Quel est le dernier film que vous avez vu?

Le voyage d'Arlo (The good dinosaur) : 3,25/5
Malgré sa trame linéaire et son absence total de double niveau de lecture qui fait qu'il ne peut soutenir la comparaison avec Inside out!, Le voyage d'Arlo reste malgré tout un beau parcours initiatique(qui rappelle Le livre de la Jungle), certes vu 100 fois ailleurs, mais dont la sincérité des émotions et des intentions font ici toute la différence, renvoyant un peu aux Disney de la grande époque, toute technique d'animation mise à part.  Le gros travail fait sur les paysages, dignes du photoréalisme (à ce niveau le studio vient de franchir un nouveau cap) en ferait presque oublier le look extrêmement sommaire et quelque peu grossier infligé aux dinosaures (toutes catégories confondues), mais le reste du bestiaire est bien sympa. L'alchimie entre Arlo et le "petit d'homme" fonctionne parfaitement, et on se surprend à être ému à plusieurs reprises, sans presque qu'aucune parole n'ait été prononcée...

Year of the Dragon de Michael Cimino - 4,75/5

Year of the Dragon est le second film, que je vois de Michael Cimino. Il y a quelques années, j’ai découvert l’excellent The Deer Hunter. Ainsi, grâce à la superbe édition française de chez Carlotta, j’ai eu l’occasion de découvrir un autre très bon film du réalisateur. Co-scénarisé par Oliver Stone et mettant en vedette Mickey Rourke, Year of the Dragon nous fait suivre un détective, fraîchement débarqué dans le quartier de Chinatown à New York, qui va décider de s’attaquer à la mafia chinoise, surtout à son nouveau et jeune chef. Muni d’un scénario très bien ficelé et d’une superbe réalisation, Cimino livre, avec son quatrième long-métrage, un sombre et très violent polar. Le film comporte de nombreuses scènes vraiment mémorable. L’affrontement final est vraiment énorme. De plus, Mickey Rourke est vraiment excellent dans le rôle du détective Stanley White. Une oeuvre qui vaut être vraiment la peine d’être vu.

ÇA c'est du vrai cinéma, créatif, imaginatif, miroir des aspects de la société (japonaise pour ici). Fuck Citizen Kane, l'art du film a comme meilleure exemple l'oeuvre de Yoshihiro Nishimura (Tokyo Gore Police, Helldriver)

Critique en état d'écriture.

4/5

JackieBoy a écrit:

Year of the Dragon de Michael Cimino - 4,75/5

Year of the Dragon est le second film, que je vois de Michael Cimino. Il y a quelques années, j’ai découvert l’excellent The Deer Hunter. Ainsi, grâce à la superbe édition française de chez Carlotta, j’ai eu l’occasion de découvrir un autre très bon film du réalisateur. Co-scénarisé par Oliver Stone et mettant en vedette Mickey Rourke, Year of the Dragon nous fait suivre un détective, fraîchement débarqué dans le quartier de Chinatown à New York, qui va décider de s’attaquer à la mafia chinoise, surtout à son nouveau et jeune chef. Muni d’un scénario très bien ficelé et d’une superbe réalisation, Cimino livre, avec son quatrième long-métrage, un sombre et très violent polar. Le film comporte de nombreuses scènes vraiment mémorable. L’affrontement final est vraiment énorme. De plus, Mickey Rourke est vraiment excellent dans le rôle du détective Stanley White. Une oeuvre qui vaut être vraiment la peine d’être vu.

Si tu as aimé les deux, je te recommande la version Uncut de 4 heures d'Heaven's Gate.

Bob Boyle a écrit:

JackieBoy a écrit:

Year of the Dragon de Michael Cimino - 4,75/5

Year of the Dragon est le second film, que je vois de Michael Cimino. Il y a quelques années, j’ai découvert l’excellent The Deer Hunter. Ainsi, grâce à la superbe édition française de chez Carlotta, j’ai eu l’occasion de découvrir un autre très bon film du réalisateur. Co-scénarisé par Oliver Stone et mettant en vedette Mickey Rourke, Year of the Dragon nous fait suivre un détective, fraîchement débarqué dans le quartier de Chinatown à New York, qui va décider de s’attaquer à la mafia chinoise, surtout à son nouveau et jeune chef. Muni d’un scénario très bien ficelé et d’une superbe réalisation, Cimino livre, avec son quatrième long-métrage, un sombre et très violent polar. Le film comporte de nombreuses scènes vraiment mémorable. L’affrontement final est vraiment énorme. De plus, Mickey Rourke est vraiment excellent dans le rôle du détective Stanley White. Une oeuvre qui vaut être vraiment la peine d’être vu.

