Sleepaway Camp (1983,Robert Hiltzik)
J'ai rarement vu un film aussi niais. L'intégralité de Sleepaway Camp fait penser aux fausses bande annonces de transition du film Grindhouse. Entre les gars bodybuilder avec la couille qui pend du short, les petites teens en maillot de bain qui ont la réplique aussi facile que cruel, tout cela planté dans les décors du film Français Les Bronzés! La fameuse Angela et son regard fixe gave a chaque instant, on dirait Timon dans Le Roi Lion... En gros ce film est un cliché de torture psychologique, par une bande de pétasse avec en bonus une belle brochette de surveillants incompétents et de cuisinier pédophile... (pour le chef du camp, c'est homo ou pédo? Surement le plus grand mystère du film!)Les trois quarts des mises a morts sont aussi violente qu'un épisode d'Hercule Poirot. Le twist final "humoristique" a bien fonctionné vu que je me suis bien marré, rien de bien innovant, Wes Craven nous avait déjà fait le coup en moins grossier deux années plus tôt... Bref la note sera symbolique vu que je l'ai attendu 20 ans.
1/5