Quel est le dernier film que vous avez vu?

Baptiste Müller a écrit:

celticxoan a écrit:

Par contre Crash de Monsieur Cronnenberg est un de ses films que j'ai préféré.

C'est justement pour ma part l'un des films les plus décevants du sieur Cronenberg, à ranger aux côtés de Spider et Scanners. Les scènes de sexe suggérées y sont sacrément inutiles et ralentissent bêtement l'intrigue.

As-tu envisagé que Crash pourrait etre un film érotique ? Que finalement les personnages suite a leur crash ont leur comportement sexuel modifié et que ils vivent leur sexualité comme une dépendence les poussant au pire pour assouvir leurs besoins....
D'ailleur dans ce film on retrouve certains repères de Cronnenberg comme sa prédilection a meler l'organique au métalique ou technologique (comme pour Vidéodrome, The Fly ou Existenz).

D'ailleurs chez lui le sexe est constament perverti et est sujet a toutes sortent de réactions nocives pour ces personnages (Vidéodrome, Shivers ou encore The Fly)

Voila ce qui m'a fait aimer ce film.
Beaucoup de personnes n'aiment pa ce film pour diverses raisons, d'ailleurs j'ai souvenir que lorsque je l'ai vu en salle, la moitié des spectateurs sont partis avant la fin et au festival de Cannes le film a été sifflé !

celticxoan a écrit:

Baptiste Müller a écrit:

celticxoan a écrit:

Par contre Crash de Monsieur Cronnenberg est un de ses films que j'ai préféré.

C'est justement pour ma part l'un des films les plus décevants du sieur Cronenberg, à ranger aux côtés de Spider et Scanners. Les scènes de sexe suggérées y sont sacrément inutiles et ralentissent bêtement l'intrigue.

As-tu envisagé que Crash pourrait etre un film érotique ? Que finalement les personnages suite a leur crash ont leur comportement sexuel modifié et que ils vivent leur sexualité comme une dépendence les poussant au pire pour assouvir leurs besoins....
D'ailleur dans ce film on retrouve certains repères de Cronnenberg comme sa prédilection a meler l'organique au métalique ou technologique (comme pour Vidéodrome, The Fly ou Existenz).

D'ailleurs chez lui le sexe est constament perverti et est sujet a toutes sortent de réactions nocives pour ces personnages (Vidéodrome, Shivers ou encore The Fly)

Voila ce qui m'a fait aimer ce film.
Beaucoup de personnes n'aiment pa ce film pour diverses raisons, d'ailleurs j'ai souvenir que lorsque je l'ai vu en salle, la moitié des spectateurs sont partis avant la fin et au festival de Cannes le film a été sifflé !

Ce que je veux dire, c'est que Cronenberg aurait mieux fait de "raccourcir" les séquences érotiques de Crash, qui ne servent franchement pas à grand chose. Il y avait déjà, comme tu dis, cette fascination pour le sexe mêlé à des éléments technologiques ou métalliques dans des oeuvres telles que Videodrome ou The Fly, mais le sexe, bien qu'ayant une importance considérable au sein du thème, n'était jamais montré d'une façon aussi insistante, limite racoleuse. C'est à mon sens ce qui limite l'intérêt de Crash, car on a bien souvent l'impression d'assister à un quelconque téléfilm érotique du dimanche soir, auquel Cronenberg aurait rajouté sa patte...

Body Bags - 8/10


Les Évadés - Frank Darabont (1994)



Cinéaste alors inconnu au bataillon, ayant longtemps travaillé en tant qu'assistant-producteur et scénariste pour des films de genre, Frank Darabont allait ni plus ni moins bouleverser le cinéma américain des années quatre-vingt-dix avec cette œuvre magistrale, inspirée d'une nouvelle de Stephen King. Les Évadés, ne se contentant pas de restituer avec une précision millimétrique l'univers carcéral de l'Amérique provinciale rétro, est avant tout une magnifique leçon d'amitié, qui entretient un récit de plus de deux heures sans la moindre fausse note. Celui qui sera quelque temps plus tard l'auteur du sublime La Ligne Verte, autre adaptation d'un bouquin de King parmi les meilleures qu'il soit, réalise ici une perle rare dans laquelle il apparaît fort difficile de contester le moindre élément: de la mise en scène, majestueuse et parfaitement sobre, à l'interprétation, dominée par les remarquables Morgan Freeman et Tim Robbins, en passant par la fluidité de la narration, mais également le magnifique message porteur d'espoir délivré, tout fait des étincelles dans Les Évadés. Un grand chef-d'œuvre, pétri d'humanisme et d'émotion sincère, qui ne s'oublie pas.