Si tu as aimé les deux, je te recommande la version Uncut de 4 heures d'Heaven's Gate.

Ce n'est pas ce film, qui est reconnu comme la daube du réalisateur.

Bonjour.
Oui et non en fait.
Ce serait plutôt "Le sicilien", certes remonté à l'aveugle par le producteur pour sa sortie en salles, qui serait considéré comme "la daube" de Michael Cimino. Dans une moindre mesure, "La maison des otages" et "Sunchaser" n'ont pas très bien été accueillis eux non plus. Mais "La porte du paradis" serait plutôt son "film-maudit". Le tournage fut un enfer et Cimino était considéré comme un vrai petit despote. Il dura plus de cent-soixante dix jours et le budget final dépassait les quarante millions de dollars, ce qui était énorme pour l'année de sa production (1980). A l'origine, il durait quatre heures et fut réduit à deux heures et demi et cela se ressent, il est vrai, dans la version "salles" du film. Le distributeur vendit le film comme un western alors que ce n'en est pas vraiment un. Les thèmes abordés et les choix techniques du réalisateur désarçonnèrent la critique, majoritairement américaine, qui démolit "La porte du paradis". Néanmoins de par le monde, d'autres critiques trouvèrent le long-métrage formidable.
Encore aujourd'hui, si la version "courte" n'est pas exemptée de défauts, c'est déjà à un chef-d’œuvre auquel on a à faire, à condition d'accepter les partis-pris narratifs. A titre personnel je pense que s'il a été très mal reçu à l'époque, c'est une question de jalousie. Cimino venait d'être adoubé "cinéaste génial" avec "Voyage au bout de l'enfer" et il avait un égo démesuré. On ne lui a pas pardonné sa mégalomanie, son ambition et son attitude sur le tournage. Pour beaucoup d'artistes ayant participé au projet, il constitue une expérience douloureuse. "La porte du paradis" fut plus victime de la personnalité de Cimino lui-même que de ce que le film est réellement. Un de ces projets qu'on a envie de détruire avant même qu'il ne soit sorti en salles. Ça arrive régulièrement.

crazy babysitter a écrit:

Bonjour.
Oui et non en fait.
Ce serait plutôt "Le sicilien", certes remonté à l'aveugle par le producteur pour sa sortie en salles, qui serait considéré comme "la daube" de Michael Cimino. Dans une moindre mesure, "La maison des otages" et "Sunchaser" n'ont pas très bien été accueillis eux non plus. Mais "La porte du paradis" serait plutôt son "film-maudit". Le tournage fut un enfer et Cimino était considéré comme un vrai petit despote. Il dura plus de cent-soixante dix jours et le budget final dépassait les quarante millions de dollars, ce qui était énorme pour l'année de sa production (1980). A l'origine, il durait quatre heures et fut réduit à deux heures et demi et cela se ressent, il est vrai, dans la version "salles" du film. Le distributeur vendit le film comme un western alors que ce n'en est pas vraiment un. Les thèmes abordés et les choix techniques du réalisateur désarçonnèrent la critique, majoritairement américaine, qui démolit "La porte du paradis". Néanmoins de par le monde, d'autres critiques trouvèrent le long-métrage formidable.
Encore aujourd'hui, si la version "courte" n'est pas exemptée de défauts, c'est déjà à un chef-d’œuvre auquel on a à faire, à condition d'accepter les partis-pris narratifs. A titre personnel  je pense que s'il a été très mal reçu à l'époque, c'est une question de jalousie. Cimino venait d'être adoubé "cinéaste génial" avec "Voyage au bout de l'enfer" et il avait un égo démesuré. On ne lui a pas pardonné sa mégalomanie, son ambition et son attitude sur le tournage. Pour beaucoup d'artistes ayant participé au projet, il constitue une expérience douloureuse. "La porte du paradis" fut plus victime de la personnalité de Cimino lui-même que de ce que le film est réellement. Un de ces projets qu'on a envie de détruire avant même qu'il ne soit sorti en salles. Ça arrive régulièrement.

