Hostel Part 3 (2011, Scott Spiegel)

freddyforever a écrit:

Mark Allan Poe a écrit:

freddyforever a écrit:

Le premier film portait sur les victimes.
Le deuxième film portait sur les clients
Le troisième pourrait porter sur ceux qui s'occupe de la compagnie. Directeur et ouvrier.

Ce n'est pas fou puisque c'est un des arcs principaux, Rémy

Il faut croire que ton idée a été exaucée.

J'ai dit ça le 10 novembre 2008. J'ai des dons de voyances!!!

Juste pour ça, ça me donne envie de le voir.

Gâtes-toi !

Je suis assez déçue du troisième Hostel, je préférais vraiment quand ça se passait en Slovaquie ça fessait un peu "réel" mais celui-ci n'est pas non plus un navet, il se laisse regarder quoi. J'aurai quand même bien voulut savoir ce que devient Beth du second film. Et qu'ils Épargnent Justin c'est vraiment le gars qui méritait pas de mourir quoi un peu comme Lorna du deux ou Josh du premier.

Last-Escape a écrit:

Et qu'ils Épargnent Justin c'est vraiment le gars qui méritait pas de mourir quoi un peu comme Lorna du deux ou Josh du premier.

Si les films d'horreur devaient épargner ceux qui ne "méritent" pas de mourir, on serrait mal barré...

Oui j'avoue mais bon ça n'empêche pas qu'ils me font pitié les trois là !

Last-Escape a écrit:

Oui j'avoue mais bon ça n'empêche pas qu'ils me font pitié les trois là !

Lorna m'avait vraiment attristé. Elle n'est pas très jolie et le seul homme qui lui prête attention et un des hommes de main du Club, qui n'a qu'une intention : la kidnappé... Et puis quand elle se fait torturé et qu'elle appelle sa mère... c'était assez triste.

Jérémie a écrit:

Lorna m'avait vraiment attristé. Elle n'est pas très jolie et le seul homme qui lui prête attention et un des hommes de main du Club, qui n'a qu'une intention : la kidnappé... Et puis quand elle se fait torturé et qu'elle appelle sa mère... c'était assez triste.

Voilà pourquoi je pense qu'Hostel au troisième devient vraiment malsain et inhumain même si ça reste un film. Un peut comme The Human Centipède ou encore Saw. Il y a des moments où ça passe mais quand ça dépasse les limites je peux plus.

Jérémie a écrit:

Last-Escape a écrit:

Oui j'avoue mais bon ça n'empêche pas qu'ils me font pitié les trois là !

Lorna m'avait vraiment attristé. Elle n'est pas très jolie et le seul homme qui lui prête attention et un des hommes de main du Club, qui n'a qu'une intention : la kidnappé... Et puis quand elle se fait torturé et qu'elle appelle sa mère... c'était assez triste.

C'est franchement triste c'est vrai quand elle appelle sa mère

Le syndrome de la mauvaise suite directement en vidéo a encore frappé.
Le diptyque d'Eli Roth, non sans défauts mais néanmoins plutôt intéressant dans son approche de l'horreur, n'avait certainement nullement besoin de cette suite qui n'en n'est pas vraiment une puisqu'elle n'entretient que peu de connivences avec les deux précédents films, si ce n'est que l'on y retrouve l'agence Elite hunting. L'action a été délocalisée à Las Vegas dans une espèce d'ancienne usine hors de la ville servant toujours à assouvir les pulsions et fantasmes de millionnaires sadiques. La nouveauté réside sans le fait que ces derniers peuvent assister confortablement assis dans un salon Kitty proche de l'univers de Tinto Brass (sacrée référence...) aux tortures subies par de pauvres quidams.

