Friday the 13th Part VI : Jason Lives (1987, Tom McLoughlin)

Plus je le vois, et moins je l'aime. Certaines scènes sont vraiment idiotes. Le film est plus portant sur l'humour. Je crois même que ce n'est plus mon Vendredi 13 préféré. Je vais devoir me retapper l'intégralité de la série pour confirmer tout ça.

L'humour de ce film me tape vraiment sur les nerfs...  

Bien que j'ai vu tous les Friday The 13th assez récemment, je n'ai déjà plus beaucoup de souvenirs des volets 4 à 7!

Est-ce Alzheimer qui me guette ou une saga finalement bien peu mémorable?

Gregg a écrit:

Bien que j'ai vu tous les Friday The 13th assez récemment, je n'ai déjà plus beaucoup de souvenirs des volets 4 à 7!

Est-ce Alzheimer qui me guette ou une saga finalement bien peu mémorable?

L'Alzheimer !

Moi se sont les premiers que je confond entre eux 1 à 4.

Revu ce matin et je dois dire qu'il m'a quand même diverti. L'humour ne vole pas très haut et c'est un gros défaut. Par contre, j'aime quand même les scènes de meurtres qui restent relativement originales, même sans être gore comme celles des premiers chapitres. Au final, c'est vraiment pas mon chapitre préféré, loin de là. Le 7e le déclasse assez solide, mais il reste quand même mieux que les 5-8-9-10

2.5/5

Vendredi 13 chapitre 6 rentre enfin dans le vif du sujet en ou offrant sur un plateau Jason le zombie! On retrouvera une fois de plus Thom Matthews dans un cimetière qui reprendra le rôle de tommy,et oui il avait lui aussi jouer dans le retour des morts vivants 1 et 2. Il formera d'ailleurs un duo avec Jennifer Cooke plus connue dans le rôle de "l'enfant stellaire" dans la série "V". Malgré une ouverture a la James Bond qui ridiculise cette épisode des les premiers minutes... Les meurtres en pagailles ne sauverons pas les meubles... D'ailleurs un gamin de la colonie sortira une punch line révélatrice devant un surveillant: ""Si ca a l'air aussi excitant que ca en a l'air (VF) on est pas dans la merde!".
Une scène a attiré mon attention, la petite gamine "Nancy" qui rêve d'un monstre qui la poursuivait dans ses cauchemar... il manquait plus que des griffes et on avait un cross-over en avance!
Bref vendredi 13 chapitre 6 est un road trip qui tourne en rond bourré de cliché malgré une ouverture dans le cimetière plutôt agréable...Comme dirait certaine personne la saga vendredi 13 est morte avec le 6eme opus.
2/5

Nous sommes sur un terrain glissant cette fois mes amis! Si vous ne le savez pas, Friday The 13th Part VI : Jason Lives n'est rien de moins que le chapitre le plus populaire, apprécié et louangé par la critique depuis toujours. Même si vous avez pour la plupart vos chapitres préférés, sachez que niveau critique, la saga est depuis toujours un mouton noir. Même si le premier volet et le sixième ont un excellent raciaux, le restent de la saga se fait démolir! C'est dont un dilemme moral d'offrir mon véritable opinion sachant que tous les fans de ce monde l'adorent... dieu pardonne mes offenses!

Après avoir été victime de Jason Vorhees et de son imitateur fidèle, Tommy Jarvis est devenu un adulte  sorti de l'institue psychiatrique vivant la peur de voir revenir Jason Vorhees. C'est donc avec son ami Hawes que Tommy décide d'aller dans la ville de Forest Green (auparavant Crystal Lake) pour violé la sépulture de Jason. Étant sur le point de le tuer,  l'orage ramène Jason à la vie pour un nouveau carnage. Paniquer, Tommy tente de mettre au courant le shérif Mike Garris qui refuse de croire au retour de Jason. Bien vite, la ville de Forest Green est victime des sévices de Jason et le Camp Forest Green est sa prochaine destination. Malgré les évidences, Mike Garris croit dur comme fer que le tueur est Tommy Jarvis. Voulant mettre fin une fois pour toute au monstre, Tommy devra l'affronter sur son propre territoire!