En tout cas, merci de ton conseil! Je tenterai de le visionner, d'ici la fin de l'année.

Après mettre fait Catfishing sur Tinder hier par une nana que j'ai retrouvé son compte Twitter et que tu vois qu'elle passe ses journées a avoir de l'attention avec d'autres mecs juste pour avoir des likes, abonnements et glorifier Trump. J'avais besoin d'un calmant tout en étant mal à l'aise. Oui, moi des cheerleader, ça me procure le même effet que des clowns, + le côté sexuel dans le genre " Je vais utiliser ton pénis pour n’imprégner et continuer la production de mon espèce (hurlement de xénomorphe)". Tout cela parce que j'écris des livres de wierdo...

Give me a 3
Give me a 4
Give me a 5 on 5 Arthas WOO HOO / 5

Survival Island (2005, Stewart Raffill)

Survival Island ou The Kelly Brook Show!
Autant le dire immédiatement, le film n'est pas très bon et il convient de trouver un intérêt avant visionnement pour mieux l'apprécier! Pour ma part, un thriller se déroulant dans une île paradisiaque avec Billy Zane devant la caméra et ce Survival Island m'était déjà vendu! Pour autant, nombreuses sont les situations risibles et il est impossible de croire un seul instant à cette histoire! Cependant, les 90 minutes passent très vite, tandis que le film captive le spectateur qui sera quelque peu surpris du dénouement final.

Mais au fond, le but de ce Survival Island n'était-il pas tout simplement de filmer (sous toutes les coutures) Kelly Brook sur une plage? Parce que la belle ne rechigne pas à prendre la pose à chacune de ses apparitions. Regardant la caméra de son regard de braise, mettant la forme avec beaucoup de sensualité dans toutes ses répliques, se passant langoureusement la main dans les cheveux, courant dans les vagues telle une sauveteuse d'Alerte à Malibu, dévoilant ses charmes en plusieurs occasions, dont notamment la scène de sexe la plus improbable de l'histoire du septième art, miss Brook fait littéralement son show!

3/5.

Trumbo de Jay Roach - 4,25/5

C’est à travers un documentaire sur le blu-ray du film Spartacus, que j’ai entendu parlé pour la première fois de Dalton Trumbo. Ce dernier fût victime d’une chasse aux sorcières, lui et plusieurs autres scénaristes, autant par le Gouvernement américain qu’Hollywood, fin années 40 jusqu’au début 60, dû à leurs prises de positions politiques. Le film de Jay Roach raconte ainsi son histoire, sa lutte et son travail comme scénariste dans la clandestinité. Une histoire très intéressant, sur l’un des moment sombre des États-Unis, car il y a aussi plusieurs personnes de d’autres milieux qui ont subit cette chasse aux sorcières, et d’Hollywood. Bryan Cranston interprète merveilleusement bien Trumbo. À ses côtés, Helen Mirren, Louis C.K., Diane Lane, Elle Fanning et John Goodman offrent eux aussi de très bonne performance. Ainsi donc, Trumbo se veut un très bon drame biographique.


The 5th Wave de J. Blakeson - 2/5

La jeune et très jolie Chloë Grace Moretz, qui est assez convaincante dans son rôle, est la vedette de ce énième film d’aventure/science-fiction/post-apocalyptique pour ados. Rien de bien nouveau au menu, excepté qu’ici on est dans une invasion extraterrestre. L’histoire comporte son lot de clichés, entre autre au niveau de la famille, de l’armée et de la petite amourette, etc. Le reste est assez quelconque. J’ai peiné à y croire, tellement tout nous est garroché en pleine face. De plus, le film a quelques longueurs. Et, les rebondissements sont assez prévisible. Aussi, il y a quelques bonnes petites scènes d’action, mais certaines, se déroulant la nuit, sont vraiment trop sombre. Les effets visuels sont pas trop mal. Bref, The 5th Wave n’a rien d’une purge, mais vraiment rien de mémorable. La fin laisse penser à une suite, mais au vu du box-office, ça s’annonce assez mal.