10/10

Je suis d'accord sur ce point, The Shawshank Redemption est un putain de chef-d'oeuvre ! Pour Crash, c'est aussi le plus décevant Cronenberg que j'ai vu.

F.Darabont va adapter BRUME de S.King..... Vu ses deux premières réussites on ne peut que se réjouir !

THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE : The beginning

L'Effet Papillon - Eric Bress & J. Mackye Gruber (2004)



L'Effet Papillon, réalisé par le duo inconnu Eric Bress et J. Mackye Gruber, fit l'effet d'une petite bombe lors de sa sortie. L'on peut sans peine saisir cet engouement, tant le résultat apparaît comme l'un des films traitant du thème des voyages temporels les plus percutants depuis fort longtemps. Le concept, pourtant pas tout à fait neuf dans son fond, permet ici de donner lieu à un thriller surnaturel mené à cent à l'heure, dont l'intrigue, sans cesse dopée par des rebondissements peu chiches en émotions fortes, tient constamment en haleine. Il en résulte un film des plus abouti sur le plan spectaculaire, une œuvre divertissante au possible et qui excelle dans l'art de ménager les effets de surprise, mais dans laquelle il ne faut point trop y regarder de plus près, sous peine de gâter une bonne partie du plaisir éprouvé; en effet, pour faire détonner la mécanique de l'histoire, le couple de réalisateurs/scénaristes a recours à bon nombre de facilités grosses comme une enclume et susceptibles de faire grincer des dents si l'on prend la chose trop au sérieux. Tout paraît quelquefois si simple dans les péripéties de notre bon Evan (Ashton Kutcher, plutôt convaincant), que l'on ne peut s'empêcher d'esquisser un petit sourire jaune en y repensant. Et paradoxalement, cette multiplication effrénée de twists bancals se veut l'ingrédient-clé de la sauce de L'Effet Papillon, le facteur de son intérêt, car cela le hisse au panthéon d'un certain cinéma qui emplit son public d'adrénaline, qui lui procure une excitation sans pareil, pour autant qu'il ne s'évertue guère à réfléchir excessivement et y trouver une réelle crédibilité; la saga Destination Finale, à titre d'exemple, s'accorde parfaitement elle aussi à la dite devise.



D'un point de vue formel, L'Effet Papillon possède du bon et du moins bon. La mise en scène tient honorablement la route dans son ensemble, malgré un montage parfois bâclé et des séquences carcérales particulièrement mal filmées. Les effets spéciaux en images de synthèses illustrant les transitions temporelles d'Evan quant à eux laissent à désirer, évoquant les CGI foireux des séries TV de science-fiction des années quatre-vingt-dix. Mais on apprécie en contrepartie le très bon travail fourni sur la photographie, chaude, fine et éclatante, qui culmine lors d'un bref mais onirique périple à la fac où l'on a subitement l'impression d'assister à un conte de fées coloré (couleurs saturées, effets troubles). Les faiblesses techniques de L'Effet Papillon s'inscriront ainsi sur le compte d'un manque d'expérience probable de la part de Bress et Gruber en tant que cinéastes, mais une fois encore, pas de quoi faire la fine bouche avec un film aussi captivant.



Bourré de défauts, loin d'être toujours maîtrisé et peu vraisemblable, L'Effet Papillon n'en demeure pas moins génial, tout simplement parce qu'il accroche de la première à la dernière scène et parvient à nous passionner avec un scénario pourtant boiteux. L'on a beau ne pas trop croire à cette vaste fumisterie, celle-ci fonctionne quand bien même du tonnerre et nous convie à un spectacle rythmé, prenant et fun, dépourvu du moindre temps mort. Make some noise !

