Quel est le dernier film que vous avez vu?

le pacte du silence jusqu'à la mort

0/5

c'est désidément le film le plus plate que moi j'ai regardé cette année. je ne les pas vue a 100% car j'ai passé 2 chapitre et en plus il m'endormait. j'avais juste hate qu'il finisse pour me coucher. je ne le déconseille pas car c'est chacun nos gout et peut-etre que quelqu'un va l'aimé mais moi je l'ai trouvé plate jusqu'a la mort( )

zombie a écrit:

le pacte du silence jusqu'à la mort

0/5

c'est désidément le film le plus plate que moi j'ai regardé cette année. je ne les pas vue a 100% car j'ai passé 2 chapitre et en plus il m'endormait. j'avais juste hate qu'il finisse pour me coucher. je ne le déconseille pas car c'est chacun nos gout et peut-etre que quelqu'un va l'aimé mais moi je l'ai trouvé plate jusqu'a la mort( )

Quelle bonne blague!

Derniers films vus :

Les Fabuleuses aventures du légendaire Baron de Munchausen (1977) de Jean Image. - 14 sur 20. Un dessin animé bien sympathique, peut-être un peu daté au niveau de sa méthode d'animation, mais gentillet comme tout, pas con, et avec des chansons bien fichues signées Michel Legrand.

Clockwise (1986) de Christopher Morahan - 14 sur 20 aussi. Une comédie speed, limite un road-movie à la sauce british, qui fonctionne surtout grace à John Cleese.

Dernier film (re)vu : Solyen Green, en français Soleil Vert (1973) de Richard Fleischer - 17 sur 20. Ce n'est pas tant par sa réalisation (convenable, mais sans plus) que ce film est un chef-d'oeuvre, mais par son propos. En nous proposant la vision d'un monde atrocement pollué, où les arbres et les animaux ont disparu (ainsi que les livres), et dans lequel la pauvreté atteint des proportions atroces, Soleil Vert apparaît comme l'un des films d'anticipation les plus noirs et les plus pessimistes de toute l'histoire du cinéma. Brazil de Gilliam contenait encore quelques touches d'humour (noir, certes...), Solyent Green pose son propos d'une manière implacable. Et la monstruosité de cette société atteint des sommets, ainsi qu'on le comprend à la fin du film, que je ne vous raconterai pas !

The Happiness of the Katakuris - Takashi Miike (2001)



Miike est responsable de véritables perles (la trilogie Dead or Alive, Audition, Bird People in China, The Great Yokai War) comme de films nettement plus indigents et anecdotiques (Zebraman, La Mort en Ligne), malgré les bonnes intentions perpétuelles qui en émergent. The Happiness of the Katakuris se classe plutôt dans la seconde catégorie et en dépit du grand enthousiasme de son auteur, l'on reste déçu, sur sa faim, avec une impression un peu morose de peut mieux faire. Le gros problème de ce film vient de son rythme et sa narration: entre les instants mouvementés, l'on doit se coltiner une espèce de remake à la japonaise de L'Auberge Rouge de Claude Autant-Lara, avec sa pauvre petite famille tombée dans le pétrin en raison des décès de leur clientèle se multipliant au sein même de l'établissement qu'elle dirige. Miike se montre en l'occurrence franchement laborieux et ne fait qu'accumuler les plans fixes et plages de silence trop longs, les petites velléités d'humour noir qui ne fonctionnent guère, d'autant plus que les comédiens jouent platement leurs rôles, sans grande conviction. Heureusement, l'ensemble se rattrape sur des numéros musicaux et des scènes d'animation en pâte à modeler absolument géniaux, magiques et colorés, qui nous rassurent et démontrent que The Happiness of the Katakuris vaut tout de même le détour, malgré ses grandes faiblesses. Il n'en demeure pas moins dommage que Miike n'ait su boucher convenablement les trous de son métrage, obturer d'une meilleure façon les temps morts éparpillés autour de ces sublimes instants de comédie musicale et de Wallace & Gromit like. Tout comme dans Zebraman, l'on en vient à regretter le potentiel quelque peu gâté d'un tel film, aussi pétri de bonnes idées et de bons moments, ce qui forcément nous abandonne sur un sentiment de frustration.

