Shark Night 3D (2011, David R. Ellis)

"lorsqu'il est révélé que ces requins sont munis de caméras contrôlées par des rednecks désireux de vendre des films snuffs sur le marché noir, on se doit de changer le ton et l'allure de son film!"

C'est si doux à mes oreilles!

01 - Help, The - Disney - 14,2 millions $US

02 - Debt, The - Focus Features - 9,67 millions $US

03 - Apollo 18 - The Weinstein Company - 8,7 millions $US

04 - Shark Night 3D - Relativity Media - 8,64 millions $US

05 - Rise of the Planet of the Apes - 20th Century Fox - 7,8 millions $US

06 - Colombiana - Sony - 7,4 millions $US

07 - Our Idiot Brother - The Weinstein Company - 5,18 millions $US

08 - Don’t Be Afraid Of The Dark - FilmDistrict - 4,9 millions $US

09 - Spy Kids: All The Time In The World - The Weinstein Company - 4,6 millions $US

10 - Smurfs, The - Sony - 4 millions $US

Les films d'horreur font une percée très mauvaise au box office et en plus fright night et final destination 5 is out du box office.

def leppard a écrit:

01 - Help, The - Disney - 14,2 millions $US

02 - Debt, The - Focus Features - 9,67 millions $US

03 - Apollo 18 - The Weinstein Company - 8,7 millions $US

04 - Shark Night 3D - Relativity Media - 8,64 millions $US

05 - Rise of the Planet of the Apes - 20th Century Fox - 7,8 millions $US

06 - Colombiana - Sony - 7,4 millions $US

07 - Our Idiot Brother - The Weinstein Company - 5,18 millions $US

08 - Don’t Be Afraid Of The Dark - FilmDistrict - 4,9 millions $US

09 - Spy Kids: All The Time In The World - The Weinstein Company - 4,6 millions $US

10 - Smurfs, The - Sony - 4 millions $US

Les films d'horreur font une percée très mauvaise au box office et en plus fright night et final destination 5 is out du box office.

Si Shark Night a été fait PG13, c'était pour ramener le plus de monde possible dans les salles... et résultat c'est un bide au box-office...

Jérémie a écrit:

def leppard a écrit:

01 - Help, The - Disney - 14,2 millions $US

02 - Debt, The - Focus Features - 9,67 millions $US

03 - Apollo 18 - The Weinstein Company - 8,7 millions $US

04 - Shark Night 3D - Relativity Media - 8,64 millions $US

05 - Rise of the Planet of the Apes - 20th Century Fox - 7,8 millions $US

06 - Colombiana - Sony - 7,4 millions $US

07 - Our Idiot Brother - The Weinstein Company - 5,18 millions $US

08 - Don’t Be Afraid Of The Dark - FilmDistrict - 4,9 millions $US

09 - Spy Kids: All The Time In The World - The Weinstein Company - 4,6 millions $US

10 - Smurfs, The - Sony - 4 millions $US

Les films d'horreur font une percée très mauvaise au box office et en plus fright night et final destination 5 is out du box office.

Si Shark Night a été fait PG13, c'était pour ramener le plus de monde possible dans les salles... et résultat c'est un bide au box-office...

Un bide?! Faut analyser correctement les chiffres là gang!

Black-Rainbow a écrit:

Jérémie a écrit:

def leppard a écrit:

01 - Help, The - Disney - 14,2 millions $US

02 - Debt, The - Focus Features - 9,67 millions $US

03 - Apollo 18 - The Weinstein Company - 8,7 millions $US

04 - Shark Night 3D - Relativity Media - 8,64 millions $US

05 - Rise of the Planet of the Apes - 20th Century Fox - 7,8 millions $US

06 - Colombiana - Sony - 7,4 millions $US

07 - Our Idiot Brother - The Weinstein Company - 5,18 millions $US

08 - Don’t Be Afraid Of The Dark - FilmDistrict - 4,9 millions $US

09 - Spy Kids: All The Time In The World - The Weinstein Company - 4,6 millions $US

10 - Smurfs, The - Sony - 4 millions $US

Les films d'horreur font une percée très mauvaise au box office et en plus fright night et final destination 5 is out du box office.

