Waxwork (1988, Anthony Hickox)

Il y a des films qui appartiennent à leur temps, Waxwork est de ceux-là, tant sa mise en scène et ses effets semblent datés.
Aucun frisson durant tout le film, plusieurs petites histoires parsèment le récit, on a l'impression d'assister à plusieurs épisodes (les plus mauvais) des contes de la crypte. Une histoire de loup-garou, de vampires, de momies et une revisitant, très maladroitement et d'une bétise affligeante, le marquis de Sade. Les acteurs sont en roue libre, même Zach Galligan semble ailleurs. A cette époque (1988) les films étaient tout de même plus pêchus. Cependant certaines scènes surprennent, avec des moments malgré tout bien saignants, ce qui ne colle pas avec le reste du métrage qui renvoit vers quelque chose de bien niais ne s'adressant qu'à un public friand de faux frissons qui ne renferment que de pathétiques situations, le tout manquant cruellement d'éloquence.




Waxwork n'est pas un navet pour autant, sauf qu'il ne mérite plus d'être découvert de nos jours où les films d'horreur exploitent plus sérieusement le genre et des fois malgré un budget très restreint. Une des petites histoires du film aurait mérité d'être plus exploitée, elle ne dure à peine plus d'une minute. Ce segment, en noir et blanc est le meilleur de tous avec pour thèmes des morts-vivants dans un cimetière.
Mais peut-être que ce film finalement, procurera à certains une certaine nostalgie de ces films de la fin des années 80.
Cependant il n'est pas de ceux qui enrichissent nos connaissances dans le genres, même pas pour les plus novices, c'est dire.

avec une histoire comme ça, dommage que le film ne soit pas réussi

Voici un film qui manquait à ma culture. Je n'avais jamais vu Waxwork jusqu'à aujourd'hui. Le film possède une belle petite ambiance d'années 80 (films qui ont bercés ma jeunesse). Quelle belle surprise de constaté la présence Zach Galligan (Gremlins 1 et 2).

Waxwork démarre de plus belle, une histoire entrainante sur les divers aventures du groupe d'amis qui visite un musée de cire. L'idée que chacun est projeter dans un univers de chaque personnage de cire n'est pas bête du tout. Toutefois, le scénariste ne semble pas utiliser cette idée à son plein potentiel. Il y a comme un relâchement en moitié de parcours. L'histoire devient quelque peu répétitive et la finale est vraiment mauvaise

Spoiler:

Le film m'a toutefois divertis assez pour lui attribué une note honorable, soit un 3/5.

Le final n'est en effet pas top et s'embrouille un peu dans une série Z bien bordélique mais j'aime beaucoup la première heure qui synthétise tout ce que j'aime dans les films d'Horreur des années 80. Un film que je revois toujours avec grand plaisir.

Par contre le 2 est décidement pas top, vraiment trop brouillon et délirant pour capter l'attention.

le 2 j'aime bien le début dans la maison hanter avec bruce campbell, a part ca ces asser ennuyeux. Le 1 jai bien aimer du début a la fin. Quoique il y a quelque probleme de longueurs.

Réjouissez-vous membres français, le 11 février ce petit bijou des années 80 sortira enfin en dvd.

Waxwork (1988,Anthony Hickox)

Une montagne russe ambulante... Le début est sympathique, la bande de teens et l'environnement des années 80 est pas mal du tout, le musée de cire est cool même si toutes les "reproductions" bougent et clignent des yeux La façon dont les différents personnages entre en scènes est intéressante, ce qui donne a Waxwork un faux air de film a sketch. La première scène en question celle du loup-garou est totalement foirée, et m'a donné envie de décrocher sec malgré la présence du professeur Maximillian Arturo de la série Sliders. Mais tout ce qui se passera par la suite est fort divertissant. Les scènes de Dracula, la momie et du marquis de Sade sont très bien foutu et ont de bon effet sanguinolent, celle des morts vivants en noir et blanc avait un putain de potentiel, mais comme par hasard ce sera la plus courte. Mais il y a un drame qui entache cette petite histoire... Le final qui est absolument catastrophique et long de 20 minutes! Un énorme trip a la Will Ferrell, sans queue ni tête, des scènes tellement ridicule que j'en ai pleuré de rire! Voir Patrick Macnee dans une chaise roulante, digne de la série animé Les Fous du volant, m'a achevé et a tué le film par la même occasion.
1,5/5