Quel est le dernier film que vous avez vu?

L'été de Kikujiro - Takeshi Kitano (1999)

Je ne dirai qu'un mot: magnifique.

5/5

Superman's return 3/5

Moi aussi je veux jouer!

JENIFER -- Dario Argento

Je ne dirai qu'un mot (en fait trois): Critique à venir!

LORD OF WAR 5/5

Film engagé...

Générique d'ouverture majestueux

Lord of War est également pour ma part un pur chef-d'oeuvre. Je lui mets 5/5 sans hésiter.

Anatomie - 4/5

Anatomie est vraiment flippant. Tu ne regardes pas ce film, avant d'aller voir le médecin. Je suis parfaitement d'accord avec la critique de Mr. Horreur-Web. C'est un très bon film!

Je suis bien content que tu ais apprécié ANATOMIE. J'adore ce film, c'est un de mes coups de coeur! Dommage que je ne puisse en dire autant pour sa suite!

Jeepers Creepers, le Chant du Diable - Victor Salva (2001)



Une belle surprise ! Un film d’horreur de la nouvelle génération globalement inégal, mais qui émerge de la moyenne du genre et demeure plutôt enthousiasmant. La première demi-heure est un authentique concentré de bonheur: une introduction sous forme de road-movie à l’apparence classique avec deux jeunes acteurs excellents et des dialogues vraiment sympathiques, un premier coup de théâtre qui met d'emblée les nerfs à vif, puis une découverte inquiétante, le tout formant ce que l'on peut qualifier de nec le plus ultra de l'épouvante, comme on l'a tant aimée dans les années 70, 80 et même début 90. Les secondes trente minutes sont déjà moins bonnes: l'on tourne progressivement au thriller fantastique plus conventionnel, avant que le monstre du film ne révèle son allure, une sorte de croisement du pauvre entre Freddy Krueger et le Djinn de Wishmaster. À ce stade-là, Jeepers Creepers, s'il ne surprend plus réellement, reste à la fois haletant, angoissant et bien mené. Puis arrive la dernière demi-heure, qui elle déçoit: quelques temps morts, suivis d'une longue chasse au monstre dans un commissariat peu captivante, malgré un final pessimiste et relativement dérangeant qui laisse par ailleurs dominer le mystère. Irrégulier, le film l'est assurément, d'autant plus qu'il se déprécie au fil du récit. Mais il aura suffit d'un premier tiers absolument génial, magnifique, prompt à raviver la flamme d'excitation des premiers temps concernant l'amateur même le plus blasé, pour qu'il ait l'honneur de se hisser dans la - rare - catégorie des meilleures productions horrifiques de ces dernières années. À voir sans hésiter.

3.5/5

Au cinéma où j'étais il n'y avait pas Th Descent, Snakes on a Plane jouait trop tard car je travaillais le lendemain matin et je ne voulais pas encourager Hollywood en allant voir le remake de Pulse. Je me suis donc résolu à aller voir Bon Cop, Bad Cop.

J'ai été plutôt surpris. Je m'attendais à une comédie de situation démontrant les différences culturelles et sociales entre Canadiens francophones et anglophones. C'est ce que j'ai eu mais ce n'est pas tout ! En dehors de cela, il y a une intrigue qui ressemble énormément à Se7en. De plus, certains plans, décors et éclarages m'ont vraiment fait penser à Se7en. Si vous aimez aimé ce dernier, courrez voir Bon Cop, Bad Cop. C'est autant un film d'horreur que le chef d'oeuvre de David Fincher.

4,5/5

Pirates of the Caribbean : The Curse of Black Pearl - 5/5

Ce film est vraiment un chef-d'oeuvre. Un très bon réalisateur en ce Gore Verbinski, qui nous a offert The Ring (remake qui est excellent), The Mexican (critique plutôt mitigé) et Pirates of the Caribbean : Dead Man's Chest (un autre chef-d'oeuvre). Un scénario qui est vraiment intéressant du duo Ted Elliott et Terry Rossio. Les quatre acteurs principaux, Orlando Bloom (Kingdom of Heaven, The Lord of the Rings, Troy), Keira Knightley (Domino, King Arthur), Geoffrey Rush (House on Haunted Hill, Mystery Men) et le talentueux Johnny Depp (Sleepy Hollow, The Ninth Gate, Edward Scissorhands) sont vraiment formidable, dans ce film. La musique de Pirates of the Caribbean est vraiment excellente. Les effets spéciaux sont vraiment très bien fait, la transformation des pirates en squelettes. Ce film de pirates, mélangeant aventure et comédie est un chef-d'oeuvre sur toute la ligne. Pirates of the Caribbean va devenir la magnifique trilogie de Gore Verbinski, tout comme Peter Jackson avec The Lord of the Rings.