Si Shark Night a été fait PG13, c'était pour ramener le plus de monde possible dans les salles... et résultat c'est un bide au box-office...

Un bide?! Faut analyser correctement les chiffres là gang!

Un peu plus de 8 millions pour son premier week-end d'exploitation, moi j'appel ça un bide... Le film ne dépassera sans doute pas les 20 millions de recette, sur le territoire Américain.

C'est pas énorme, mais faut remettre le film en contexte. Déjà à la base, ce n'est pas le genre de film qui attire des tonnes de personnes. Si tu le compares à Piranha 3D, qui avait obtenu 10M lors de sa première fin de semaine, c'est pas si mal. Oui Piranha 3D n'a pas été un énorme succès au box office, mais il n'a pas floppé non plus.

C'est assez rare qu'un film d'horreur casse la baraque au cinéma.

Reste à savoir quel est le budget du film. C'est principalement en prenant en compte ce paramètre que l'on pourra juger s'il s'agit d'un échec ou non.

Son budget est de 28 millions, donc, oui c'est un petit échec

Les films ayant comme sujet des animaux tueurs ca pognent pu ben ben dans les cinémas,peut etre plus sur des DTV.Pour ma part a l'exception de jaws et cujo il a pas ben ben de films d'animaux vraiment excellents.

Ils ont manqué le bateau avec Shark Night, c'est sûr. Ceci étant dit, je n'ai pas été dégouté par celui-ci. Le film m'a fait passé une heure et demie où je ne me suis pas mortellement ennuyé. Je dirais même que côté divertissement, j'ai été surpris. Je m'attendais possiblement à un film assez fastidieux, et ce n'est pas ce que j'ai vu. À chaque fois que ça commence un peu à tourner en rond, un nouveau rebondissement arrive, et il est parvenu à me garder suffisamment intéressé pour que j'apprécie le visionnement.

Par contre, je me suis trompé il y a quelques semaines quand j'ai dit que la cote de 13 ans et plus n'allait probablement pas affecté le résultat. Ajoute des scènes plus gore et une scène de skinny dipping, et il me semble que déjà on a quelque chose qui se rapproche davantage de ce qu'on voudrait voir dans un film comme celui-à.

L'humour n'est également pas assez présent. Et même lorsqu'il y en a, c'est peu efficace. Le personnage joué par Joel David Moore (le gars de Hatchet) aurait dû davantage s'imposer comme le gars drôle du groupe.

Bref, un film passable et correct, amusant de temps en temps, qui aurait pu être beaucoup plus.

Spoiler:

Ce serait tellement bon qu'un vrai film d'horreur soit projeté et dépasse le milliard.

Arthas_117 a écrit:

Ce serait tellement bon qu'un vrai film d'horreur soit projeté et dépasse le milliard.

Si j'était toi, je retiendrais pas mon souffle.

Avatar c'etait une vrai horreur et ca a depasse le milliard!

Arthas_117 a écrit:

Ce serait tellement bon qu'un vrai film d'horreur soit projeté et dépasse le milliard.

Twilight 2.

J'avais lu le scénar du film quelque mois avant sa sortie, donc je savais à quoi m'attendre (quoique, pas mal de moments on été modifié ou supprimé).

C'est clair qu'on est loin du réalisme et de la subtilité du récent The Reef (ou bien même des Dents de la Mer) : des rednecks aux motivations on ne peut plus saugrenues, ont placé dans un lac d'eau salé plusieurs espèces de requins qui n'hésitent pas à bondir hors de l'eau pour choper leur proies, et même des requins marteaux capables d'attaquer les hommes (!!).
Bon ok, c'est exagéré (sans oublier le coup du mec, avec un bras en moins, qui arrive à buter un requin armé seulement d'une lance !), mais alors qu'est ce que c'est bon ! Ce qui peut apparaître aux yeux de beaucoup comme des défauts, constitues pour moi de grosses qualités (franchement, le coup des requins équipés de caméras, fallait le faire). J'avais vraiment l'impression d'être devant un nanar d'Asylum ou de Scifi Channel, mais produit avec 25 millions.