Crouching Tiger, Hidden Dragon: Sword of Destiny de Woo-Ping Yuen - 3,5/5

Une suite qui arrive 16 ans après l’excellent film d’Ang Lee. Michelle Yeoh est de retour dans son rôle de Yu Shu Lien, tandis qu’à ses côtés, on retrouve entre autre Donnie Yen. Évidemment, Crouching Tiger, Hidden Dragon: Sword of Destiny se révèle inférieur à son prédécesseur. Visuellement, le film m’a parut assez ordinaire. Certainement, un trop plein d’effets visuels. La beauté du premier film n’y est malheureusement pas présente. Les combats sont guère impressionnant, mise à part celui sur la glace et quelques scènes dans le final. Il reste des acteurs jouant bien leur rôle, ainsi qu’une histoire somme toute assez intéressante.


Ride Along 2 de Tim Story - 4,25/5

Sérieux, je pense, que c’est le meilleur de Tim Story à ce jour. Le premier Ride Along était plutôt bon. Mais, cette suite est davantage meilleure. Plus drôle! Plus sexy! Plus d’action! Certes, certains gags laissent un peu à désirer, mais la majorité font beaucoup rire. Ça, on le doit à Kevin Hart et Ken Jeong Les scènes d’action sont vraiment nice. Et, les filles sont sacrément sexy, dont cette chère Olivia Munn. Donc, Ice Cube et Kevin Hart sont de retour pour une nouvelle enquête vraiment divertissante.

The Forbidden Room
Le réalisateur canadien Guy Maddin et son co-réalisateur Evan Johnson ont pété un câble. Ils ont fait de « The Forbidden Room » une énorme fresque en hommage au vieux-vieux cinéma, un récit impossible à résumer car un récit en cache un autre, ou bien il y a un récit dans un récit qui raconte un nouveau récit qui retourne à la suite d'un récit entamé. C'est un film-mutant, une créature cinématographique en constante transformation. Ça fout la trouille, vraiment. La personne qui s'est occupée du montage a dû faire une terrible dépression, de plus que le film est sans surprise un échec commercial, n'a été diffusé une seule semaine dans 2 ou trois salles de cinéma dans notre province et discrètement sortit en DVD chez Mongrel sans aucun sous-titre. Le film-créature rêve d'être un film noir qui se transformerait en péplum, en film expressionniste allemand, en surréalisme, en d'horreur, en comédie, etc. Assuré d'un casting international de haut voltige, pour ne nommer que Udo Kier, Mathieu Almaric et le visage de Charlotte Rampling qui apparaît quelques nano-secondes, il y a aussi une abondance de québécois: Roy Dupuis, Karine Vanasse, Caroline Dhavernas, Céline Bonnier, Paul Arhamani, Sophie Desmarais, tous dans des rôles énigmatiques captivants. Cependant, sa liste infinie d'histoires et sa surabondance d'effets visuels rendent le visionnement terriblement exigeant et sa durée de deux heures prend l'air d'une éternité.
3.5/5

Revu:

The Chase/A Toute Allure (1994, Adam Rifkin)

A Toute Allure est un film malheureusement oublié aujourd'hui, mais qui obtint un énorme capital sympathie dans les années 90. Et pour cause, des situations invraisemblables à la pelle, du kidnapping à la barre chocolatée jusqu'à la course-poursuite à 70km/h, en passant par la scène de sexe au volant ou la reprise en cœur d'un tube disco en toute décontraction malgré les flics au cul, A Toute Allure est un film décomplexé qui taille dans le gras des médias et dépeint un portrait qu'on devinerait assez juste de la police! Les dialogues sont cultes et les personnages uniques, servis notamment par un très bon casting avec Charlie Sheen, Kristy Swanson, Ray Wise ou mon pote Henry Rollins parfaits dans leur rôle respectif. Décalé et à la limite de la parodie, A Toute Allure c'est 85 mins de plaisir!

4/5.

The Karate Kid de John G. Avildsen - 4,5/5

Après Rocky, voilà un autre film culte de la part du réalisateur John G. Avildsen, The Karate Kid. Comme plusieurs, j’ai vu ce film un nombre incalculable de fois dans ma jeunesse. C’est une autre oeuvre, que je n’avais pas vu depuis un bail. Et, pour moi, il est toujours aussi sensas. Une histoire classique et clichée, mais vraiment intéressante et prenante! Une jolie leçon de vie! Un bon développement des personnages! Pat Morita est vraiment génial en Miyagi. Mais, on apprécie aussi Ralph Macchio et Elizabeth Shue, tandis que Barney Stinson est un fan de William Zabka. Le combat final est vraiment énorme. Chaque scène du film est culte. The Karate Kid peut sembler être qu’un petit film pour ados de l’époque, mais comme bien des films des années 80, il a marqué toute une génération. Le remake avec Jaden Smith ne lui arrive même pas à la cheville.