Pirates des caraibes 2
3/5

Je l'ai trouvé moins prenant que le 1er

Baptiste Müller a écrit:

Jeepers Creepers, le Chant du Diable - Victor Salva (2001)



Une belle surprise ! Un film d’horreur de la nouvelle génération globalement inégal, mais qui émerge de la moyenne du genre et demeure plutôt enthousiasmant. La première demi-heure est un authentique concentré de bonheur: une introduction sous forme de road-movie à l’apparence classique avec deux jeunes acteurs excellents et des dialogues vraiment sympathiques, un premier coup de théâtre qui met d'emblée les nerfs à vif, puis une découverte inquiétante, le tout formant ce que l'on peut qualifier de nec le plus ultra de l'épouvante, comme on l'a tant aimée dans les années 70, 80 et même début 90. Les secondes trente minutes sont déjà moins bonnes: l'on tourne progressivement au thriller fantastique plus conventionnel, avant que le monstre du film ne révèle son allure, une sorte de croisement du pauvre entre Freddy Krueger et le Djinn de Wishmaster. À ce stade-là, Jeepers Creepers, s'il ne surprend plus réellement, reste à la fois haletant, angoissant et bien mené. Puis arrive la dernière demi-heure, qui elle déçoit: quelques temps morts, suivis d'une longue chasse au monstre dans un commissariat peu captivante, malgré un final pessimiste et relativement dérangeant qui laisse par ailleurs dominer le mystère. Irrégulier, le film l'est assurément, d'autant plus qu'il se déprécie au fil du récit. Mais il aura suffit d'un premier tiers absolument génial, magnifique, prompt à raviver la flamme d'excitation des premiers temps concernant l'amateur même le plus blasé, pour qu'il ait l'honneur de se hisser dans la - rare - catégorie des meilleures productions horrifiques de ces dernières années. À voir sans hésiter.

3.5/5

c'est vrai que se film est vraiment bon. moi aussi je l'adore

Dawn of the Dead (theatrical cut - U.S. version) - George A. Romero (1978)



Connu en Europe sous le titre de Zombie, avec un montage différent réalisé par Dario Argento, ce grand classique de l'horreur Gore a pourtant toujours fait vibrer les amateurs outre-atlantique grâce à cette version-là, qui n'est finalement en gros qu'une extension de séquences raccourcies dans Zombie pour des raisons d'efficacité narrative. En effet, force est d'avouer qu'Argento possède en l’occurrence un meilleur sens du rythme que Romero, et le « montage théâtral » de Dawn of the Dead accuse un gros essoufflement dans son récit une fois les quatre protagonistes installés dans le supermarché. Trop de temps morts, trop de plages vides ou bavardes, et pour un traitement psychologique des héros plus poussé, on repassera. Et le plus grave: la mythique bande-son des Goblins est ici utilisée avec une scandaleuse parcimonie, des musiques additionnelles nettement plus faibles prennent fort souvent le dessus, le comble étant atteint lorsque Romero opte pour de petites mélodies joyeuses durant des instants pour le moins graves et pessimistes. Reste en contrepartie certains points forts absents dans Zombie: quelques plans Gore inédits, dont une belle scène où un zombie se fait scalper par l'hélice d'un hélicoptère, ainsi qu'un meilleur montage lors de l’arrivée des pillards à moto dans le magasin (un ou deux superbes travellings latéraux). Mais cela n'empêche guère la balance de peser beaucoup plus lourd du côté de la version européenne du film, qui demeure avec confirmation un enchaînement parfait de scènes-chocs, d'action réaliste et d'intermèdes plus intimistes d'une longueur pondérée, sous un légendaire score signé Goblins.

3.5/5

Moi je préfère cette version à celle de Argento. Romero trouve d'ailleur que c'est la version qui est la plus représentative de sa vision du film.

Ma foi, chacun son truc, perso, j'ai de loin préféré Zombie car il ne s'embarrasse pas de longueurs contrairement au theatrical cut qui par ailleurs souffre du manque de présence de la BO de Goblin. Reste que la version approuvée par Romero doit contenir encore plus de scènes Gore, elles y sont peut-être toutes d'ailleurs, non ?