3/5






Lost Highway - David Lynch (1997)



Psychotique, surréaliste, baroque et esthétisant, Lost Highway est l'œuvre d'un malade. David Lynch noie le spectateur dans les abysses d'un univers noir et onirique, au risque de le laisser sur le carreau. Les vingt premières minutes ont l'allure d'un thriller horrifique à la terreur déstabilisante, puis subitement, après un premier meurtre, le cinéaste s'amuse à sauter du coq à l'âne en chamboulant l'histoire, les personnages et le lieu de l'action, mais l'on constatera lors d'une folle issue qu'à l'arrivée, les deux intrigues s'imbriquent l'une et l'autre. C'est Lynch et lui seul. Avec sa magnifique réalisation (limpide, précise et subtile), son atmosphère incroyablement envoûtante, sa fascinante galerie de caractères torturés, manipulateurs, singuliers, schizophrènes ou détraqués, sans omettre la bande-son crépusculaire qui rythme son récit déconstruit, Lost Highway est un film labyrinthique dans lequel il faut se laisser piéger, car si l'on s'obstine à y voir de plus près, notre excitation risque d'en pâtir.

4.5/5






Nos Funérailles - Abel Ferrara (1996)



Ferrara réalise son Parrain à lui. Mais loin du gros film de gangsters sicilien où l'artillerie lourde se mêle à la surdramatisation, c'est, avec Nos Funérailles, à une formidable tragédie psychologico-mortuaire sur les liens familiaux, le deuil, le souvenir et la soif de vengeance que l'on a affaire. Une galerie de comédiens transités par la grâce (Christopher Walken dans son plus grand rôle, le regretté Chris Penn magnifique dans la peau de ce personnage au sang bouillonnant, Vincent Gallo, Annabella Sciorra, Isabella Rossellini et Benicio Del Toro), des dialogues passionnants, justes et guère sentencieux, une mise en images sobre et élégante, un récit dense qui s'achève par une sanglante conclusion, pour un chef-d'œuvre définitif dont les rides du temps n'abîmeront au grand jamais l'étoffe.

5/5






Miami Vice (Deux Flics à Miami) - Michael Mann (2006)



Ce n'est pas le Michael Mann de Heat et Révélations qui signe cette laborieuse adaptation cinématographique d'une fameuse série kitsch des années quatre-vingt. Miami Vice version 2006 a certes le mérite de ne pas faire dans le chic & toc caractéristique du feuilleton d'antan, mais n'en demeure pas moins très irrégulier. D'un côté, on retrouve la virtuosité technique de Mann dans certaines prises de vues d'une profondeur de champ à couper le souffle, où le format numérique nous bluffe. De l'autre, nombreux sont les plans qui se la jouent DV dégueulasse et cadrages branlants à vous donner la migraine… et la mauvaise impression qu'un manche amateur a par moments pris la place de notre cher Michael Mann. De plus, concernant le scénario, l'on se contente d'une histoire d'infiltration certes solide mais d'une grande banalité. Pourtant, malgré les lourds défauts dont il souffre, Miami Vice se suit sans ennui, grâce à un réel sens du rythme et des acteurs convaincants (le tandem Farrell - Foxx a la classe, c'est le moins qu'on puisse dire); son manque d'ambition et son esthétique parfois (très) douteuse - le canardage final rendu illisible de par une caméra complètement vacillante - annihilent seulement à l'arrivée sa réputation de bombe absolue. On se contentera d'un honnête polar moderne, sans pouvoir aller chercher plus loin.

3.25/5

2001 : A Space Odyssey - 4/5

Lost Highway est un putain de Chef-d'oeuvre, dommage que le DVD de Zone 1 ne soit pas digne de son nom.

Le Z2 propose une belle image mais je n'ai pas pris la peine de voir les bonus, ayant seulement loué le film.

Baptiste Müller a écrit:

Le Z2 propose une belle image mais je n'ai pas pris la peine de voir les bonus, ayant seulement loué le film.

Le Zone 1 : Aucun bonus + format recadré donc image pourrie.

Gozu - Takashi Miike (2003)



Gozu ? Une œuvre très inégale, cas récurrent dans la filmographie de son auteur. Il faut tenir le coup durant la première partie du film pour ne manquer sous aucun prétexte les festivités trash éparpillées çà et là dans la seconde. Soigneusement réalisé, avec une photographie rappelant le cinéma des années 70, Gozu accuse en contrepartie de nombreux temps morts inutiles qui ne font que desservir la narration et plomber gravement le rythme du métrage. Et ne parlons pas de ce pseudo-scénario à la David Lynch du pauvre, dont l'intérêt demeure lui aussi fort limité. Reste ces incartades complètement chtarbées (le rêve de l'homme à tête de vache, le meurtre du boss obsédé sexuel, la scène d'amour qui tourne mal et se transforme en accouchement absurde), ces idées folles nées de l'imagination morbide et détraquée de Miike, qui nous obligent à tout pardonner et à se délecter d'instants purement jubilatoires entre quelques durs bâillements au final bien récompensés. Le réalisateur pense même à nous refaire le coup de Visitor Q et de sa demoiselle d'âge mûr au don laitier miraculeux qu'elle exerce en activant ses glandes mammaires. Une fois encore, fous-rires et grimaces de dégoût sont
légion !