8/10







Violent Shit 3: Infantry of Doom - Andreas Schnaas (1999)



Parfois retitrée Zombie Doom, cette production doit sa petite renommée au fait qu'elle fut réalisée par le pape du Gore germanique, Andreas Schnaas, partageant par ailleurs ce prestigieux titre avec son illustre collègue Olaf Ittenbach. Pas la peine de chercher la moindre valeur artistique dans ce taudis trash filmé au caméscope (image et son dégueulasses), mais de la barbaque et du fun à volonté. Violent Shit 3 réserve une bonne petite collection de séquences Gore extrêmes et pour certaines d’entre elles particulièrement bien réalisées; l'on n'oubliera pas de sitôt ce visage arraché à l'aide de crochets, cette extirpation de colonne vertébrale ou encore ces décapitations imaginatives à la machette. À la différence d'Ittenbach, qui mettait en scène avec Black Past et The Burning Moon deux œuvres « brillantes » sur le plan du Gore hardcore mais pour le reste fort ennuyeuses, Schnaas signe ici un film rythmé et jamais à cours de rebondissements bien débiles, dont résulte une sorte d'action movie hyper-Gore, tourné dans une forêt et sur quelques collines avec trois fois rien, nanti de séquences de combat nulissimes, mais toujours dynamique et inventif. Les acteurs - certains d'origine asiatique - ne jouent étonnamment pas trop mal et le scénario, quoique simplet et minimaliste (sur une île, trois beaufs quadragénaires sont les victimes d'une curieuse infanterie militaire qui s'amuse à massacrer les visiteurs) reste efficace; de surcroît, la mise en scène contient quelques plans chiadés ou originaux, qui ne sont pas à jeter. Au rayon bande-son, les éternelles notes de synthé minables n'assurent rien de mémorable, mais l'on a droit à un bon titre techno lors du générique de fin. En conclusion, si ce Violent Shit 3 retient surtout l'attention de par ses excès Gore anthologiques, il demeure des plus agréable à suivre dans sa globalité, grâce à un tempo soutenu et une certaine inventivité. À voir.

7/10






Zombie '90: Extreme Pestilence - Andreas Schnaas (1991)



Zombie '90 se veut la seconde réalisation d'Andreas Schnaas, cinéaste amateur proclamé grand maître du Gore allemand et qui n'a sans aucun doute pas volé son titre. Tourné au tout début des années quatre-vingt-dix au caméscope et sans la moindre once d'argent, ce long-métrage a pourtant bénéficié d'une certaine réputation au sein du cercle très fermé des inconditionnels d'extrême Gore. Clairement référentielle au classique de George A. Romero, Zombie, cette production fait peine à voir en ce qui concerne la qualité technique exécrable de sa mise en scène et l'on se demande ce que peuvent bien faire ces ersatz d'acteurs par ici et par là. L'ensemble se rattrape à l'aide d'une quantité incroyable de séquences exceptionnellement Gore (on dénombre une bonne dizaine de décapitations entre deux coups de tronçonneuse, le tout inondé par des hectolitres d'hémoglobine rouge-orangée et des hectogrammes de tripaille à gogo), malgré des trucages souvent fort grossiers, absence de moyens oblige. En dépit de sa grande médiocrité, Zombie '90 n'ennuie jamais; rythmé, délirant, inventif et drôle - involontairement ou non, la question persiste -, doté d'une tonitruante bande-son au synthétiseur il faut l'avouer assez réussie, ce zombie movie réalisé avec trois allumettes au cœur de la province germanique se regarde avec enthousiasme et part durant son dernier tiers dans un gros freestyle pour le moins couillu. Et si tout cela n'était finalement qu'une parodie bien subtile de Zombie, plutôt qu'un simple film amateur méga-Gore mis en scène par un type qui aurait trop vu l'œuvre de Romero ? Un mystère non résoluble tant que Schnaas n'aura pas réellement avoué ce qui lui est passé par la tête à ce moment-là…

6/10

Mise à part son excès de gore, parfois les effets sont ridicules, j'ai trouvé Zombie '90 extrêmement mauvais sur tout les points. Violent Shit 3 par contre reste beaucoup mieux malgré qu'en dehors du gore extrême il n'y reste pas grand chose à sauvé. Je devrais voir les deux premiers volets prochainement et j'ai bien hâte. L'effet Papillon est génial effectivement, l’un des rares film de cette trempe que je respecte énormément.

