Cabin Fever (2002, Eli Roth)

JackieBoy a écrit:

(...) des scènes bien gore. (...)

J'ai aussi bien apprécié Cabin Fever. Sans être LE chef-d'oeuvre de l'horreur 00's, ce film possède un cachet particulier, entre humour noir débile et film de survival rappelant les bandes des années 70 du genre.

En revanche, je ne vois pas où tu vois 'des scènes bien Gore' dans ce film. Je l'ai justement trouvé absolument pas Gore, et si Eli Roth nous avait gratifié de quelques véritables effets de violence graphique, comme à l'ancienne, je ne me serais pas plaint...

André Schneider a écrit:

JackieBoy a écrit:

(...) des scènes bien gore. (...)

J'ai aussi bien apprécié Cabin Fever. Sans être LE chef-d'oeuvre de l'horreur 00's, ce film possède un cachet particulier, entre humour noir débile et film de survival rappelant les bandes des années 70 du genre.

En revanche, je ne vois pas où tu vois 'des scènes bien Gore' dans ce film. Je l'ai justement trouvé absolument pas Gore, et si Eli Roth nous avait gratifié de quelques véritables effets de violence graphique, comme à l'ancienne, je ne me serais pas plaint...

Si, je me souviens bien, il y avait quelques scènes gore que j'ai bien apprécié. Ce ne sont pas des scènes les plus marquantes, mais elles sont intéressante.

J'ai décidé de le regarder cet après-midi. Donc, je pourrai confirmé les quelques scènes gore, que je disais qu'il y avait dans le film.

Ce ne sont pas proprement dit de vraies scènes Gore. Il y a certes quelques maquillages peu ragoûtants (pas moins que réussis) tel que celui illustrant l'une des filles ayant perdu la peau sur la partie basse de son visage, mais ça s'arrête là, on ne peut pas parler de Gore au sens propre du terme.

André Schneider a écrit:

Ce ne sont pas proprement dit de vraies scènes Gore. Il y a certes quelques maquillages peu ragoûtants (pas moins que réussis) tel que celui illustrant l'une des filles ayant perdu la peau sur la partie basse de son visage, mais ça s'arrête là, on ne peut pas parler de Gore au sens propre du terme.

Ouin, vu de cette manière, ce ne sont pas des scènes gore mais plutôt sanglantes.

Tu avais tout à fait raison André, il n'y a effectivement pas de gore, mais plutôt des scènes remplis de sang. Je me suis tout simplement tromper de film. Après avoir regarder Cabin Fever, cet après-midi, voici mes points forts et faibles du film.



Points Forts :

-Très bonne réalisation de la part d'Eli Roth, pour un premier film
-Un scénario vraiment original, qui diffère des autres films des années 2000
-Personnages plutôt clichés, mais vraiment intéressant
-Scènes Marquantes du film :
Scène avec l'hermite;
Scène de Paul qui caresse Karen;
Scène de Marcy qui prend son bain;
Scène de Marcy avec le chien;
Scène de Jeff qui croît avoir survécu, à la toute fin;
Scènes avec Paul et Bert qui tue 3 gars;
Scène Finale avec les gens du marché et les trois noirs.


Points Faibles :

-Manque de scènes gore (C'est le seul moins faible du film, du moins d'après moi)


Ma Note est de...5/5
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Eli Roth t'es vraiment trop fort!!! Eli Roth et Alexandre Aja sont deux réalisateurs, qui vont faire des merveilles dans le monde de l'horreur.

Tu as oublié dans les plus les hommages au vieux classiques.

WiLLyBoy a écrit:

Tu as oublié dans les plus les hommages au vieux classiques.

Ouais, c'est vrai!! Les hommages aux autres films est un plus.

Cabin Fever quel bon film!Je part a la chasse aux écureuils!

Je l'ai beaucoup aimé...moi aussi.

bienvenue sur le forum sandrou!!!

boivi a écrit:

bienvenue sur le forum sandrou!!!

