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 Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig)

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Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig)   Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig) - Page 5 EmptyMar 7 Nov - 8:01

Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig) - Page 5 Jigsaw_1

JIGSAW/SAW LEGACY : 6/10



Classification France : Interdit aux moins de 16 ans



10 ans après la mort de John Kramer alias le "tueur au puzzle", de nouveaux meurtres semblant en lien direct avec l'affaire ressurgissent, et laissent croire qu'un successeur , ou que Kramer lui-même, -toujours en vie ou revenu d'entre les morts-  , perpétue la tradition. La police enquête...


En guise de citrouille, la fête d'Halloween aura offert cette année  aux spectateurs un pantin à tricycle...sauf que celui-ci, on ne l'attendait plus !

On peut se demander si la sortie post mortem d'un épisode succédant à un "chapitre final" vieux de 7 ans se justifiait réellement... Au vu de l'épisode en question, nous pouvons clairement répondre "non", puisque la découverte du scénario de ce nouvel opus et sa fonction précise de séquelle n'amène qu'à  confirmer le hiatus et le  gros  paradoxe qui pèse  sur  la (soi-disant) nature de "fin de chapitre" de l'avant-dernier volet.
Cet état de fait reste par ailleurs à la hauteur des aspirations de la saga entière, saga qui, si elle n'est pas exempte de qualités, n'aura cessé de se reposer -d'un point de vue commercial- sur un opportunisme évident.