Personnellement, je préfère le style de Schnaas à celui d'Ittenbach, car même si c'est encore plus amateur, c'est aussi plus fun à voir (à part pour Premutos qui est tout aussi fun que les films de Schnaas).

L'Effet Papillon, effectivement, un must. Pendant 1h40 tu prends ton pied !

Baptiste Müller a écrit:

Personnellement, je préfère le style de Schnaas à celui d'Ittenbach, car même si c'est encore plus amateur, c'est aussi plus fun à voir (à part pour Premutos qui est tout aussi fun que les films de Schnaas).

L'Effet Papillon, effectivement, un must. Pendant 1h40 tu prends ton pied !

Alors là c'est non, je préfère 100 fois Ittenbach à Schnaas car il est beaucoup plus talentueux dans le genre. L'effet Papillon ce doit d'être vu en Director's Cut par contre, j'espere que c'est la version que tu as vu.

Jerry Springer Too Hot For tV: 5/5
Casino Royale 007 9/10

Casino Royale (pas le spoof) - 3,5/5

Loin d'être mon James Bond favoris.

Paycheck - John Woo (2003)



L'on a de quoi demeurer pantois en repensant que c'est l'auteur de The Killer, Une Balle dans la Tête, À toute Épreuve et Volte Face qui s'avère le seul et unique responsable de cette immondice. Autant John Woo nous avait livré d'aimables nanars hollywoodiens avec Chasse à l'Homme ou Broken Arrow, autant il nous pond là un pathétique clone de Minority Report (avec un peu de Le Fugitif par ci, un peu de Total Recall par là), loin d'égaler une seconde le talent et le savoir-faire de Spielberg, se contentant d'expédier un thriller futuriste de troisième zone à l'image de Ben Affleck et sa piètre performance d'acteur: toujours insipide, jamais crédible. Nanti d'une intrigue on ne peut plus poussive, mal monté, mal interprété et terriblement convenu, ce Paycheck est un désastre à tout point de vue, dont les séquences d'action molles du bide ne rachètent pas même l'effarante médiocrité. Mais le pire réside encore dans le fait que le film se prend sacrément au sérieux, c'est pompeux comme tout et ça se croit un redoutable thriller au scénario bétonné avec des morceaux de bravoure à couper le souffle et des comédiens qui ont la classe. Tu veux rire ! Affleck trimballe son expression de gros benêt très niais à tire-larigot, tandis qu'une Uma Thurman défraîchie se demande ce qu'elle fiche ici. Nos deux héros font peine à voir. Le script se révélant tellement banal et prévisible, le concept cent fois vu, revu et usé jusqu'à la lie, l'on ne parvient pas à éprouvé le moindre intérêt de ce côté-là non plus. Verdict: on bâille et on attend avec un goût amer dans la bouche que cette ode à la fadeur se close. Depuis son remarquable Volte Face, John Woo n'a rien réalisé de bien transcendant, et Paycheck se pointe tel un gros parasite afin d'enfoncer le clou. Triste constat.

2/10

Baptiste Müller a écrit:

Paycheck - John Woo (2003)



L'on a de quoi demeurer pantois en repensant que c'est l'auteur de The Killer, Une Balle dans la Tête, À toute Épreuve et Volte Face qui s'avère le seul et unique responsable de cette immondice. Autant John Woo nous avait livré d'aimables nanars hollywoodiens avec Chasse à l'Homme ou Broken Arrow, autant il nous pond là un pathétique clone de Minority Report (avec un peu de Le Fugitif par ci, un peu de Total Recall par là), loin d'égaler une seconde le talent et le savoir-faire de Spielberg, se contentant d'expédier un thriller futuriste de troisième zone à l'image de Ben Affleck et sa piètre performance d'acteur: toujours insipide, jamais crédible. Nanti d'une intrigue on ne peut plus poussive, mal monté, mal interprété et terriblement convenu, ce Paycheck est un désastre à tout point de vue, dont les séquences d'action molles du bide ne rachètent pas même l'effarante médiocrité. Mais le pire réside encore dans le fait que le film se prend sacrément au sérieux, c'est pompeux comme tout et ça se croit un redoutable thriller au scénario bétonné avec des morceaux de bravoure à couper le souffle et des comédiens qui ont la classe. Tu veux rire ! Affleck trimballe son expression de gros benêt très niais à tire-larigot, tandis qu'une Uma Thurman défraîchie se demande ce qu'elle fiche ici. Nos deux héros font peine à voir. Le script se révélant tellement banal et prévisible, le concept cent fois vu, revu et usé jusqu'à la lie, l'on ne parvient pas à éprouvé le moindre intérêt de ce côté-là non plus. Verdict: on bâille et on attend avec un goût amer dans la bouche que cette ode à la fadeur se close. Depuis son remarquable Volte Face, John Woo n'a rien réalisé de bien transcendant, et Paycheck se pointe tel un gros parasite afin d'enfoncer le clou. Triste constat.