Bien que la réception critique soit la plus positive envers un chapitre de la saga Friday The 13th, j'ai toujours eu une misère constante à adhéré à ce chapitre! Tout d'abord, Tom McLoughlin offre une réalisation hasardeuse et aux cadrages douteux qui m'empêche de sentir une aussi grande qualité que les cinq chapitres précédents! Non content de cela, on dirait que ce sixième chapitre tente absolument d'être adressé à un large public où les enfants sont présents et où les blagues stupides font légion! Même si la série à toujours voulu prendre un ton comique, je sentais que l'humour était destinée pour jeune adultes... pas pour des enfants!

Cette thématique comique empêche ce sixième volet de prendre réellement son envol vers un style en particulier. Si on sent au départ une noirceur intense où les coups de tonnerre, l'ouverture de cercueil aux sons grisants rappellent Dracula et les souvenirs brumeux de Tommy, l'oeuvre pige sans cesse dans différents registres ne sachant pas sur quel pied danser! Cela devient vraiment fatigant quand vient les moniteurs, les enfants et l'élite de paintball militaire! J'ignore si Tom McLoughlin avait dans l'idée d'offrir un hommage à The Three Stooges avec ces militaires... mais c'est raté! Tout comme Sometimes They Come Back, McLoughlin ne sait pas quand s'arrêter niveau humour...

Même si les problèmes s’arrangeant avec le dernier 20 minutes stressant et digne des cinq premiers chapitres, on sent trop souvent que la légèreté et le manque d'attrait et de nouveauté de ce chapitre lui confère un côté "mainstream" désagréable! Fort heureusement, la confrontation finale entre Tommy Jarvis et Jason Vorhees vaut son besant d'or. Elle offre une manière astucieuse de détruire Jason et met grandement l'emphase sur un côté film d'action pas si mauvais que ça!

Tout comme Friday The 13th : The Final Chapter, cette sixième entrée s'offre un côté "Action packed" qu'il est difficile de démolir. La séquence où Jason envoie une tente-roulotte faire un accident ou les multiples fusillades à l'endroit de Jason offrent un ingrédient qu'on aurait voulu voir plus souvent dans ce chapitre au lieu des blagues douteuses et un côté léger! On donnera au moins à l'oeuvre d'offrir des meurtres pas si mauvais! Cette fois-ci Jason à assez de visou pour attraper une bouteille de vitre et envoie bien une fléchette! Par contre, rien ne va battre le fameux moment où Jason va plier un homme en deux (le son de la colonne qui casse est délectable!)!

Tout comme les deux chapitres précédents, Friday The 13th Part VI : Jason Lives s'offre une scène de danses très cocasse pendant un ébat sexuelle! Ça ne bat pas nôtre cher Violet avec la chanson His Eyes de Brian Canham dans le Part V, mais c'est génial quand même! Puis, Alice Cooper s'offre trois apparitions vocales avec la chanson He's Back (The Man Behind the Mask), une musique excellente!

Le côté technique est malheureusement assez en dessous des précédents chapitres! Outre la réalisation médiocre de McLoughlin, Jon Kranhouse offre une direction photo très pauvre qui n'aide en rien les défauts de ce sixième chapitre. Tout comme le montage du cinquième chapitre, Bruce Green en offre un assez hasardeux et inintéressant pour Jason Lives. Harry Manfredini à au moins le mérite d'offrir des compositions musicales pas mauvaises et des nouvelles stridentes et soutenues (comme la scène où Tommy se fait poursuivre dans le cimetière) qui aident au suspense.

L'un des gros défauts de ce chapitre par contre, c'est d'avoir réduit Jason à un marcheur mort-vivant. Même si j'aime l'acteur C.J. Graham, le fait qu'il donne un Jason lent enlève tout le "thrill" qu'offrait les précédents chapitres d'avoir un Jason sautent et qui court après les Final Girl! Même avec la musique dans le tapis... ça reste Jason qui marche après une personne qui court! Un autre défaut flagrant est l'utilisation assez moindre des enfants... c'est très décevant. Pour finir, les meurtres sont assez banals et peu sanglant. Pour un retour de Jason, ça manque de folie!

Puis, pour un chapitre aussi détester par les fans, Il est aussi assez ironique que ce sixième chapitre reprenne le début du précédent avec des gens qui déterrent la tombe et Jason en sort pour tuer. C'est tellement identique qu'on croirait que McLoughlin à simplement repris la scène pour repartir à zéro!