3.5/5

Moi j'ai écouté The Texas chainsaw massacre 74 en vhs. J'ai enfin trouvé un club video qui le possédait, sa faisait longtemps que je voulais le voir sans toutefois pouvoir mettre la main dessus. Sérieusement j'ai été mal à l'aise tout au long du film... j'avais un de ces feeling bizarre... mais j'ai adoré ! Un pur chef d'oeuvre ! 5/5

Brigade Spéciale - Umberto Lenzi (1976)



La mouvance du poliziotteschi touche peu à peu à sa fin et Lenzi, avec ce Brigade Spéciale, en réalise l'un des ultimes représentants, non sans un brio qui n'est depuis déjà longtemps plus à prouver. L'on assiste ainsi à une véritable succession de meurtres gratuits et ultra-violents, de bastons, de viols et de poursuites en voiture superbement filmées - et que pourraient envier bon nombre de films d'action hollywoodien d'aujourd‘hui -, sous un scénario quelque peu prétexte, malgré une fois encore un fond social relativement ostensible (caricature sommaire du laxisme de la justice romaine des années soixante-dix envers la violence, le banditisme et la criminalité régnante). Les comédiens sont d'un bon niveau, mais Tomas Milian émerge comme toujours de la distribution dans son rôle de truand bossu plus rusé qu'il n'y paraît. Certes inférieur au prodigieux La Rançon de la Peur, également mis en scène par Umberto Lenzi quelques années auparavant, Brigade Spéciale n'en constitue pas moins un excellent polar de série B, efficace, nerveux et d'une brutalité palpable, dont la vision reste essentielle pour tout amateur du cinéma de genre transalpin de l'époque.

3.5/5






Time and Tide - Tsui Hark (2000)



De retour à Hong Kong, Tsui Hark répare sa réputation entachée à la suite de quelques bourdes hollywoodiennes commises avec Jean-Claude Van Damme en réalisant cet explosif Time and Tide, qui restera dans les annales du cinéma asiatique contemporain pour une simple et bonne raison: il est transcendé par une mise en scène de malade, un enchaînement de travellings tourbillonnants et de plans révolutionnaires propres à vous filer des évanouissements, un peu de la même manière avec laquelle l'on s'embarquerait dans une grosse attraction mécanique virevoltante, sauf qu'ici, cela dure près de deux heures. Cette incommensurable virtuosité dans la manipulation de la caméra, ces prodiges techniques dignes d'un génie, permettent de fermer complètement les yeux sur une narration foutraque et une intrigue décousue, nous rappelant que Tsui semble avoir fort souvent du mal à tenir une ligne dramatique. La distribution, principalement constituée de starlettes pop locales, n'a rien d'exceptionnel, hormis la présence de l'immense Anthony Wong dans un rôle toutefois très sobre et secondaire, celui du chef d'une agence de sécurité quelque peu marginale où travaillent d'ailleurs les deux personnages principaux du film, un jeune lascar paumé et un ancien mercenaire d'origine sud-américaine; le premier va être accidentellement impliqué dans la chasse à l'homme dont est victime le second après le meurtre de son ex-patron. Bon prétexte pour aligner les séquences d'action survoltées à un rythme de fou, sous une mise en images furibonde et ruisselant de détails expérimentaux d'une innovation peu commune, de quoi combler vos pulsions de sensations fortes pour un sacré bout de temps. Au second plan, Time and Tide se parfume d'une romance un peu kitsch et naïve, typiquement hongkongaise, qui n'est finalement pas pour déplaire entre les hallucinants morceaux de bravoure et gunfights dans les sous-sols de restaurants, sur les façades d'immeubles ou dans les dépôts à l'intérieur des gares. Un bon dieu de polar d'action comme on en voit trop rarement par ici, mais surtout, une impressionnante leçon de mise en scène de la part de Tsui Hark, quelque chose de démentiel, décoiffant et littéralement éblouissant, qui masque les faiblesses d'un récit très embrouillé.