Je ne me suis pas ennuyé un seul instant. Les requins sont plutôt bien faits (particulièrement le squale en animatronique dans la scène finale : bluffant de réalisme). Et la 3D est de bonne qualité je trouve, les plans sous marins sont à tomber, et c'est quand même marrant lorsque les requins foncent en notre direction, la bouche béante.
Bon je dois avouer que j'aurais préféré un peu plus de sang, mais bon, pour un PG13, c'est déjà quand même assez sanglant. Je croise les doigts pour qu'on ait droit à une version Unrated.

Donc voilà, j'ai hâte qu'il soit dispo en DVD pour que je puisse me le refaire une fois de plus.

Aucune version longue annoncée malheureusement...

Mais le visuel du DVD et du Blu-Ray zone 1 est vraiment sympa !

Jérémie a écrit:

Mais le visuel du DVD et du Blu-Ray zone 1 est vraiment sympa !

Il a son effet, il faut le dire !

Seulement, est-il le moindrement représentatif du contenu présenté ?

Mark Allan Poe a écrit:

Jérémie a écrit:

Mais le visuel du DVD et du Blu-Ray zone 1 est vraiment sympa !

Il a son effet, il faut le dire !

Seulement, est-il le moindrement représentatif du contenu présenté ?

Ce visuel de Shark Night est dans la veine de celui de pas mal de petites séries B mettant en vedette des requins mangeurs d'hommes (Shark Attack, Malibu shark Attack, Spring Break Shark Attack, etc, etc).
Et Shark Night se situe dans le même esprit que ces films, mais avec un plus gros budget. Donc oui, le visuel est tout a fait représentatif du contenu.

Je viens de me rendre compte que les DVD et Blu-Ray zone 1 ne proposaient même pas le film en 3D...
Je suis content que le Blu-Ray français contienne - en plus du Blu-Ray et du DVD - le film en 3D active :

Dr. Freudstein a écrit:

Arthas_117 a écrit:

Ce serait tellement bon qu'un vrai film d'horreur soit projeté et dépasse le milliard.

Twilight 2.

Euuuuum depuis quand twilight est un VRAI film d'horreur ???

Le seul film de requin le mieux reussi de ces deux dernieres decennies est Deep Blue sea (peur bleue en france) le reste ce sont des films bof, quoique Sharks VS Giant Octopuss m'a bien fait délirer.

The reef c'est trop vu et archivu, ce genre la... dommage car ce film avait du potentiel...

Quand a Shark Night: juste un mot pour résumer et critiquer le film: LOL

J'ai une petite impatience envers Shark Night 3-D.

Ça n'a pas l'air d'un super gros divertissement, mais il semble convenir à une soirée bien arrosée de bières. De ce fait, je suis preneur.

Il ne lui reste pas beaucoup de temps avant sa sortie dvd, de plus !

Mark Allan Poe a écrit:

Ça n'a pas l'air d'un super gros divertissement, mais il semble convenir à une soirée bien arrosée de bières. De ce fait, je suis preneur.

Prevois la dose de bière alors

Cinq ans après «Des serpents dans l’avion», le sympathique David Ellis persiste dans l’attaque animale en lieux incongrus en envahissant cette fois un lac du New-Jersey par des requins de différentes espèces, de toute taille et de toute sorte. Des squales enragés préts à boulotter une bande d'étudiants tous beaux et propres à l'occasion d'un week-end de repos bien mérité.
Les premières critiques tombées lors de la sortie du film aux États-Unis ou suite aux projections de presse ou aux avant-premières françaises n'étaient pour la plupart pas très bonnes, voir même dévastatrices. «Shark Night» est-il donc à la hauteur de ces volées de bois-vert ? Certains s'attendaient-il à la digne relève des «Dents de la mer» ou au minimum à un spectacle gore et décomplexé renvoyant «Peur Bleue» vers le large ? Ou ne s'agit-il finalement pas d'autre chose qu'un divertissement de fin d'été prompt à faire passer un moment ?