Pour rappel des (mé-)faits : le 1er SAW était une petite production indépendante, réalisée avec un budget de misère, et initialement vouée au DTV. Fort de quelques projections-tests plus que positives, le film eut finalement les honneurs d'une sortie en salles dans le monde entier. Son succès sans précédent permit d'y consacrer une trilogie devenant de plus en plus glauque au fil des épisodes :  du thriller psychologique maquillé en film d'horreur et qui caractérisait le 1er volet,  on nous proposait dés lors des films gore prenant plus ou moins comme prétexte le thriller psychologique à considérations existentielles initialement lancé. Le processus s'était en quelque sorte inversé,  le sensationnalisme prenant le pas sur le 'cérébral' et la psychologie. Toutefois, ce 1er cycle formait, d'un strict point de vue narratif, un ensemble  cohérent.
La mort de John Kramer dans un 3ème opus assez éprouvant devait amener à la fin de ce cycle, et par-là même, la fin de  la saga.
Pourtant, suite au départ des auteurs-créateurs de la trilogie initiale, il fut décidé par la production de ne pas laisser tomber une si juteuse entreprise (chaque épisode étant un véritable succès), et de poursuivre les expérimentations du "tueur au puzzle" bien au-delà de sa mort...  parfois au détriment de toute cohérence !
Les studios ayant bien compris le fort potentiel des créations diaboliques de John Kramer et l'imagerie et situations délirantes que cela permettait d'engendrer, les épisodes 4 à 7 ne cessèrent de repousser certaines limites dans l'inventivité et le gore jouissif,  complexifiant inutilement un scénario qui à la base n'était pas pensé ainsi, et amenant la tension et la terreur à une forme de paroxysme rarement atteinte à ce jour (via des effets faciles il est vrai). John Kramer était mort ? Qu'à cela ne tienne ! Il lui fut inventé des disciples (sortis d'on ne sait où) dans tous les coins de rues,  perpétuant son oeuvre...Les pièges de Jigsaw autrefois conçus à échelle humaine devenaient de plus en plus élaborés et semblaient largement dépasser la compétence, les capacités et la science d'un seul homme, aussi intelligent fut-il ; parallèlement à cela, la violence devenait de plus en plus sèche, graphique et surréaliste...
Des fils d'intrigue encore jamais vus ni évoqués dans les précédents volets furent mis en place pour la circonstance (le fameux syndrome du "qu'aurait-t-il pu bien se passer pendant ce laps de temps jusqu'alors inexploité ?"), créant parfois de légers contresens d'une histoire à l'autre ou contredisant des situations passées... Chaque épisode dépendait un peu plus du précédent (difficile de comprendre toutes les subtilités du chapitre 4 sans avoir vu le 3...), les personnages gagnaient en antipathie, certains changeant même de caractérisation d'un film à l'autre au nom du renouvellement scénaristique... Des protagonistes présumés "morts" revenaient à la vie...Les coups de théâtre et rebondissements se succédaient sans relâche et jusqu'à plus soif... SAW, était devenu en quelque sorte un "Feux de l'amour" au pays du gore... On était loin de l'esprit indépendant du 1er... Par ce biais, les possibilités  devinrent illimités.
Du grand n'importe quoi !
Pourtant, au milieu de ce chafarnaüm, on pouvait se surprendre à apprécier  l'incroyable logique interne des scénarios de chaque épisode,    fonctionnant certes à l'esbroufe et sur-écrits, mais malins en diable et généralement imprévisibles.  On pouvait se délecter de l'inventivité des décors et des pièges, de l'incroyable enchaînement des péripéties qui structure chaque histoire, ou encore de l'efficacité suscitée par certaines scènes à la terreur et/ou au suspense insoutenables (la séquence d'ouverture et celle de l'identification vocale du chap. 6 ; la fosse à seringues du 2ème..) . Difficile également de rester insensible à l'ambiance très particulière de ces films, dont la nature brute renvoyait sur bien des points cinéma des années 70s, le gore en plus. Difficile enfin -même en méprisant la saga pour ce qu'elle est- de ne pas saluer la prise de risque, adoptant ici des allures d'objet filmique outré et hardcore, dans un cinéma actuel très cloisonné et formaté.
Toutefois, les critiques  faites à l'égard de la saga furent sans appel : taxés de "torture porn" par certains, les films (en dehors du 1er) -paradoxalement  à leurs succès- seront descendus en flèche, considérés comme des sous-produits, honnis par la presse, et génèreront même de l'embarras de la part des salles de cinéma qui en auront un peu...honte.
Tout cela semble toutefois relever d'un procès d'intention un peu injuste, puisque les épisodes de la saga ont toujours bénéficié d'un scénario suffisamment construit et -aussi vaseux soit-il- d'un propos ; ainsi, dans ces films,  on pourra remarquer que les décisions du tueur au puzzle  sont toujours motivées par un genre de justification morale et une réflexion, et, de fait, auraient presque une portée philosophique : la mort pour apprendre la vraie valeur de la vie et faire ressortir le meilleur de soi-même... Argument certes tiré par les cheveux, surtout dans un tel contexte, mais qui permettra de soulever des dilemmes et des thématiques intéressants, amenant même -comme dans un 6ème opus pointant du doigt le côté véreux des assureurs sur la vie- des critiques sociétales bien senties et, plus généralement, des attaques sur les institutions du monde moderne et les maux qui le traverse. Nous sommes donc loin d'une franchise aussi inepte et gratuite que GUINEA PIG... Mais, n'est-ce pas aussi cela  que les critiques n'auront pu pardonné à la saga : avoir osé faire du "laid" avec du "beau", et, bien sûr, d'avoir légitimé cette violence au nom du sacro-saint code moral..
Paradoxe quand tu nous tiens...

Alors...qu'en est-il de ce Saw 8, ou plutôt de ce JIGSAW tardif, et qu'apport-il au reste de la franchise ?
Au final, peu de choses... Il adopte la même structure narrative "en parallèle" héritée des autres épisodes (jeux sadiques vs enquête policière), un premier degré effarant (pas une once d'humour ou presque), et son lot de mystères que les spectateurs se doivent de résoudre en même temps que l'enquête avance.
L'histoire commence quand la police arrête un criminel qui menace de "lancer le jeu" au moment où il s'apprête à appuyer sur le bouton d'un genre de télécommande. La police parvient à le neutraliser sans toutefois avoir pu l'empêcher d'actionner l'appareil.