Mr. Coolman a écrit:

boivi a écrit:

bienvenue sur le forum sandrou!!!

pourquoi?? dis lui bonjours et bienvenue au moins!!!

boivi a écrit:

Mr. Coolman a écrit:

boivi a écrit:

bienvenue sur le forum sandrou!!!

pourquoi?? dis lui bonjours et bienvenue au moins!!!

Ok lol

Bienvenue! J'espere avoir la chance de te lire souvent

boivi a écrit:

Mr. Coolman a écrit:

boivi a écrit:

bienvenue sur le forum sandrou!!!

pourquoi??

Parce que ça fait une bon boutte qu'elle est inscrite.

J'ai écouté les suppléments du DVD et je suis tombé sur un dessin animé réalisé par Eli Roth appelé The Rotten Fruit et c'est vraiment drôle !!! Juste pour ça, l'achat en vaut la peine.

Qui d'autre l'a vu ?

MOi jai trouver se film original j'ai adorer surtout la scène ou la fille se rase dans son bain et la peua part avec le razoir Washh ses un bon ti filmje croie .

Zombie666 a écrit:

MOi jai trouver se film original j'ai adorer surtout la scène ou la fille se rase dans son bain et la peua part avec le razoir Washh ses un bon ti filmje croie .

Relis-toi avant de poster, c'est illisible

Mr. Horreur Web a écrit:

Zombie666 a écrit:

MOi jai trouver se film original j'ai adorer surtout la scène ou la fille se rase dans son bain et la peua part avec le razoir Washh ses un bon ti filmje croie .

Relis-toi avant de poster, c'est illisible

Une lettre inversé et un manque despace,... ca men prend un peu plus pour appeler ca "illisible"...simple remarque

Très bon premier essai pour Eli Roth avec ce remarqué (et remarquable) CABIN FEVER.

Hommage appuyé à EVIL DEAD entre autres, dont il reprend le cadre principal et le pitch de base ( de jeunes gens ayant loué une cabane en forêt sont tués un à un), il installe progressivement l'ambiance ( bravo pour le coup du"fusil pour les negres" dont on apprend finalement qu'il ne leur est pas destiné de la manière qu'on croit, et j'ai trouvé ce procédé genial !!!), peu de temps morts ( on a toujours droit à la bluette entre le timide et la blonde, y a toujours un gai luron...), et particulierement efficace dans les moments de terreur.

Dès l'arrivée du clochard, le film change subitement de ton ( ce qu'Eli semble affectionner puisqu'il récidivera, quoique de manière plus lourde, dans Hostel et son introduction trop longue) et nous emmène alors dans une inexorable descente aux enfers dont les protagonistes à l'interieur et hors de l'ecran (nous, témoins impuissants de la tragédie) ne sortiront pas indemnes, le metrage s'achevant sur une note sombre en totale adéquation avec le ton général du film.

Du rythme, des personnages crédibles et à qui on souhaite (chose rare) de s'en sortir, du gore (juste ce qu'il faut, tout le monde s'étant acccordé à voir en Eli un réalisateur de films gore, non Eli réalise des films d'horreur et pas des films 100% gore)...

...bref, que du bonheur !!!

Note : 5/5

Je ne comprend toujours pas ce que l'on trouve chez Eli Roth et ses deux premiers films ?

Passe encore que Cabin Fever soit un premier film sympas (sans Evil dead existerait-il ?) mais je trouve que sa réalisation est plate et sans grande originalité.

L'idée du virus n'est pas nouvelle (déja les films italiens des 80' s'en était emparés comme dans Contamination et son festival de ventres explosés) et les personnages sont caricaturaux ( a peine dignes d'un Jason raté).

Et pour le gore (scènes sanglantes tout au plus comme cela a été rectifié) toujours rien a l'horizon....

Mais apparement la majorité des gens qui l'on vu on vraiment apprécié, mais pour moi cela reste un vrai mystère......