Bref, le film ne va jamais très loin, ne développe pas grand chose, confronte les excités d'une enterrement de vie de garçon à des sadiques mollassons qui ne donnent jamais vraiment dans l'inventivité. Si l'on peut se sentir révulsé par ce que Roth nous montrait dans ses films, il y avait cependant un effort, une recherche créative dans l'outrance sanguinaire. Ici, c'est la frilosité qui l'emporte. On arrache la peau d'un visage hors-champ, on fait avaler des cafards à une jeune femme afin qu'ils la dévorent de l'intérieur, un malheureux attaché se fait cribler de flèches..."Hostel chapitre trois" manque cruellement (un comble) de délire dans sa violence, et à l'exception de quelques excès gore très sages vers la fin, ne retrouve jamais l'ambiance vomitive mais pourtant fascinante du premier et surtout du second. Là où Roth exerçait un pouvoir d'attraction certes malsain mais évoquant les instincts primaires des spectateurs, et l'envie de voir l'interdit, Spiegel aligne les séquences sans aucun intérêt.

Il faut dire qu'il n'est pas aidé par un scénario affreusement stupide, se contentant de reprendre quelques futiles éléments de la saga et de les décliner en en rajoutant dans les fausses pistes éventées et les retournements de situations hélas prévisibles dés le début du film. Les personnages auxquels les pires outrages sont sensés arriver sont en plus tout sauf attachants et l'on se fiche bien de ce qui peut leur arriver. Le duo de méchants (dont un Thomas Krestschmann confirmant qu'il peut être aussi bon que mauvais comédien) est risible et sans aucune saveur.
Les passages à Las Vegas sont étriqués au possible et le manque de budget nuit véritablement à l'instauration d'une ambiance digne de ce nom, en dépit des grotesques efforts de Scott Spiegel pour imiter son ami Sam Raimi à coups de plans supposés tarabiscotés mais surtout totalement inutiles, sauf si vous souhaitez voir un jeune homme entrer dans une chambre d’hôtel filmé au travers du manche d'un fer à repasser...n'est pas David Fincher qui veut !

"Hostel chapitre trois" ne redore absolument pas le blason outrageusement abimé du DTV de seconde zone aux intentions uniquement pécuniaires. C'est une sorte de thriller paresseux, ennuyeux (il faut bien attendre une bonne demi-heure avant que le film ne démarre vraiment), mal joué, mal filmé (mais à quoi pouvait-on s'attendre d'autre de la part de Scott Spiegel), qui essaye de faire son malin en tentant vainement une ou deux idées très mal gérées dans son déroulement et qui tombe à plat de la première à la dernière minute, se concluant en outre sur un final ridicule au possible.
Eli Roth a eu le nez creux en ne s'impliquant pas dans ce ratage intégral.

Le scenario est bon, mais il manque de violence qui donne mal au coeur lol.

ce film s'est révélé à être une surprise pour moi. Je ne m'étais pas fais d'attente même si je suis un grand fan des deux premier. Je dois dire que j'ai bien aimé le fait d'être souvent dans le bateau lorsqu'il était sujet de savoir qui est les responsables. Pour finalement comprendre pourquoi qu'ils ont été amené dans ce genre d'endroit. Ce n'est pas un film que j'oserais écouté un million de fois durant ma vie. Mais ce n'est tout de même pas un film que je vais craché dessus!

Il mérite amplement son 3 et demi sur 5!

Re-aperçu dernièrement chez des connaissances, je me dois de remodeler mon avis envers ce film que j'avais totalement oublié au point de ne pas l'avoir reconnu au départ et que j'avais lancé une critique peu complète. Je ne connais pas le maigre travail antérieur de Scott Spiegel et ses DTV, je ne comprend pas non plus comment on peut l'aduler avec un si court C.V., un cinéaste m'intéresse que quand il se démarque et qu'il fait preuve de talent malgré la compagnie qui l'exploite, ce qui n'est pas le cas ici. La mise en scène d'Hostel III est extrèmement paresseuse. Si on lui reproche de ne pas savoir filmer, il y a effectivement des cadrages souvent très négligés et d'autres acceptables en accord avec la pauvreté du scénario et des lieux choisis.

