domicile. Il décroche le fil et une voix ultra chaude lui dit ;
-You’re gay…
Terrifié, Josh décide d’aller à la toilette se passer le visage à l’eau. Par la suite, il tombe sur l’esprit de la malédiction qui lui jette le sort.

Retrouvant son ami Pete, Josh se rend immensément attiré par lui. Ainsi, il lui passe la main dans les cheveux. Clamant pourtant qu’il n’est pas gai.
Après un super striptease, Pete prouve à son ami qu’il a une nouvelle orientation et le baptise en étant son premier.
La journée d’après, un journaliste au nom de Benny Benson vient voir Josh pour lui demander sur la vidéo casette. Ayant besoin d’une forte histoire, le personnage principal va ou tout le monde regarde cette vidéo casette. Après le visionnement, le téléphone sonne et la même voix chaude lui dit ;
-In Seven days, you will become gay…
Ayant dorénavant la durée d’une semaine seulement. Benny revient en ville, terrifié du fait de savoir qu’il deviendra homo dans seulement quelques jours !

The Hole est probablement le porno le mieux écrit, le mieux réalisé et ainsi que le plus HOT que j’ai vu de ma vie. Ayant entendu dire qu’il fait partie des classiques des Greats Gay Porn. Je fus autant curieux de voir son contenu que par le sujet qu’il parodiait.

Bon, je vais d’abord commencer par aborder la réalisation. Wash West est un très, TRÈS bon réalisateur. Sachant qu’il faisait un porno, il l’a gardé au plus simple. Mais avec des plans bien travaillés et qui puisse le plus possible de l’extase des scènes de sexe. Aussi, il savait que la répétition ennuie le spectateur. Alors il est clair que chaque scène ait son propre sujet ; Ouverture du film par la malédiction sur Josh. Flashback sur un mec qui a été victime de la casette voilà longtemps. Scène solo mais qui est un développement de personnage assez intéressant avec le reste de l’intrigue. Un gang bang que je vous parlerai de son importance un peu plus tard et LA scène aussi finale qu’ultime. Honnêtement, chaque scène se déguste comme plusieurs verres du même porto qui se goûte différemment lors de toutes ses gorgées.

Un autre truc que je tiens à mentionner. C’est la chimie sexuelle de chaque interprète dans leurs scènes, avec le sujet de leurs moments. Hormis celle du début, puisque ça se voit trop que les acteurs Josh Hammer et Derec Lang n’aimait pas la faire. Ce qui ne m’étonne pas en raison à ce qu’ils ont participés à juste trois pornos, malheureusement… (pour Josh le hot !)
Mais pour le reste, tout se formule. Deux mecs qui sont des supers baiseurs de filles deviennent gais et baissent un homme pour la première fois. Ils découvrirent ce plaisir si mâle et se font même confiance envers l’un l’autre de leur longue coopération sexuelle avec tant de nanas dans le passé. La scène finale, entre Benny et Josh est d’un romantisme. Dans leur relation, il y a de la passion, de l’humanité et ainsi que du sexe. Ce n’est pas une relation sexuelle juste pour baiser non non. C’est le moment clé de la victoire contre la malédiction. Puisque Benny découvre qu’il est devenu devient naturellement gai par l’amour de Josh. Ainsi, la scène finale est d’un plaisir non seulement érotique, mais poétique du fidèlement des deux personnages principaux qui réussissent à vaincre la malédiction.

Mais ce que j’apprécie le plus du film, c’est sa mythologie. Oui, vous avez bien lu. En regardant ce film de plus près. On y retrouve une mythologie véritable de porno gaie. La malédiction, le propriétaire du chalet, les éléments dans la vidéo. Ect. Pour moi, tout cela à rapport avec la scène d’orgie !
Ok, je suis bien sûr que la majorité d’entre vous ne veulent pas regarder ce film (on se demande le pourquoi hihihi !). Mais il y a une scène dont Benny et Josh vont dans un genre d’observatoire dans leur enquête. Là ou une immense orgie se fait avec comme victime un joli blondinet qui se fait baiser à fond. Dans son anus, Josh voit de loin le « Hole ». Avec la présence de masques (oui je sais, pour masquer les acteurs qui sont juste venu baiser anonymement), ce groupe a plus l’air d’une secte. Avec mes multiples visionnements, je pense qu’ils font des vidéos maudites. Qu’ils filment la malédiction en l’homme porteur et qu’avec. Ils maudissent les spectateurs mâles. Le gardien des chalets, n’est qu’un membre de cette secte homosexuelle. Qui sait ou chaque porteur d’un sort à venir. Les avertissant d’un changement de vie pour accroître leur société secrète.
C’est ma théorie dû à avoir trop regardé le film…

The Hole a bien des raisons pour être un des meilleurs gays jamais conçu. Non seulement il est très chaud à vivre. Mais en plus, son écriture profonde est vraiment bonne à lire. Ainsi que la réalisation de Wash West qui est surprenante à voir. La compagnie de distribution Jet Set Men a restauré le film et je n’ai malheureusement pas mis la main dessus. Puisque malgré bien des scènes coupées, le DVD seul vaut 60 $.
Un soixante que je sais que je vais me brûler d’extase envers soi…