La nouvelle série B-a de David Ellis n'est pas ce que l'on pourrait appeler un bon film. Au sens où «Shark night» ne brille pas de par ses qualités d'écriture. On y retrouve donc les jeunes avec tout ce qui compte de stéréotypes : la blonde bien gentille (avec un trauma), le geek mais beau gosse (une version masculine de la Rachael Leigh Cook de «She's all that»), son copain geek moins beau mais plus franc du collier (à qui Joel David Moore prête sa sympathique bouille), le sportif noir venu du ghetto et sa copine porto-ricaine (respectons les minorité), l’Apollon de service avec un pois-chiche dans la tête hâbleur mais ayant bon fond et enfin la bimbo tatouée nymphomane commune au genre.
Autour d'eux vont graviter tout un groupe d'autochtones peu recommandables sortis de «Massacre à la tronçonneuse»,l'un d'entre-eux s’étant même pour l'occasion taillé les dents de la mâchoire supérieure comme celles des requins. L'autre est un beau gosse balafré qui a bien connu l'héroïne par le passé (trauma qui refait surface). Enfin, le shérif sympathique et compréhensif (Donal Logue, un bon comédien sous-employé) représente la force de l'ordre sur ce lopin de terre perdu entre deux eaux.

L'introduction nous présente un couple dont la jeune femme sera la première victime d'un squale vicieux. Il est d'ors et déjà intéressant de constater à quel point David Ellis évite de trop en montrer. Ainsi, on ne verra rien du haut de la blonde dont le petit ami a détaché le bikini, ni de la violence dont fera preuve le poisson pour massacrer la donzelle. Il ne s'agit donc pas de montrer trop de violence, de sexe ou même un semblant de subversion, «Shark night» s'avérant sur ce point l'antithèse de «Deep blue sea» par exemple qui n'hésitait jamais à aller trop loin dans le gore. D'ailleurs, vous souvenez-vous du début du film de Renny Harlin lorsque les quatre jeunes sont attaqués sur leur voilier ? Et bien imaginez que le réalisateur de «Destination finale 2» étire cette scène durant une heure vingt. «Shark night» se distingue des autres longs-métrages du genre par une absence presque totale de gore et met de côté toute nudité ou comportement sexuellement actif chez ses post-adolescents fortunés. Tout est lisse (^^), propre et sans excès visuels.
Passée l'éventuelle frustration de ne pas assister à un spectacle bien sanglant, un «Vendredi 13» ou Bruce (le nom donné par Spielberg à son grand blanc dans "Jaws", en hommage à son avocat) aurait remplacé Jason et le plaisir sadique de voir une bande de têtes à claques dévorée par des monstres aquatique, il faudra faire avec l'évidence : «Shark night» fait figure de film de faux-derche qui cherche à ne pas trop se mouiller (^^) afin d'attirer un public plus large en ne naviguant pas hors des eaux du PG-13.

Certes, le chef-d’œuvre matriciel de Steven Spielberg se montrait lui aussi plutôt avare en effusions de sang, malgré quelques séquences tout de même bien corsées (l’œil arraché de Ben Gartner, la jambe qui coule au fond de l'étang, le cadavre de Christie Watkins...), mais contentait tout le monde grâce à un suspense terrifiant et en jouant justement (aussi pour des raisons techniques) sur la suggestion lors des attaques du Carcharodon carcharias.