Dans cet épisode, il s'agit -comme les précédents- de découvrir qui est à l'origine des meurtres,  des jeux et, plus encore, si John Kramer lui-même est toujours aux commandes (est-il réellement mort contrairement à ce que laissent présager certains éléments? , telle la grande question) mais aussi de quoi les potentielles "victimes" jetées dans l'arène sont coupables aux yeux de leur geôlier. Ce dernier point apporte un intérêt supplémentaire à l'intrigue car l'embargo autour de l'identité des prisonniers ne fut pas toujours de mise dans les derniers épisodes, où nous connaissions d'entrée de jeu leur part sombre et les raisons qui amenaient Kramer (ou ses disciples) à les "purifier". En ce sens, l'épisode se rapproche davantage des tous premiers volets.
A la question "le résultat est-il à la hauteur de cette longue attente ?", nous serons simplement tentés de répondre qu'aprés 7 épisodes ayant exploré toutes les possibilités et facettes d'un pitch devenu pour le moins racoleur , il était quasiment impossible de faire preuve de réelle nouveauté. Peter et Michael Spierig ont ainsi  bien compris que chercher à surpasser certains épisodes en terme d'originalité (si tant est que l'on puisse parler d'originalité pour ce genre de films) et de sensationnalisme (quelques opus avaient dépassé certaines limites) serait automatiquement voué à l'échec ou paraitrait grotesque auprés des amateurs. De ce fait, cet épisode prend clairement des allures de redite (ce qui pourra en décevoir certains), mais ici  pour la bonne cause !
Les réalisateurs ont en effet préféré opter pour une approche sobre sans chercher à se mesurer aux précédents, rendant ici principalement hommage à la saga, que ce soit dans le ton ou dans l'ambiance. Et, de ce point de vue, c'est assez réussi : JIGSAW reprend l'esprit des précédents volets; cherchant un compromis entre le suspense du 1er (l'épisode est un peu moins sanglant que les dernières histoires, les pièges moins tape-à-l'oeil -à l'exception d'un- et par conséquent plus plausibles) tout en gardant une certaine grandiloquence propre à la série... L'intérêt et la prouesse résident donc surtout ici dans le fait d'avoir su garder ce côté premier degré caractéristique de la saga et de ne pas l'avoir dénaturée, alors qu'il eut été si facile d'en faire un produit horrifique mainstream parsemé d'humour (comme le laissait craindre une scène de la bande-annonce) bien dans l'air du temps. Il n'en est rien, et JIGSAW, fidèle à la tradition, reste dans cette droite lignée, jamais -ou presque- dédramatisé par des scènes ou des situations décalées incongrues. Le politiquement correct n'aura donc pas eu raison de l'enrobage. Ceux qui chercheront le "toujours plus" en seront toutefois  forcément un peu pour leurs frais.
Là où par contre l'opus s'écarte un peu des précédents, c'est dans la forme ; JIGSAW adopte en effet pour la première fois, un emballage plus "acceptable"  qu'à l'accoutumée : un format cinémascope, une photographie assez soignée  et une caméra plus posée... Fini les effets épileptiques "mal de crâne" lors des moments-clé, la caméra portée, la colo terne et l'image (volontairement) granuleuse.  Ce parti-pris (loin du bête effet "cache-misère") appréciable  de satisfaire les réfractaires aux gimmicks les plus décriés de la franchise (mais qui étaient pourtant sa marque de fabrique), ou de donner un aspect un peu plus "classe" et cinématographique  à une série jugée  raccoleuse, reste des plus louables, même si -pourra-t-on dire- cette "propreté" dans un univers aussi 'crasse' pourra un peu déservir l'ambiance et le propos.  Reste que l'univers craspec et malsain qui a fait le sel de la série est préservé, et que la tension est assez bien maintenue malgré les moyens minimalistes mis à disposition (seulement 2 pièces auront pour cadre les jeux de John Kramer, mais qui seront parfaitement mis en avant grace à des prises de vues et une photographie superbement gérées).
Quant au scénario, c' est assurément le point fort de cet opus : poussif mais bien construit, et disposant d'un twist qui laissera beaucoup de monde pantois (même si reprenant l'idée d'au moins un épisode), il reste fidèle à une certaine ambition propre à la série de nous propooser des histoires sans doutes over the top mais qui surprennent toujours dans leur construction, leurs coups de théatre et leur imprévisibilité .Notons par ailleurs que  JIGSAW fonctionne assez bien indépendamment du reste de la série ; il faut dire que 7 années ont passé, que beaucoup de gens en avaient un peu oublié les tenants et les aboutissants,   et qu' il était par conséquent important que le public ne se sente pas perdu. Ici, la majorité des personnages sont " de nouvelles têtes", il y a peu de références aux anciens chapitres (ce que regretteront certains fans mais nous évite des scénarios à tiroits à ne plus en finir), et l'histoire pourrait pressque se suffir à elle-même, ne serait-ce le background de  John Kramer qu'il est trés important de connaître.
L'interprétation reste globalement satisfaisante, et, si certains des  acteurs principaux auraient tendance à en faire trop ou pas assez (Matt Passmore est dans un sous-jeu régulier et manque de prestance, tandis que Paul Braunstein, un des malheureux joueurs, grande gueule de l'équipe, est parfois dans la caricature...) d'autres en revanche sont excellents ; une mention  pour la ravissante Laura Vandervoort (Supergirl, V...)  campant une des prisonnières cachant un lourd secret, et, du côté des personnes en charge de l'enquête, de Callum Keith Rennie, qui interprète le détective Halloran, un personnage arrogant, assez ambivalent et difficile à cerner, et que parvient bien à transcrire le comédien dont le physique se prète à merveille. Enfin, Hannah Emily Anderson dans le rôle d'une singulière médecin-légiste reste l'un des atouts du film, d'autant que le traitement de son personnage est étonnant.... Toutefois, aucun d'eux  ne parvient à faire oublier les Betsy Russel,  Costas Mandylor, Scott Patterson et autres Shawnee Smith qui, s'ils n'étaient pas forcément les meilleurs acteurs du monde, avaient des gueules et une présence qui imprimaient durablement les rétines. Cela est rattrapé ici par une caractérisation tout à fait intéressante des personnages qui, pour la plupart, sont loin de ce qu'ils semblent être au premier abord, que ce soit dans les faits ou les réactions, et c'est peu dire...
Spoiler:
Jamais les apparences n'auront donc été aussi trompeuses. Une ambiguïté fort bienvenue et qui rajoute indéniablement du piment à l'histoire...