2/10

Je me rappelle d'avoir vu ce film à sa sortie. Un petit divertissement sympa mais vite oublié après le visionnement.

Moi j'ai trouvé ça carrément naze, même pas divertissant, car les séquences d'action sont platement filmées...

Alien de Ridley Scott - 5/5

Aliens de James Cameron - 4,5/5

The 13th Warrior de John McTiernan - 3,5/5


Joyeux Noel de Christian Carion - 4,5/5

Un film vraiment magnifique!! Joyeux Noel est un film que je conseille à tout ceux qui sont fan des films sur la guerre. Nous avons droit à un film portant sur la première Guerre Mondiale et en plus, l'histoire de ce film se base sur des faits réels (Je parle bien entendu d'un moment de paix, la veille de Noel, entre les Allemands, les Français et les Écossais). Un très bon scénario, une excellente réalisation de la part de Christian Carion, des acteurs convaincants et une musique vraiment magnifique.





Dogma de Kevin Smith - 5/5

Mon film préféré de ce cher Kevin Smith (Jay & Silent Bob Strikes Back, Chasing Amy). L'histoire est vraiment original, une très bonne réalisation, des personnages incroyable et des scènes vraiment mémorables.

Moi dans les films de "Jay & silent Bob", il n'y a que Dogma - 2,5/5 que j'ai plus ou moins aimé parmi ceux que j'ai vu...

Slither - James Gunn

Voilà un petit divertissement honnête signé par James Gunn, scénariste du remake de Dawn of the Dead. Gunn qui à également travaillé pour Troma sur quelques films nous laisse un petit clin d'œil à The toxic Avenger. On ressent aussi les nombreuses influences sur plusieurs films donc Shivers, The Deadly Spawn et etc. Je m'attendais à plus gore comme film par contre. Bref rien de nouveaux dans le genre mais c’est tout de même sympa à voir une fois.

7/10

Avec Lilyan Chauvin, Gilmer McCormick, Toni Nero, Eric Freeman, James Newman, Elizabeth Kaitan, Linnea Quigley...

Synopsis : C'est l’histoire terrifiante de Billy Chapman. Traumatisé par le viol et le meurtre de ses parents lors d'un réveillon de Noël, le petit Billy est recueilli dans un orphelinat dirigé par des nonnes sadiques qui vont le brutaliser pendant des années. Devenu adolescent, Billy doit se déguiser en Père Noël pour le réveillon et cela va déclencher chez lui une fureur dévastatrice et sanglante : il croit avoir pour mission de tuer les méchants ! Dans ce même DVD, retrouvez aussi le 2ème film de la saga, où Ricky, le jeune frère de Billy, reprend les bonnes habitudes de la famille.

Quelques photos du 1











Mon avis : film bien sympathique ! On est vraiment triste pour ce pauvre Billy il a vraiment la phobie du Père-Noël et il pète complètement les plombs !!! Ma note : 7/10 ! Prochainement des photos du 2 dès que je l'aurais vu !!! J'ai remarqué hier sur le menu du dvd que ce 2ème volet est en V.O. sous titrée en français (va falloir lire) !!!!

The Gate II: Trespassers - 2/5

SHOCK de Mario Bava (1977) 3.5/5

Prom Night - 3/5
Prom Night III: The Last Kiss - 2,5/5
Prom Night IV: Deliver Us from Evil - 3,5/5

deadly friend 8,5/10