Ici, David Ellis essaye de suivre le même chemin que son illustre modèle mais ne parvient que rarement à provoquer l'angoisse à l'exception d'une scène plutôt cruelle où l'un des protagonistes est plongé dans une petite cage remplie de vicieux petits squales voraces, une séquence qui se montrerait presque dérangeante au sein d'un film qui manque de mordant. Les attaques aquatiques sont sans grandes surprises, s'agit-il alors de deviner qui sera le prochain tout en essayant de comprendre (on le saura assez rapidement) le pourquoi du comment de la présence de requins dans un lac d'eau salée.

Et c'est finalement dans cette astuce de scénario que «Shark night» prend tout son sens. C'est pour le fun et pour l'argent. Tout comme le film lui-même. Ellis ne s’embarrasse pas de cohérence et la vision de son film devient alors rapidement très sympathique.
Car s'il est exempt de gore, s'il ne va visuellement au bout de son sujet et s'il présente des protagonistes pénibles et bourrés de clichés, «Shark night» n'en demeure pas moins un spectacle agréable, très correctement filmé, relativement court et bien rythmé. Le but est de dépenser les trente millions de dollars alloués tout en amusant les spectateurs.

Il est cependant intéressant de savoir si le film a été conçu pour être immédiatement tout public où s'il existera ultérieurement une version plus douloureuse. En tout cas, «Shark night» divertit comme il convient et ce côté hybride de film d'horreur presque familial est plaisant. La réalisation est belle, les plans sont bien choisis, le cadre propice au grand écran et David Ellis maitrise sa très belle 3D, à la fois convaincante dans l'immersion (magnifiques effets sous-marins où bulles et algues semblent s'agiter dans la salle) et le jaillissement (certains requins sont impressionnants) à condition bien-sûr de le voir dans une salle adaptée et bien réglée.

L'ambiance du film est satisfaisante sans pour autant jamais terrifier ni même installer un climat d'angoisse, presque à l'image de nos héros qui semblent prendre tout ça un peu par dessus la jambe. Il ne faut à ce sujet pas s'attendre à monts et merveilles de la part des comédiens. Les gentils sont des crétins, les méchants le sont aussi et le casting ne brille pas vraiment, à l'exception notable de Donal Logue, par le jeu de qualité des acteurs, à commencer par Sara Paxton, une bien piètre actrice certes non choisie ici pour ses dons d'interprétations.

«Shark night 3D» n'est pas un bon film. Ce n'est pour autant pas une purge infâme bonne à jeter aux requins. Spectacle bien fichu qui respecte le cahier des charges de la 3D, suffisamment court pour que l'on ne s'y ennuie pas, offrant des requins impressionnants et iconiques et de la chair à paté humaine de premier choix, filmé comme un clip quand il le faut. A ce sujet,le plan répété trois fois sur le postérieur de Sara Paxton comme un disque rayé est autant ridicule et inutile qu'hilarant.
Mais ce qui impressionne le plus, c'est ce montage qui semble parfait pour l'ancien BBFC (British Board Film Classification si je ne me trompe pas) , expurgé de tous les plans «adultes», comme s'il existait une version ultra censurée du film qui était celle distribuée dans les salles.
Dans l'état, ça ne vole pas haut mais ça s'assume et ne cherche jamais à atteindre les cimes du genre. Les comparaisons inévitables avec «Jaws» ou «Deep blue sea» ne s'avèrent donc pas fondamentales et «Shark» peut exister en tant que tel, comme un nanar qui ne voudrait pas s'en cacher, comme un mauvais élève conscient qu'il ne sera jamais premier de la classe et qui opte alors définitivement pour une position de trublion mais pas de turbulent. Un film qui s'en fiche et si l'on accepte son sort, on peut y prendre du plaisir. Un petit conseil pour ceux qui supporteront le film dans son entier, restez jusqu'à la fin du générique, une surprise vous attend.
Pour ceux qui veulent du saignant, du gore, circulez, il n'y a rien nageoire.

crazy babysitter a écrit:

Pour ceux qui veulent du saignant, du gore, circulez, il n'y a rien nageoire.