Ouais...Le pire c'est que cette adaptation du Mercenaire avec une Bouche dure trois heures. En plus Wolverine est dans le film.

La classe d'être enfin dans un film que je peux baiser !!!
-Deadpool / 5

La Loi du marché (2015,Stéphane Brizé)

Un drame social qui reflète a la perfection la vie de million de Français sur le marché du travail. L'ouverture de 5 minutes au pole emploi est simplement exceptionnel, et montre avec simplicité que cette organisme est en réalité une vaste blague. Le système de formation cher a nos amis gauchiste est ici tourner en ridicule, et prouve que cela n'arrange en rien le demandeur d'emploi, mais au contraire l'enfonce jour après jour dans la précarité. Apres cette ouverture criante de vérité le film allonge plus 1h25 de tranche de vie, sans clichées sur le parcours quotidien d'un Français qui essaye de s'en sortir tout en restant humble. Tout cela est filmé comme un documentaire, sur le vif, c'est pas une histoire divertissante mais plutôt un casse morale. Au passage Vincent Lindon est excellent.
3,5/5

Fargo (1996, Joel Coen)

Pas du tout fan des frères Coen, j'ai vu quasiment l'intégralité de leurs films et je suis a chaque fois tombé sur des purges. Seul No Country for Old Men ma illuminer les mirettes. Bref Fargo a une bonne ambiance hivernal, mais malheureusement ce sera le seul point positif. Les acteurs mise a part Steve Buscemi sont a coté de la plaque, l'héroïne du film (la policière en cloque) ma laissé de glace... L'histoire n'est pas dynamique, elle se traine en longueur et aligne des scènes déjà vu mille fois. En gros la petite magouille qui tourne mal demeure prévisible du début a la fin. Et quel fin! Un emmerdement absolue de 100 minutes.
1/5

juge-rico a écrit:

Fargo (1996, Joel Coen)

Pas du tout fan des frères Coen, j'ai vu quasiment l'intégralité de leurs films et je suis a chaque fois tombé sur des purges. Seul No Country for Old Men ma illuminer les mirettes. Bref Fargo a une bonne ambiance hivernal, mais malheureusement ce sera le seul point positif. Les acteurs mise a part Steve Buscemi sont a coté de la plaque, l'héroïne du film (la policière en cloque) ma laissé de glace... L'histoire n'est pas dynamique, elle se traine en longueur et aligne des scènes déjà vu mille fois. En gros la petite magouille qui tourne mal demeure prévisible du début a la fin. Et quel fin! Un emmerdement absolue de 100 minutes.
1/5

Sérieux? Moi, je suis fan d'eux, sauf pour True Grit et Inside Llewyn Davis.

JackieBoy a écrit:

juge-rico a écrit:

Fargo (1996, Joel Coen)

Pas du tout fan des frères Coen, j'ai vu quasiment l'intégralité de leurs films et je suis a chaque fois tombé sur des purges. Seul No Country for Old Men ma illuminer les mirettes. Bref Fargo a une bonne ambiance hivernal, mais malheureusement ce sera le seul point positif. Les acteurs mise a part Steve Buscemi sont a coté de la plaque, l'héroïne du film (la policière en cloque) ma laissé de glace... L'histoire n'est pas dynamique, elle se traine en longueur et aligne des scènes déjà vu mille fois. En gros la petite magouille qui tourne mal demeure prévisible du début a la fin. Et quel fin! Un emmerdement absolue de 100 minutes.
1/5

Sérieux? Moi, je suis fan d'eux, sauf pour True Grit et Inside Llewyn Davis.

Ouais c'est juste pas possible. Par exemple Inside Llewyn Davis a été un énorme moment de solitude, mais le pire de tous reste burn after reading et son humour lourd, très lourd... Il m'en reste un seul a voir c'est Miller's Crossing, mais bon a 91% de critique positive sur rotten tomatoes, qui est tout sauf un site fiable, j'en rigole déjà.

