Ta robe, elle est tellement…COSMIQUE !!! Un des dialogues du film
Lors du 30 juillet de 2016, je vis apparaitre parmi mes abonnements YouTube deux hommes dans la trentaine qui sont dans une bagnole. Dans le stationnement du cinéma, le matin, en train de parler d’un film de Barbie qui a été projetée dans leur cinéma local. Lors du 11 septembre de 2016, au lieu de penser à l’attaque par des extrémistes islamiques toute la journée. J’ai été au club-vidéo du coin et j’ai vu le boitier Blu-ray de ce film parmi l’étagère peuplée de bien d’autres nouveautés. Curieux de voir ce que deux mecs ont parlés si longtemps dans leur vidéo. Je louai l’exemplaire de ce film. Avec une caissière qui me regardait tel un dérangé sexuel…
Dans le futur, sur la planète à la jungle mondiale aux milles et unes espèces. Barbie, une jeune fille de 15-16 ans, vit avec son père. Un parent qui fait juste deux pieds de plus et qui a l’air d’être un finissant d’université jouant au football (ce qui fait tellement wierd). Il est un scientifique et ainsi qu’un observateur de la flore. Alors que sa fille fait du skateboard flottant dans la jungle, à 5000 mètres du sol parmi les grands arbres. Au début, Barbie manque de mourir. Puisque son skate fait des misères et qui se fait vieux. Il tombe en panne et se retrouve parmi les branches de l’arbre à côté du sien (avec un écart de plusiuers kilomètres de profondeurs, n’oubliez pas). Ainsi, Barbie chante un aaaaaaaah AAAAA HA LALALA LAAAAAAAAAAAAA !!! Et avec le pouvoir de la Force, elle récupère son skate et retourne à la maison retrouver ses amis les animaux extraterrestres !
Lors de cette soirée, son père dit qu’elle fut choisie parmi bien d’autres par le Roi Intergalactique pour accomplir une prophétie sur le fait que les étoiles vont d’éteindre et les ténèbres reviendront (l'intro à la God of Egypt du film n’est pas clair). Donc, au lieu d’envoyer ses meilleures escouades d’élites parmi ses forces militaires. Le roi prend des jeunes filles et ainsi qu’un PRINCE pour les former dans le deuxième acte du film. Celui que j’ai le plaisir d’appeler : Full Metal Jacket dans le futur et pour petites filles !!! Toutes préparés, la nouvelle équipe de sauvetage universel part dans les confins de l’espace. Là ou Mass Effect a pris le dessus sur le côté artistique visuel et narratif (sans le sexe avec d’autres personnages).
Barbie Starlight Adventures est un volet parmi une longue lignée de films qui a atteint un point d’exhausse que bien d’autres saga ont aboutis : L’espace ! Pensez-y, les Hellraisers, les Vendredi 13, les Machetes, les ÈRES DE GLACES !!! Maintenant, c’est au tour de la blondinette iconique d’y passer. De toutes les séries que j’ai vue, celui-ci est le PIRE. Vous voulez savoir le pourquoi ? Bah ils ont pris Avatar, Mass Effect, Frozen et ainsi qu’un scénariste sans talent tout droit sorti de l’école pour écrire un script aussi vide que le néant interstellaire de la nuit. S’assoir devant Barbie Starlight Adventures est pareil à aller au Toys R Us. Rentrer dans le rayon des poupées pour fille et rester là pendant une ÉTERNELLE heure. Ouais, ce film ne dure que 80 minutes mais croyez-moi. Vous ferez mieux d’aller au magasin de jouets pour y imaginer VOTRE film. J’étais tellement ennuyé lors du visionnement que je pensais comment Barbie réagira à bord du Nostromo dans Alien.
Je dois donner un point positif envers les animateurs, c’est le visuel de l’univers. Lorsqu’on la regarde, c’est le cosmos. Pas l’espace comme la voit lors des nuits étoilées sur notre monde. Dans ce film, les événements sont plongés dans la profondeur infinie de l’existence. Avec d’autres mondes lointains parmi les paysages interstellaires. J’dois l’avouer, je préfère cet univers aux nébuleuses colorées et vivantes qu’au sombre et ténébreux univers d’Interstellaire de Nolan. Encore là, ils sont réussis cet exploit avec un budget très TRÈS restreint. Qui fait ressentir un côté « faux » et « non-vivant » aux personnages mis en animation 3D. Rendant le tout indirectement épeurant, surtout quand on les regarde dans les yeux.
Barbie vient de prendre une tournure à 180 degrés avec ce film. Je sais qu’il y a eu d’autres avec Espionnes et ainsi qu’avec Noel. Mais là, Barbie à franchie la frontière finale avec Starlight Adventures. Un film à l’écriture vide, à l’animation vide et aux artistes vides de motivations. C’est triste à dire, mais pour redonner feu à la gloire de cette jeune blondinette. Je pense qu’elle serrait malheureusement prêtre à devenir une princesse de l’Ancien Monde pour y rejoindre son futur prince Caligula…