4/5

2/5

THE NEW-YORK RIPPER

Ce film fait partie de ceux qui ont entaché la carrière de feu Lucio Fulci, ce maître incontesté de l'horreur gore, doué d'un art graphique dans les scènes attroces de ses films...
L'éventreur de New-York m'a vite dessus, trop de scènes érotiques mal filmés, on se croirait dans un Emmanuelle bis, et tous le monde sait que Fulci c'est l'horreur qu'il maîtrise, on se serait bien passé de ses scènes de , perso je trouve qu'elles pourrissent encore plus le film le poussant dans une perversité gratuite et malsaine...
Bref ma note prend en compte mon profond respect pour un homme qui fut unique...

Baptiste Müller a écrit:

Time and Tide - Tsui Hark (2000)



De retour à Hong Kong, Tsui Hark répare sa réputation entachée à la suite de quelques bourdes hollywoodiennes commises avec Jean-Claude Van Damme en réalisant cet explosif Time and Tide, qui restera dans les annales du cinéma asiatique contemporain pour une simple et bonne raison: il est transcendé par une mise en scène de malade, un enchaînement de travellings tourbillonnants et de plans révolutionnaires propres à vous filer des évanouissements, un peu de la même manière avec laquelle l'on s'embarquerait dans une grosse attraction mécanique virevoltante, sauf qu'ici, cela dure près de deux heures. Cette incommensurable virtuosité dans la manipulation de la caméra, ces prodiges techniques dignes d'un génie, permettent de fermer complètement les yeux sur une narration foutraque et une intrigue décousue, nous rappelant que Tsui semble avoir fort souvent du mal à tenir une ligne dramatique. La distribution, principalement constituée de starlettes pop locales, n'a rien d'exceptionnel, hormis la présence de l'immense Anthony Wong dans un rôle toutefois très sobre et secondaire, celui du chef d'une agence de sécurité quelque peu marginale où travaillent d'ailleurs les deux personnages principaux du film, un jeune lascar paumé et un ancien mercenaire d'origine sud-américaine; le premier va être accidentellement impliqué dans la chasse à l'homme dont est victime le second après le meurtre de son ex-patron. Bon prétexte pour aligner les séquences d'action survoltées à un rythme de fou, sous une mise en images furibonde et ruisselant de détails expérimentaux d'une innovation peu commune, de quoi combler vos pulsions de sensations fortes pour un sacré bout de temps. Au second plan, Time and Tide se parfume d'une romance un peu kitsch et naïve, typiquement hongkongaise, qui n'est finalement pas pour déplaire entre les hallucinants morceaux de bravoure et gunfights dans les sous-sols de restaurants, sur les façades d'immeubles ou dans les dépôts à l'intérieur des gares. Un bon dieu de polar d'action comme on en voit trop rarement par ici, mais surtout, une impressionnante leçon de mise en scène de la part de Tsui Hark, quelque chose de démentiel, décoiffant et littéralement éblouissant, qui masque les faiblesses d'un récit très embrouillé.

4/5

Je l'ai vu aussi cette semaine, il était diffusé à la télévision. J'ai aussi bien aimé, malgré que j'ai trouvé que de le Classement: 16 ans +, c'est exagéré. J'ai bien aimé les combats et la réalisation de Tsui Hark.

4/5

Ah, il est carrément interdit aux moins de 16 ans par chez vous ? C'est vraiment injustifié, effectivement, on est très loin de la violence de polars HK comme The Killer, À toute épreuve, The Longest Nite ou The Big Heat. Mais ça n'en reste pas moins un excellent film, ce Time and Tide !

nono931000 a écrit:

2/5

THE NEW-YORK RIPPER

Ce film fait partie de ceux qui ont entaché la carrière de feu Lucio Fulci, ce maître incontesté de l'horreur gore, doué d'un art graphique dans les scènes attroces de ses films...

La meilleure scène, preuve du talent de Fulci (pour l'époque c'était novateur)

L'éventreur de New-York m'a vite dessus, trop de scènes érotiques mal filmés, on se croirait dans un Emmanuelle bis, et tous le monde sait que Fulci c'est l'horreur qu'il maîtrise, on se serait bien passé de ses scènes de , perso je trouve qu'elles pourrissent encore plus le film le poussant dans une perversité gratuite et malsaine...

Bref ma note prend en compte mon profond respect pour un homme qui fut unique...