Dans un post précédent où je venais de terminer mon visionnement du film, j'exprimais une réaction personnelle à la pensée que le réalisateur n'avait sûrement jamais vu les deux premiers. Dans certains cas, c'est bien de se détacher de l'oeuvre pour obtenir du frais, le problème c'est que le concept d'Eli Roth est tellement éclaté dans l'outrance que la transition vers ce troisième opus est éperduement ratée, le poids est beaucoup trop gros à porter pour quelqu'un qui veut se détacher du crade, du gore, le poids est encore plus gros quand on ne sait pas comment tourner un film... Du moins, le rythme et la structure est presque la même des 2 premiers, le début est toujours lent et ça sombre ensuite dans le seul intérêt porté dans ce genre, la torture, autre déception du film où le spectateur n'en a peu pour son argent grâce à des effets spéciaux minables et un mauvais choix de plans de caméra.

J'ai lu que vous défendiez les DTV mais c'est comme du McDo, on le mange pis on le chie après, puis on va manger chez un meilleur restaurant plus tard où ça goûte plus. Aussitôt digéré, Hostel 3 ne sert plus à rien qu'à être flushé dans la cuvette de ma cervelle.
0.5/5

+1, ce film est une vrai merde. Pourtant javais bien aimer ces autres film a scott.

Hans-Landa a écrit:

J'ai lu que vous défendiez les DTV mais c'est comme du McDo, on le mange pis on le chie après, puis on va manger chez un meilleur restaurant plus tard où ça goûte plus. Aussitôt digéré, Hostel 3 ne sert plus à rien qu'à être flushé dans la cuvette de ma cervelle.

Toute une comparaison !

Screamfan1 a écrit:

Hans-Landa a écrit:

J'ai lu que vous défendiez les DTV mais c'est comme du McDo, on le mange pis on le chie après, puis on va manger chez un meilleur restaurant plus tard où ça goûte plus. Aussitôt digéré, Hostel 3 ne sert plus à rien qu'à être flushé dans la cuvette de ma cervelle.

Toute une comparaison !

Quand le cinéma d'horreur se fait sauver la face à 90% par le DTV en 2011, et que les sorties cinéma horrifiques passent pour du McDo indigeste et qui mérite d'aller au chiotte.... il y a un problème! Je ne pense pas qu'il faut rabaissé ce support. Non seulement Insidious et Super 8 demeurent les seules choses intéressantes en terme d'horreur en cinéma, ils se font en plus botté cul solide par Attack The Block et Ghost From The Machine.

Je crois sincèrement que si ce n'était des films indépendants et des DTV, le genre horreur devenait le plus minable en 2011. C'est à ce point-là que rien n'était impressionant.

Alors oui, je défend corps et âmes le DTV, mais je dis aussi que ça devient l'avenir du cinéma d'horreur des moments.

Hans-Landa a écrit:

J'ai lu que vous défendiez les DTV mais c'est comme du McDo, on le mange pis on le chie après, puis on va manger chez un meilleur restaurant plus tard où ça goûte plus.

Dire cela est complètement faux, la moitié des chef-d'oeuvres de l'horreur sont des DTV, fait juste penser à Trick r treat... Là tu va dire que je te dis juste un film, si tu veux une liste m'a t'en faire une, les films d'horreur sortant au cinéma dernièrement sont beaucoup plus du MCDO que les DTV... Donc je suis entièrement en accord avec Mark allan poe.

J'ai peut-être mal interprété ce qui se dit mais moi aussi je suis bien d'accord avec Mark.

Il y a plusieurs DTV qui sont très potable comparé a plein de film qui sont sortie au cinéma. Un que je retiens et que j'ai beaucoup adoré est 2001 Maniacs qui reste un très bon petit film d'horreur gore. Un pure DTV!

Il y a autant de dtv qui sont vraiment des merde sans nom que les film d'horreur qui sorte au cinéma.

Oh SHIT j'ai confondu DTV avec téléfilms! Je sais pas pourquoi mais peu importe, je suis dans le champ total!

Hans-Landa a écrit:

Oh SHIT j'ai confondu DTV avec téléfilms! Je sais pas pourquoi mais peu importe, je suis dans le champ total!

téléfilm c'est carrément différent. Héhé.