Les acteurs sont par exemple un grand atout! Thom Mathews (Return of The Living Dead) donne une personnalité intéressant à Tommy Jarvis... même si j'aimais plus John Shepherd! Jennifer Cooke est vraiment sexy et avec un certain delivery comique. David Kagen (Body Chemistry) à beau avoir un personnage con, son charisme est bien.

Bien que possèdent quelques qualités et avec une certaine continuité à Friday The 13th : The Final Chapter. Ce sixième chapitre souffre de sa détermination à refaire la même chose et d'oublier sans cesse le cinquième volet (Tommy Jarvis devait être le tueur!). Même si certains chapitres suivants vont être intéressants, on sent que l'obstination des producteurs à vouloir être dans le même moule va finir par leur faire mal! Malgré tout, quelques passes d'humour fonctionnent et le retour de Jason reste appréciable après 2 ans d'absence.

Note : 2/5

Copié/collé des commentaires qui figurent dans les pages précédentes. Comme quoi si ce Friday part. 6 est vraiment le plus apprécié, ses fans ne sont certainement pas québécois!


Revu celui-là à l'occasion du Vendredi 13. Bien que ce soit le chapitre préféré de plusieurs fans, je le considère le plus faible parmi les sept premiers volets (j'exclus d'office les volets 8-9-10 de la conversation, ils sont trop mauvais).

Je comprends toutefois l'intérêt porté au film, puisqu'on fait beaucoup plus pour iconiser Jason. Tommy Jarvis n'est pas ici le point focal du film, mais bien un personnage secondaire. Les références à la culture populaire de l'époque sont nombreuses, l'humour abonde, Jason épargne les enfants... N'en demeure que je continue à trouver ce film trop light et que je ne me sens pas du tout impliqué. Je m'apprête à revoir l'épisode 7, qui propose quant à lui mon protagoniste favori de toute la saga. Le monde à l'envers, puisque je sais que plusieurs ne sont pas tendres avec cet opus.

Bob Boyle a écrit:

Copié/collé des commentaires qui figurent dans les pages précédentes. Comme quoi si ce Friday part. 6 est vraiment le plus apprécié, ses fans ne sont certainement pas québécois!

Ils sont sûrement français !
Je trouve que ce VIème chapitre des aventures de Jason est un des meilleurs. Déjà pour son introduction du tonnerre, électrique, qui est une des meilleures scènes tout Friday confondus, le meurtre des deux jeunes dans la voiture qui approchaient du camp, l'introduction des enfants à la colo avec des animateurs actifs et sympathiques.

On peut déplorer que Jason ne touche pas un cheveux des enfants (mais en même temps, en as t-il pas après les moniteurs, surtout ?), de l'humour un peu potache et longuet (la canette de soda, blague biiiien trop longue) mais ce serait oublier que le scénario a d'autres surprises !
Jason qui passe devant la fenêtre sans se faire remarquer, Myers style, des meurtres savamment maquillés pour échapper à la censure (celui de Paula) qui reste assez graphiques, le jeu de paintball n'est pas assez abouti mais les quelques moments concentrés dessus sont loin d'être un désastre ... Définitivement, je trouve que le 6 change une recette qui commençait à devenir lassante en gardant un modèle stricte, respectant chaque règles du slasher, pour s'inscrire sans problème dans la série.

Surtout qu'après, c'est de pire en pire ...

Jason Lives - Friday the 13th: Part VI de Tom McLoughlin - 4,25/5

Le personnage de Tommy est de retour pour une autre suite, sous les traits d’un nouvel acteur. Un retour qui va se révéler sensiblement le dernier affrontement entre Jason et lui, car, oui, après un cinquième opus sans Jason, celui-ci est de retour pour notre plus grand plaisir. Sinon, pour la première fois de la saga, il y a finalement des enfants présent au fameux camp, en plus des moniteurs. À part ça, Jason Lives utilise beaucoup l’humour, lors de ses scènes de meurtres, pour combler le manque de sang. Mais, les meurtres restent quand même bien violent et plaisant à voir. La nudité semble avoir été aussi un objet de censure pour cette suite. Dans l’ensemble, j’ai bien aimé ce sixième film. Il m’a bien divertit, avec son mélange d’action/humour/horreur, en plus d’un rythme soutenu.