Ferdinand a écrit:

Summer of fear (1978) de Wes Craven - 6 sur 20. Je ne dirais qu'un mot : caca.

Merde ou bouse ne serait pas un mot plus civiliser ?

Américan psycho : Tout comme monsieur horreur-web je m'atendais à plus choquant . Mais aussi à plus de suspense . 6\10

BloodSplash a écrit:

Moi je préfère cette version à celle de Argento. Romero trouve d'ailleur que c'est la version qui est la plus représentative de sa vision du film.

Je suis entièrement d'accord avec toi!

Où peut-on avoir le montage de romero car en europe c'est seulement celle de Argento...
Et d'après des professionnels du genre la version Argento est bien meilleure

Qui croire ?

Bah les professionnels du genre !

Je viens de revoir Robocop, qui mérite son 14 sur 20. Verhoeven a l'imagination d'un gamin de huit ans : je ne dis pas qu'elle est mauvaise, juste emplie de clichés et atrocement stéréotypée. Mais avec ce film, ça passe plutôt bien, d'autant que ce n'est pas trop mal réalisé.

Dans la foulée, j'ai également regardé Mutations (Slugs), un film de 1987 signé Juan Piquer Simon. Et lui aussi mérite largement 14 sur 20 : ça commence comme un monstrueux navet, mais à mesure que le film progresse on voit combien c'est surtout une savoureuse parodie de série B, avec des dialogues pas possibles et de faux effets gore hilarants. C'est pas Evil Dead II non plus, mais ça reste une vraie réussite dans le genre !

Collateral - Michael Mann (2004)



Depuis son sensationnel Heat, Michael Mann ne cesse de mettre knock-out à chaque nouveau film. Ce Collateral ne déroge en aucun cas à la règle. Passionnant road-movie policier urbain et nocturne, reposant sur les robustes épaules de Tom Cruise, tueur à la fois impitoyable, élégant et énigmatique, et de Jamie Foxx, épatant dans la peau de ce chauffeur de taxi sain d'esprit mais totalement dépassé par les événements qui se produisent ce soir-là, ce maudit soir où il aurait mieux fait de ne pas prendre Cruise comme client, la descente aux enfers orchestrée par un cinéaste dont l'étoile est aujourd'hui sans doute celle qui brille définitivement le plus dans le paysage hollywoodien nous plonge au cœur d'un L. A. by night où seuls la police, les malfrats, les jazzmen et hélas pour eux les taxi drivers ne dorment pas. Mann opte pour l'utilisation du format numérique afin d'imbiber la mise en scène d'un aspect live dans le but de permettre au spectateur de s'immerger pleinement à l'intérieur du récit, si ce n'est de le vivre simplement à la vision du film, profitant également des possibilités techniques plus évoluées de ce support en signant des plans panoramiques et des scènes de foule à la profondeur de champ époustouflante. Pourtant, c'est paradoxalement à ce niveau-là que le bât blesse parfois: l'emploi de la DV donne lieu à certaines images où l'on remarque un peu trop le fait qu'elles n'ont guère bénéficié d'un désentrelacement en post-production. Un défaut finalement assez mineur en regard d'une œuvre aussi qualitative que Collateral, dans laquelle le suspense, les séquences d'action et les coups de théâtre à forte densité émotionnelle se succèdent magistralement, jusqu'à une fin qui nous donne un goût amer dans la bouche, rappelant Heat au plus profond des choses. Grand film d'ambiance avant tout, Collateral nous scotche dès le départ pour nous amener à une conclusion d'une froideur calculée, où l'on se dit que des blockbusters tels que celui-ci, en voir plus souvent ne serait pas pour nuire à notre passion du cinéma.

4/5

Le dernier film que j'ai vu.
"I'll always know what you did last summer"
Le film est prévisible du début a la fin et ce
n'est pas accrocheur du tout comme histoire
qui sent le réchauffé a plein nez!
UN TRES BON......SOMNIFERE!!!

Moi j'ai écouté I know what you did last summer...j'aurais préféré prendre ce 2h perdu en sommeil.

Et certains osent le considérer comme un chef-d'oeuvre:

zombie a écrit:

I know what you did last summer et final destination..........deux chef d'oeuvres (...)