Spotlight de Tom McCarthy - 4,75/5

La première fois que j’ai vu Spotlight, je craignais de voir un film très ordinaire, ne faisant que rapporter des faits avec au final peu d’intérêt. Mais, au contraire, j’avais trouvé le film très bon. Avec un second visionnement, le film m’apparaît encore plus puissant. Tout d’abord, Mark Ruffalo, Rachel McAdams, Michael Keaton, John Slattery et Brian D’Arcy James offrent tous cinq une excellente performance. On croit vraiment en leur personnage, et ils réussissent à nous faire vivre sans mal les émotions ressentis par ceux-ci. Niveau histoire, c’est très prenant. Spotlight raconte l’histoire de journalistes du Boston Globe se retrouvant à faire une énorme enquête et à se battre pour faire éclater la vérité sur des prêtres pédophiles sévissant dans la ville de Boston, mais surtout, l’énorme réseau faisant en sorte de les camoufler. Une histoire tirée de faits réels! Le travail journalistique est très bien mis en scène. L’émotion est au rendez-vous. On sent bien la tension grimper. Le film se centre vraiment sur l’enquête, et laisse de côté la vie privé des journalistes. Plus le film avance, plus le tout captive. Ça en vient à fortement choquer. Le tout est filmé avec sobriété et avec objectivité. Le final m’a prit sacrément aux tripes. Encore plus, on voyant le nom de ma ville dans la liste du générique de fin.

juge-rico a écrit:

JackieBoy a écrit:

juge-rico a écrit:

Fargo (1996, Joel Coen)

Pas du tout fan des frères Coen, j'ai vu quasiment l'intégralité de leurs films et je suis a chaque fois tombé sur des purges. Seul No Country for Old Men ma illuminer les mirettes. Bref Fargo a une bonne ambiance hivernal, mais malheureusement ce sera le seul point positif. Les acteurs mise a part Steve Buscemi sont a coté de la plaque, l'héroïne du film (la policière en cloque) ma laissé de glace... L'histoire n'est pas dynamique, elle se traine en longueur et aligne des scènes déjà vu mille fois. En gros la petite magouille qui tourne mal demeure prévisible du début a la fin. Et quel fin! Un emmerdement absolue de 100 minutes.
1/5

Sérieux? Moi, je suis fan d'eux, sauf pour True Grit et Inside Llewyn Davis.

Ouais c'est juste pas possible. Par exemple Inside Llewyn Davis a été un énorme moment de solitude, mais le pire de tous reste burn after reading et son humour lourd, très lourd... Il m'en reste un seul a voir c'est Miller's Crossing, mais bon a 91% de critique positive sur rotten tomatoes, qui est tout sauf un site fiable, j'en rigole déjà.

De même, je ne suis vraiment pas amateur du cinéma des frères Coen mais The Big Lebowski reste une valeur sûre, en même temps que leur meilleur film. C'est étonnant, juge, que celui-ci ne t'ait pas réconcilié avec eux.

Gregg a écrit:

juge-rico a écrit:

JackieBoy a écrit:

juge-rico a écrit:

Fargo (1996, Joel Coen)

Pas du tout fan des frères Coen, j'ai vu quasiment l'intégralité de leurs films et je suis a chaque fois tombé sur des purges. Seul No Country for Old Men ma illuminer les mirettes. Bref Fargo a une bonne ambiance hivernal, mais malheureusement ce sera le seul point positif. Les acteurs mise a part Steve Buscemi sont a coté de la plaque, l'héroïne du film (la policière en cloque) ma laissé de glace... L'histoire n'est pas dynamique, elle se traine en longueur et aligne des scènes déjà vu mille fois. En gros la petite magouille qui tourne mal demeure prévisible du début a la fin. Et quel fin! Un emmerdement absolue de 100 minutes.
1/5

Sérieux? Moi, je suis fan d'eux, sauf pour True Grit et Inside Llewyn Davis.

Ouais c'est juste pas possible. Par exemple Inside Llewyn Davis a été un énorme moment de solitude, mais le pire de tous reste burn after reading et son humour lourd, très lourd... Il m'en reste un seul a voir c'est Miller's Crossing, mais bon a 91% de critique positive sur rotten tomatoes, qui est tout sauf un site fiable, j'en rigole déjà.