Moi j'ai plutôt bien aimé dans l'ensemble. Pour l'instant, il y a encore aucun film de Fulci qui ma réellement déçu.

white noise

bon petit film et bonne histoire-3/5

Dead Heat : 2/5

Revu :
From Dusk Till Dawn : 4,5/5
Scarface : 5/5

BloodSplash a écrit:

nono931000 a écrit:

THE NEW-YORK RIPPER

Ce film fait partie de ceux qui ont entaché la carrière de feu Lucio Fulci, ce maître incontesté de l'horreur gore, doué d'un art graphique dans les scènes attroces de ses films...

La meilleure scène, preuve du talent de Fulci (pour l'époque c'était novateur)

L'éventreur de New-York m'a vite dessus, trop de scènes érotiques mal filmés, on se croirait dans un Emmanuelle bis, et tous le monde sait que Fulci c'est l'horreur qu'il maîtrise, on se serait bien passé de ses scènes de , perso je trouve qu'elles pourrissent encore plus le film le poussant dans une perversité gratuite et malsaine...

Bref ma note prend en compte mon profond respect pour un homme qui fut unique...

Moi j'ai plutôt bien aimé dans l'ensemble. Pour l'instant, il y a encore aucun film de Fulci qui ma réellement déçu.

Est-ce que tu as vu Manhattan Baby ou Zombi 3, quoi que zombi 3 quand j'étais plus jeune je l'idôlatrais...
Avec le temps et le regard d'un jeune homme de mon âge les choses ont beaucoup changé par contre les chefs d'oeuvre de Fulci perdurent quasi inégalables (Frayeurs, Zombi2, L'au-delà, La Maison...)

nono931000 a écrit:

Est-ce que tu as vu Manhattan Baby ou Zombi 3, quoi que zombi 3 quand j'étais plus jeune je l'idôlatrais...
Avec le temps et le regard d'un jeune homme de mon âge les choses ont beaucoup changé par contre les chefs d'oeuvre de Fulci perdurent quasi inégalables (Frayeurs, Zombi2, L'au-delà, La Maison...)

Zombi 3 a aussi été réalisée en partie par Bruno Mattei.

Si Uwe Boll finissait de réaliser un film de Martin Scorsese, ce serait quand même mauvais, même avec Martin Scorsese alors on ne peut pas reprocher Zombi 3 à Fulci.

D'ailleurs, je l'ai ré-écouté récemment et quelques scènes sont très bien réalisées. C'est seulement quand les zombies arrivent que ça devient n'importe quoi.

Citation :

Est-ce que tu as vu Manhattan Baby ou Zombi 3, quoi que zombi 3 quand j'étais plus jeune je l'idôlatrais...
Avec le temps et le regard d'un jeune homme de mon âge les choses ont beaucoup changé par contre les chefs d'oeuvre de Fulci perdurent quasi inégalables (Frayeurs, Zombi2, L'au-delà, La Maison...)

Manhattan Baby, non pas encore mais j'en ai entendu du bien comme du mal. Pour Zombi 3, je ne le considère pas vraiment comme un film de Fulci vu que les tâcherons Mattei et Fragasso on pris la relève pour terminer le métrage.

Lord of War - Andrew Niccol

Ce film est une merveille. On suit les aventures d'un des plus grand trafiqueur d'armes. Nicolas Cage est toujours aussi bon acteur. Le film nous laisse sur une bonne morale. Bref un petit chef-d'oeuvre à voir absolument.

10/10

BloodSplash a écrit:

Lord of War - Andrew Niccol

Ce film est une merveille. On suit les aventures d'un des plus grand trafiqueur d'armes. Nicolas Cage est toujours aussi bon acteur. Le film nous laisse sur une bonne morale. Bref un petit chef-d'oeuvre à voir absolument.

10/10

Vraiment content que tu aies adoré ce film. J'en pense tout pareil.

Sinon, moi:

Raging Bull - Martin Scorsese (1980)



Admirable biographie du fameux boxeur Jake La Motta, celui qui fut surnommé le Taureau du Bronx durant ses années de gloire, où Scorsese livre, une fois n'étant pas coutume, une réalisation exceptionnelle. De Niro y est tout bonnement époustouflant.

4.5/5

Nip/tuck saison 3 : 5/5

détour mortel : 4,5/5 ---- je me dmande quand meme si detour mortel n'aurait pas un peu plagier the hill have eyes (le barbelé sur la route, le raccourci, cannibales, essais nucléaires,.......)

Pour Lord Of War je comfirme , un beau salop aussi attachant que Tony Mantana , j'adore vraiment ce film .