Dossiers du P.I
Document #13 du cas Visage Obscure 4
Date :12/06/1912 à 19/06/1912
Classé secret défense
Toute information concernant se document qui serait publié ouvertement, communiqué sans autorisation, serait suivi d’une peine de mort.
12 Juin 1912
Alors que mon père et moi étions en train de couper du bois, dans la foret. Nous entendîmes un bruit aigu venant de plus loin. Il m’a demandé mon opinion sur ce que c’était. Je n’en savais trop rien, ainsi pour lui.
Nous abandonnèrent notre travail, poussé par la curiosité des faits. Et nous nous approchèrent de plus en plus du son.
Après avoir couru pendant une dizaine de minutes, nous allâmes sortir de la foret pour entrer dans la clairière Mais nous vîmes la cabane d’Henri. En plein centre avec des menhirs autour. Moi et père avons regardé la scène, et je ne me rappelais plus trop de ce qu’ils marmonnaient. Même Henri était avec eux et il y participait aussi. C’était un mot comme isaéoméni. Ou quelque chose dans le genre. Après la cérémonie, les inconnus sont partis en prenant chacun leurs voiture. Et en prenant l’argent que Henri leurs donna. Puis ils partirent comme si le Diable lui-même était à leurs trousses.
Puis après cela, Henri est retourné dans sa maison en courant. Papa et moi s’avions déjà que notre présence serait très mal vu de sa part. Et que nous déviâmes retourner couper les sapins.
La nuit, je me réveillai. J’entendis des bruits venant de dehors. Je regardai par la fenêtre. Et juste devant le lac éclairé par la Pleine Lune. Je vu un groupe de gamin qui courait à travers le champ. Et qui se dirigeaient vers la foret de sapin derrière le lac.
Papa aussi avait entendu et il est sorti avec son fusil. Bien sûr il n’avait pas tiré, mais lorsqu’il leur cria de figer. Ces inconnus crièrent d’un cri aigu et inhumain. Bon sang, ce cri m’a glacé le sang. Peut-être à papa aussi. C’est peut-être pour cela qu’il n’a pas tiré.
15 Juin 1912
Henri est venu chez nous.
Il a cogné à la porte de notre maison. Je fus celui qui lui ouvrit, il avait le visage blanc comme un drap et il avait l’air complétement terrifié. Je lui demanda pourquoi il faisait cette tête, alors que je lui faisait une camomille. Il me répondit que c’était du à sa femme. Je le comprenais, je ne sais pas comment on peut se sentir lorsque notre femme est morte,. Peut-être comme lorsque maman est morte, mais je n’ai pas vraiment su cette émotion, puisqu’elle est morte en couche. Il me dit à moi et à mon père qu’il allait déménager à Montréal, en me disant qu’il ne pouvait plus vivre dans la maison où il avait vécu lui et sa femme. Je lui dit que ça allait bien, et que comme cadeau. Je lui offris le reste de camomille qu’il nous restait. Après nous avoir remerciés, je lui demandai pourquoi il nous avait dit de quitter aussi. Il nous répondit sans se retourner que c’était dû à une erreur.
La nuit, je fis le rêve que j’étais sur une colline. Face aux étoiles et à une lune gigantesque, qui ne se montrait qu’a moitié. Elle sortait des nuages gris horizontaux. Qui eux étaient juste au dessus des sapins de la foret. Puis la, la lune (ou si c’était vraiment elle), monta. Révélant ses énormes racines d’un vert foncé qui n’appartenait à aucun arbre. Qu’on pouvait voir à l’œil nu depuis notre planète. Puis, ses ¨racines¨ se mirent à bouger dans tous les sens, sans quitter la surface du satellite de notre Terre.
Et alors qu’elle commença à faire trembler la lue, et ensuite la planète de la terre.
19 Juin 1912
Un agent de police est venu ce matin. Enfin c’est ce qui prétendait être puisqu’il n’avait rien d’un policier.
Je lui fis cette remarque, et il me répondit qu’il faisait partie de l’élite. Sans lui poser d’autres questions, je lui demandai pourquoi tout allait si mal.
Mon père est venu, et a pris a relève. En en offrant du tabac de son contenant. Il se mit à lui parler, tout en m’ordonnant d’aller couper des buches dehors.
Désobéissant cet ordre j’écoutai à la porte, tout en regardant par la serrure. Je ne comprenais pas vraiment la situation que l’inconnu raconta. Mais je savais bien qu’il n’était pas flic. Il disait venir du gouvernement, et il lui demanda s’il avait vu des ¨choses¨ comme sur la photo (je ne pus pas voir le contenu, puisque j’étais trop loin). Mais je pouvais voir le visage de papa qui fut terrifié lorsqu’il vu le dessus de la photo. L’étranger le rangea dans la poche de sa veste lorsque papa lui dit que s’il avait vu ses choses. Il les aurais tirer dessus. Et ce fut l’opinion que l’agent approuva et suggéra le plus. Mais il suggéra surtout que moi et papa partions d’ici le plus vite. En raison de la mise en quarantaine de la région.
Après le souper, nous fîmes nos bagages, et nous conclurent que nous étions trop épuisés pour faire une marche de une heure jusque le plus proche (qui allait aussi être en quarantaine). Après avoir fait nos bagages, je demandai à père ce qu’il y avait sur la photo. Il me répondit que je ne devrais pas le voir, surtout en vrai.
Cette nuit, je ne réussis pas à m’endormir. A cause des cris des ¨choses¨ que j’entendais dans la foret. Je me leva et tout en allumant la lampe à l’huile de ma chambre. Je regardai par la fenêtre. Les nuages noirs et pluvieux cachaient la lune. Et lorsque le premier éclair frappa dans le ciel. Je vu une centaine de gens devant le lac et avec derrière eux. La foret dont une lumière aveuglante, mais très lointaine. Se pointait.
Les ¨choses¨ se tenaient droit, comme des épouvantails dans les champs. Puis soudainement, l’un d’eux qui s’était glissé sous ma fenêtre. Se leva d’un bond et colla son visage sur la vitre. Et ce que vu n’était rien de plus horrifiant que la mort de ma mère par ma faute.
Le visage de la fillette en robe blanche, avait les yeux et la bouche d’un noir sans fond. Comme l’obscurité du puits en arrière de chez nous.
Je criai, alors que je sorti de ma chambre tout en courant. Je criais le nom de mon père à pleins poumons, et lorsque j’ouvris la porte de sa chambre. Je le vit, devant l’armoire ouverte. Il regardait vers le bas, les bras pendus dans le vide. Et je vit à sa fenêtre l’un des Leurs. C’était celui d’un gamin qui me faisait un grand sourire. Dont de la buée se formait devant sa bouche. Mon père commença à marmonner quelque chose que personne ne peut d’écrire. Et puis j’entendis que dehors, toutes ses ¨choses¨ hurlèrent.
Je fonçai vers la sortie, j’ouvrit la porte. Et alors que j’entendis ses choses entrer par l’arrière. Je continua à courir. Pendant l’éternité je couru, jusqu’à l’entrée du village. Je vu l’homme qui prétendait être du gouvernement, et il me vu. Des hurlements se firent derrière moi. Je me retourna, et lorsque je vu un océan de ses ¨choses¨ à quelques mètres de moi Puis, je m’évanoui, alors que les coups de feu de leurs revolvers se mirent en marche.
Le témoignage se termina, faute qu’il se conclu à la dernière page du journal.
Commencé le14 Juillet 2011 à 22 :12
Terminé le 14 Juillet 2011 à 00 :12
Commentaires?