De même, je ne suis vraiment pas amateur du cinéma des frères Coen mais The Big Lebowski reste une valeur sûre, en même temps que leur meilleur film. C'est étonnant, juge, que celui-ci ne t'ait pas réconcilié avec eux.

The Big Lebowski était ennuyeux, même la fameuse scène du bowling soi-disant culte ne ma fait ni chaud ni froid... Et pourtant question humour je suis rodé.

Without Warning (1980, Greydon Clark)

Film d'horreur très marqué par son époque de production, Without Warning repose principalement sur son ambiance glaçante servie admirablement par quelques scènes filmées de nuit, mais aussi par la menace représentée par l'extraterrestre à l'apparence fort réussie. Malheureusement, de piètres acteurs interprétant des personnages mal écrits et de pauvres dialogues viennent ternirent le tout de façon considérable, et ce, au point de faire de ce Without Warning un vrai gâchis. Alors, certes, le film n'est pas connu et l'idée d'en espérer une seconde mouture est utopique mais plutôt que de détruire certains classiques, voilà à quoi pourrait idéalement servir un remake: améliorer un film qui démontre malgré tout de vraies qualités.

2/5.

American Ultra (2015,Nima Nourizadeh)

Une sorte de pastiche comique de la franchise Jason Bourne. C'est plutôt fun mais je m'attendais a beaucoup plus d'humour. Le casting est assez lourd je retiendrais tout particulièrement la présence de mon acteur fétiche Walton Goggins dans la peau de l'agent "rieur", et du superbe John Leguizamo qui fait toujours plaisir a voir au cinéma. Les scènes d'action sont sympas, et l'histoire est plutôt divertissante. Bref c'est pas la comédie d'action du siècle, mais je me suis pas ennuyer.
3/5

The Finest Hours (2016,Craig Gillespie)

Un joli film catastrophe estampillé Disney. The Finest Hours raconte l'histoire vraie d'un pétrolier qui a été littéralement couper en deux lors d'une tempête en 1952, pendant la dérive les marins ont tenté de garder le morceau d'épave a la surface en attendant les gardes cotes. J'ai beaucoup apprécié ce film, j'adore les histoires vraies et les films catastrophe par la même occasion, donc j'étais déjà refait avant même de le voir... Le film est bon, l'ambiance de tempête hivernal a le niveau, le casting est sublime j'ai capté plus de 10 têtes connues dont le superbe Éric Bana. Par contre ils ont vraiment abusé sur les effets spéciaux, attention c'est très beau, il y a du spectacle et de magnifique vague, mais ils ont pas fait l'effort de tourner des plans "assez simple" en condition réel, par exemple sur la chaloupe ca fait juste fake. On capte bien que les gars sont devant un fond vert. Bref ca annonce une futur soirée avec The Perfect Storm.
4/5

Film qui m'a coûté au final 90$, c'st bizarre et unique en même temps. Sauf qu'il manque un "je-ne-sais-pas-quoi" et une bonne histoire avec pour ce genre de film. Ce n'est pas La Conjuration ni Evil Dead mais je suis fier de l'avoir vu.

Critique à venir

4/5

Cop Car de Jon Watts - 4/5

D’un côté deux gamins innocent s’amusent avec une voiture de police, après l’avoir trouvé aux abords d’une forêt, et de l’autre, un Shérif, qui semble plus méchant que gentil, est à la recherche de cette fameuse voiture. Une histoire simpliste, mais somme toute efficace! Le film de Jon Watts mélange assez bien comédie et thriller. Les deux jeunes sont attachant et bien interprété. Kevin Bacon s’en sort aussi très bien. Dommage que le final laisse vraiment à désirer.


Poison Ivy: The Secret Society de Jason Hreno - 2,5/5

Sincèrement, j’ai regardé ce film, quatrième opus de la saga Poison Ivy, pour voir comment la petite Emma Nelson, de son vrai nom Miriam McDonald, de la série canadienne pour ados Degrassi: The Next Generation, avait bien grandie. Et, au vu de quelques scènes assez chaude, je confirme, qu’elle est de toute beauté. À part ça, le film est assez ordinaire. Une histoire assez banale, comme la plupart des acteurs! Une réalisation très téléfilm! Poison Ivy: The Secret Society se laisse regarder, mais ça ne vole pas haut