Au final, si JIGSAW ne s'avère pas être le meilleur épisode de la série et souffre d'un parfum de "déjà-vu", il reste une proposition intéressante et un film en tout point respectueux de la saga, loin des "suites de trop" qui pullulent tant au cinéma ; c'est d'autant plus remarquable qu'il partait avec 2 handicaps de taille : un retour tardif (7 ans) et succéder à un épisode défini comme "épisode de cloture". Il se permet même le luxe d'une réalisation plus chiadée qu'à l'accoutumée, et qui cherche visiblement à tirer vers le haut une franchise extrêmement décriée. Un côté ambitieux fort bienvenu, soutenu par une enquète particulièrement bien mise en avant, rappelant que les SAW, ce sont aussi des histoires. Toutefois, il ne fera pas changer d'avis la plupart des gens : ceux qui pensent ce genre de cinéma indéfendable resteront surt leur position, tandis que les autres apprécieront de se retrouver en terrain connu, avec un scénario malin et un twist une fois de plus trés intelligent, même si les amateurs pourront regretter un certain frein sur le plan gore, qu'apprécieront en revanche ceux qui pensent que la franchise était depuis quelques épisodes tombée dans une certaine complaisance et une certaine routine.
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Bob Boyle
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MessageSujet: Re: Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig)   Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig) - Page 5 EmptyMar 7 Nov - 19:45

Sylvain Démenti (alias Puppet Master) s'est joint à nous pour un épisode consacré à Jigsaw.

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MessageSujet: Re: Saw Legacy (2017, Michael & Peter Spierig)   Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig) - Page 5 EmptyMar 7 Nov - 20:23

Bob Boyle a écrit:
Sylvain Démenti (alias Puppet Master) s'est joint à nous pour un épisode consacré à Jigsaw.

Si vous êtes nostalgiques d'Horreur-Web, c'est un must!


Tiens, j'écouterai ça après avoir vu le film, ce sera mon baptême avec votre podcast!

Pour avoir tout récemment découvert le podcast d'Horreur Gamer, ce serait peut-être cool de proposer un épisode spécial pour Noël et de convier le très sympathique Jean-François Tremblay et le très drôle Sébastien Bouchard pour l'occasion.
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TheMaskedShape
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MessageSujet: Re: Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig)   Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig) - Page 5 EmptyVen 31 Mai - 16:46

Je lui donnerai peut-être sa chance a ce Jigsaw...
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MessageSujet: Re: Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig)   Jigsaw (2017, Michael Spierig & Peter Spierig) - Page 5 Empty

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