Je comprends que tu ne puisses pas aimer après c'est normal de ne pas aimer tous les mêmes films

Je l'ai acheté aujourd'hui suite à vos conseils , j'espere qu'il n'est pas trops degeulasse et que je l'apprécierai

C'est moi ou ma critique rejoint celle de Celtic...???
Qui l'eût cru ?




INTERDIT AUX MOINS DE 16 ANS

Réalisé par Eli Roth

Écrit par Eli Roth & Randy Pearlstein
Musique de Nathan Barr & Angelo Badalamenti
Avec Rider Strong, Jordan Ladd, James DeBello, Cerina Vincent, Joey Kern, Arie Verveen, Giuseppe Andrews



2 ans avant le très bon Hostel, Eli Roth s’attelait à son premier long-métrage. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Cabin Fever n’annonçait pas la carrière du jeune cinéaste sous les meilleurs auspices. Non seulement inintéressant, le scénario se viande de surcroît dans les poncifs du film d’horreur. Sur fond de décors et personnages secondaires à la Massacre À La Tronçonneuse, une sempiternelle bande de jeunes troufions, adorateurs de feux de camp (Vendredi 13, pour ne citer que celui-ci), part s’installer dans un chalet au cœur de la forêt (Evil Dead). Troufions parmi lesquels l’on discernera le grand crétin du groupe, et les deux amis de longue date dont la future relation amoureuse sombrera dans une mièvre romance. N’oublions pas non-plus cette espèce de gamin autiste, se prenant pour un karatéka lors d’une séquence dont on perçoit mal la logique comme l’utilité… Alors oui, Eli Roth rend ici hommage à ses films d’horreur favoris mais il en résulte un scénario décousu, au dénouement faiblement cohérent (mettre la barbarie naissante du protagoniste sur le compte de l’infection s’avère trop facile pour être crédible), au final très mal tourné en plus de copier honteusement celui de La Nuit des Morts-Vivants (ce blaireau gueulant qu’il est sain et sauf hôte toute la subtilité du métrage de 1968), et ne sachant trouver son équilibre entre premier et second degré – les scènes de fin tournant d’ailleurs à la farce pure et dure alors que le film se voulait sérieux (et chiant) jusqu’ici.





Vous l’aurez compris ; par sa grande prévisibilité et son laxisme profond en matière de créativité, Cabin Fever se montre soporifique dans le meilleur des cas, irritant dans le pire. L’histoire progresse si mollement qu’elle donne parfois l’impression d’y aller à reculons. Contrairement à Hostel, les scènes de sexe (heureusement implicites) ne servent aucunement à instaurer une ambiance ou installer des sous-intrigues ; d’ailleurs, lesdites scènes ne servent strictement à rien si ce n’est tenter de réveiller les hormones d’un spectateur las. Et n’espérez pas échanger votre ennui contre des passages gore puisque Cabin Fever n’en comporte aucun, hormis un « doigté poisseux » et une épilation sous-cutanée (tous deux assez déconcertants, il est vrai).
Loin de son score d’Hostel (aussi terrifiant que sublime), Nathan Barr alterne entre thèmes d’horreur basiques et musiques funky ou country guère stimulantes. Un académisme poussé, en somme, que rejoint volontiers un Eli Roth réalisateur. Quelques prises de vue et mouvements de caméra exceptés, le produit final se trouve à mille lieues de la splendide réalisation d’Hostel. Et, quitte à faire de l’académisme le maître-mot du film, Cabin Fever « met en scène » (façon de parler, vu la légèreté de l’affaire…) des acteurs triés sur le volet, ni vraiment bons ni foncièrement mauvais mais très peu convaincants.



Romero, Del Toro, Carpenter, Tarantino… voilà des patronymes pour lesquels le premier long-métrage fut un coup de maître. Concernant Eli Roth, c’est plutôt d’un coup dans l’eau dont il s’agit. Avec Cabin Fever, Roth se cherche encore et ne trouve pas son public. Heureusement, il y eut Hostel…


Double cameo de la part d'Eli Roth...

Note : 9.5/20